
L’article sur leur récent album Panic soulignait la qualité des compositions d’un album qui pourrait faire reconnaitre le groupe à une plus grande échelle. C’est maintenant l’occasion de les découvrir en live ce jeudi 20 novembre au Pop up, moi j’y serai avec en plus une interview à la clé, parution prochaine sur la page Publik’Art.
Communiqué de presse:
Avec PANIC, leur troisième album, les Rennais de BOPS signent un retour fulgurant sur la scène indé française – avec l’envie de saisir un instant précis : une empreinte brute plutôt qu’une évolution calculée. Venez découvrir les morceaux de ce nouvel album en live ce jeudi 20 novembre au Pop-Up (Paris: Métro Gare de Lyon ou Ledru Rollin). Enregistré live au mythique Studio La Frette, sous la houlette du réalisateur Samy Osta (La Femme, Feu! Chatterton, Juniore), BOPS produisent un album éclair, capté en 5 jours, avant d’y ajouter dans un second temps les arrangements et voix fleuves qui font leur singularité. À l’image du titre de ce nouvel album, l’urgence devient méthode : six mois d’écriture condensée, sans filtre ni retouches excessives pour un regard cinglant sur les paniques contemporaines. Armés d’un piano droit, guitare acoustique, Juno, MS20 et boîtes à rythmes, ils confrontent dans leurs nouvelles compositions les dysfonctionnements sociaux, mêlant critique politique et sonorités analogiques sur dix titres.
Après un premier album éponyme garage rock Ty Segallien en 2017, et les premières tournées européennes façon pizzeria tour, les trois frères Louis, Oscar, Germain Bop bifurquent pendant la pandémie et composent un second album Sounds of Parade en 2022. Le trio rennais BOPS devenu quatuor avec l’arrivée de Tom Beaudouin proposent alors une pop grinçante et arrangée, où le jeu des influences indie anglo-saxonne se diversifie et se singularise, à l’image du visuel Seiz Breur placardé en cover. Plusieurs kilomètres et festivals plus loin, de l’Angleterre à l’Allemagne tandis qu’ils vantaient sur No Job les mérites de Pôle Emploi devenu France Travail, les revoici tiens donc au travail avec l’envie de saisir un instant précis – une empreinte brute plutôt qu’une évolution calculée. L’urgence devient méthode : six mois d’écriture condensée, sans filtre, sans retouches excessives. Armés d’un piano droit, guitare acoustique, Juno, MS20 et boîtes à rythmes, ils confrontent dans leurs nouvelles compositions les dysfonctionnements sociaux, où s’entrelacent critique politique et sonorités analogiques.