Accueil BD Kokkoku, tome 2 : un manga de Seita Horio (Glénat)

Kokkoku, tome 2 : un manga de Seita Horio (Glénat)

kokkoku, tome 2

Kokkoku, un manga de Seita Horio

Après avoir découvert un tome 1 au récit un peu précipité, Kokkoku se redresse par des explications et un flashback bienvenus. On retrouve ainsi Juri et son grand-père qui tentent de retrouver leur pierre dotée de superpouvoirs. La secte Amour véritable ne manquera pas de s’y mêler en tentant d’éliminer Juri… Mais c’est sans compter l’apparition d’une nouvelle faculté développée par la jeune fille.

Date de parution : le 3 juin 2015
Auteur : Seita Horio (Scénario et Dessin)
Editeur : Glénat
Prix : 7,60 € (208 pages) 

___________________________________

Résumé de l’éditeur:

Piégée par les hommes de la secte Amour véritable, Juri et son grand-père tentent de protéger leur pierre, seule capable de figer le temps. Seulement, pour s’échapper, il leur faudra l’aide du “Régent”, cet étrange gardien qui empêche quiconque de provoquer la mort d’un immobile. Un Régent dont Amour véritable cherche également à se débarrasser, pour enfin se libérer des limites du monde statique. Qu’arrivera-t-il, une fois cet objectif atteint ?

___________________________________

Le point sur l’album :

Retour dans la ville figée avec ce second tome de Kokkoku. Heureusement, le lecteur se sera un peu acclimaté, ce qui améliore sa réceptivité. Le combat fait rage dans cette dimension temporelle en suspend, où  la secte Amour véritable n’hésite pas à commettre tous les méfaits. On en apprend un peu plus sur eux et sur les liens que Juri peut avoir avec. On reçoit aussi quelques explications précieuses sur les êtres qui peuplent ce monde ! Le scénario semble avoir pris son rythme de croisière, mais la lisibilité de l’histoire est toujours en peine, parfois confuse.

Le très joli dessin de Kokkoku, très fin, est d’une netteté irréprochable. On regrette là encore un manque de signes distinctifs de personnages qui se ressemblent parfois énormément.

Malgré ses nombreux défauts qui viennent le parasiter, Kokkoku est un divertissement sympathique qui pourrait dévoiler par la suite un potentiel encore mal exploité. A suivre…

AUCUN COMMENTAIRE

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Quitter la version mobile