[Album jeunesse] L’arbre au milieu du village, vision poétique et onirique du temps qui passe (Glénat Jeunesse)
Album jeunesse d’Orianne Lallemand (écriture) et Camille Gabert (dessin), L’arbre au milieu du village raconte à la manière d’une fable poétique la vie d’un arbre qui a grandit au milieu d’une forêt… et a fini tout seul au milieu d’un village. Entre temps, l’homme est passé par là… L’arbre au milieu du village va ensuite devenir le confident d’une fillette mais le temps ne s’arrêtera pas là et la petite deviendra grande tandis que le paysage va continuer à évoluer jusqu’à ce qu’un promoteur jette son dévolu sur la parcelle où l’arbre a survécu jusqu’ici…
Un joli album dont la narration fleuve se lit à la manière d’un poème. Les illustrations ont quant à elles un charme certain, avec un trait doux et original, porté par des couleurs vives très agréables à contempler.
Extrait:
Résumé de l’éditeur :
Une histoire d’amour entre l’arbre et les hommes ; un témoignage poétique sur le temps qui passe
Un arbre pousse paisiblement au cœur d’une forêt. Mais un jour, des hommes défrichent et abattent les grands arbres : il ne reste plus qu’un petit arbre oublié. À la place de la forêt, apparaît un village : des maisons, des rues, des magasins, des humains s’installent. Le petit arbre devient le cœur d’un quartier, le témoin des années de vie, et l’ami d’une fillette qui va grandir avec lui, au fur et à mesure que le paysage change autour d’eux. Jusqu’à ce qu’un promoteur décide de racheter le terrain sur lequel se trouve l’arbre…
Céleste et Mika ne sont jamais à court de questions : pourquoi la chauve-souris dort-elle à l’envers ? Qu’est-ce que le hamster garde dans ses joues ? Pourquoi les tortues sont-elles si lentes ? Ce documentaire drôle et interactif repose sur un jeu de questions à deux réponses, dont l’une est vraie et l’autre fausse. Le petit lecteur aura le temps d’y réfléchir et de découvrir la bonne réponse à la fin de l’ouvrage. Une suite de série après un titre consacré à la ville avec les illustrations pleines de fantaisie et d’humour qui reflètent l’absurdité des réponses imaginées par Céleste et Mika.