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Dantès, tome 9 : une BD de Pierre Boisserie, Philippe Guillaume et Erik Juszezak (Dargaud)

Dantès, tome 9

Dantès, tome 9 : Contrefaçons

Thriller financier réalisé par les scénaristes Pierre Boisserie (Robin des Bois,  Roma) et Philippe Guillaume – par ailleurs également coauteurs de l’excellente saga La Banque – Dantès débute un nouveau cycle au pays de l’art contemporain et de son marché, concentré en grande partie à New York. Un épisode très bien ficelé, toujours dessiné par Erik Juszezak (Pandora box, Narvaro, Empire USA).

Date de parution : le 5 juin 2015
Auteurs : Pierre Boisserie, Philippe Guillaume (Scénario) et Erik Juszezak (Dessin)
Editeur : Dargaud
Prix : 11,99 € (48 pages) 

Résumé de l’éditeur:

Pierre Boisserie, Philippe Guillaume et Erik Juszezak mettent à nouveau leur héros à l’épreuve dans ce nouveau cycle où l’art contemporain a une place de choix !

Cet album inaugure un nouveau cycle de deux tomes qui se déroulent dans le milieu de l’art contemporain. Un marché qui brasse des sommes d’argent colossales et qui attire spéculateurs et faussaires… Un nouvel épisode qui se déroule en grande partie à New York, plaque tournante de l’art contemporain.

Un nouveau diptyque dans le milieu de l’art contemporain : secrets, argent et trahisons sont les maîtres mots de cet album.

Le point sur l’album :

Point de départ d’un nouveau diptyque en compagnie de DantèsContrefaçons propose une immersion totale dans le monde de l’art et de ses coulisses pas toujours reluisants. Gangréné par les speculateurs professionnels et les faussaires attirés par l’appât du gain, cet univers montre toutes ses facettes dans un scénario maîtrisé, écrit avec un savoir-faire propre à ce duo d’auteurs talentueux. Très complet, ce neuvième épisode n’omet pas d’étoffer son fil d’ariane en la personne de Dantès, en abondant en révélations et fantômes du passé.

Le dessin réaliste de Erik Juszezak est quant à lui réalisé en finesse, malgré un trait parfois imprécis. Son style graphique – certes académique – ne déplait pas grâce à une bonne fluidité insufflée dans les scènes d’action. On regrette tout de même son manque d’originalité.

En résumé, Dantès est une fois de plus bousculé dans un album rythmé qui se lit d’une traite. A suivre…

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