Palatine, un premier album hypnotique intitulé Grand Paon de nuit et prévu pour le 23 mars chez Yotanka Records!
Formé en 2015, le groupe Palatine (et non pas Palpatine, désolé les fans de Star Wars) regroupe 4 musiciens tous venus de Paris avec le chanteur compositeur Vincent Ehrhart-Devay accompagné d‘Adrien Deygas, Jean-Baptiste Soulard et Toma Milteau. Révélé au Printemps de Bourges, le groupe a d’abord sorti un premier EP fin 2016 porté par le titre fondateur Baton Rouge, première étape qui préfigura une victoire encore plus importante au Chorus festival des Hauts-de-Seine, festival qui eut déjà le bon gout de révéler avant eux les désormais célèbres Christine & The Queens et Feu! Chatterton. Pas mal pour un début mais le groupe doit maintenant passer par la case premier album pour se faire découvrir plus largement auprès du grand public. Porté par le petit filet de voix fragile du chanteur Vincent Ehrhart-Devay, le groupe met à l’honneur des textes mélancoliques chantés alternativement en français et en anglais. Le premier single Paris – L’ombre dévoile un groupe influencé par les sonorités américaines et porté par des choix musicaux avant tout oniriques, entre poésie et déclaration d’amour. La voix du chanteur rappelle immédiatement celle de Antony Hegarty, devenu célèbre au sein du groupe Antony & The Johnsons, d’autres identifieront une touche de PJ Harvey dans les orchestrations fouillées des différentes chansons d’un album qui s’écoute tout du long, une première fois, puis une seconde fois, avant de s’inscrire irrémédiablement dans l’atmosphère sonore de la pièce, comme s’il avait toujours été là. Certaines plages retiennent plus facilement l’attention comme la 6e plage Golden Trinckets et la 8e plage Stockholm. Nul doute que le groupe saura défendre ses chansons entre mélancolie et magnétisme pour se faire un (grand) trou dans le paysage musical hexagonal!
Palatine jouera un premier concert très attendu au Café de la Danse le 15 mai 2018.
Paris / L’ombre est un titre produit par Yotanka Records et écrit par Vincent Ehrhart Devay