Exposition « Vous les femmes … Corps et décors » : 7 artistes dans la singularité de leur art
MARYAM ALAKBRALI
Maryam Alakbarli, est née le 4 juillet 1991 à Bakou, Azerbaïdjan Première vente en Octobre 2016 – Œuvres présentes dans de nombreuses collections privées dont 11 dans celle de Mr. Gérard Depardieu Musées : Musée d’Art Moderne de Bakou (Azerbaïdjan). Maryam est un électron libre dans le monde de l’art. Artiste libre, elle est incontrôlable, tant sur les sujets qu’elle aborde que sur les techniques qu’elle explore. L’une des particularités de sa peinture c’est le travail avec les couleurs, la mise en valeur des contrastes et des couleurs complémentaires. Elle applique sur la toile, intuitivement, ce que d’autres ont appris pendant plusieurs années d’études, avec un don innée de fine coloriste. Thierry Dufresne, historien de l’art français, déclarera à propos de l’œuvre de Maryam: « Quand j’ai vu pour la première fois ses dessins et ses compositions, j’ai immédiatement compris ce qu’elle faisait et essayait de transmettre à travers ses œuvres. C’était un retour à l’origine. Au moment où toutes les formes n’étaient qu’une lumière et qu’elles étaient toutes égales ».
L’art a donné à Maryam Alakbarli une merveilleuse chance d’exprimer son amour de la nature dans toutes ses manifestations, de nous en donner de manière fulgurante à travers ses œuvres.
CAPUCINE SAFIR
Née à Paris, Capucine Safir vit à Miami, USA depuis 2013. Après avoir travaillé pendant plusieurs années dans l’audiovisuel, elle décide de changer de voie et passe un diplôme d’architecture d’intérieure en Australie ou elle résidera pendant trois ans. De retour en France, elle se met à son compte. C’est au même moment qu’elle découvre la taille directe sur pierre. Entre la pierre et Capucine, c’est une évidence. C’est après sa seconde expatriation, à Miami, qu’elle devient artiste professionnelle. Elle s’ouvre alors à d’autres techniques et matériaux. Très rapidement, elle est représentée par une galerie locale et enchaine les expositions. Depuis, les œuvres de Capucine Safir font partie de nombreuses collections privées à travers le monde et sont régulièrement exposées dans des foires internationales.
La féminité et la nature sont les deux thématiques essentielles du travail de Capucine Safir. « Je travaille essentiellement à l’instinct. Le processus de réduction joue aussi un rôle important dans ma création. En retirant les détails et en simplifiant mes formes, j’obtiens la rondeur, la sensualité et l’émotion que je recherche dans l’abstraction. Toutes mes œuvres sont uniques ».
ELAM
Né en 1967, originaire de Lille, Elam est un artiste pochoiriste et concepteur d’affiches qui réside à Guérande. Autodidacte, ses pochoirs sont dessinés et découpés artisanalement à la main. Elam travaille sous tout type de supports, bois, carton, toile…L’artiste est par ailleurs muraliste et intervient aussi en performance lors d’évènements privés, salons et expositions. Très inspiré par l’idée du détournement, son univers est souvent décalé et met en scène des personnages célèbres ou non en les amenant souvent dans des directions surprenantes avec humour et poésie, comme son pochoir emblématique, Candy Croft.
Corps et décors de femmes
Florence Tixier
FLO.T nait au pays des soyeux, à Lyon. Elle bénéficie de la première formation mondiale de dessinatrice textile proposée par le musée des tissus. Embauchée par un atelier international, elle crée des motifs qui sont choisis par les plus grandes Maisons comme Versace, Lapidus, Lacroix, Rati, Brochier… Dénicheuse de tendances, elle a ensuite ouvert une boutique de mode à Hossegor.
Après avoir contribué à habiller les femmes, FLO.T a eu envie de leur rendre hommage en peinture. Nourrie par les représentations féminines de Gauguin, Klimt, Matisse, Renoir, Lolita Lempicka et plus récemment d’Ines Longival ou de Gidéon Rubin, elle tire également son inspiration de magazines de mode, de reportages photos.
FLO.T privilégie depuis un certain temps les scènes de plage dont émane une sorte d’éternité estivale. Ses personnages sensuels, au regard nostalgique, à la peau dorée, soyeuse, rêvent parmi les parasols et les reflets marins. Elle aime d’une manière générale associer son ancien métier de dessinatrice textile à sa nouvelle activité de peintre. Les femmes de ses toiles sont ainsi souvent entourées ou habillées de tissus dont la poésie décorative se marie à la grâce naturelle des corps.
JEROME SAINTE ROSE
Né à Paris, basé à Sao Paulo pendant 17 ans, il est de retour en France depuis deux ans. Jérôme commence sa carrière dans la photographie à l’école Louis Lumière en 1983. En 1985, il entre au Studio Astre, à Paris, où il côtoie des photographes de renommée mondiale tels que Bert Stern, David, Bailey, Albert Watson, Bill King ou Steven Silverstein.
De Paris à New York, de la Bolivie à la Jamaïque, en passant par différents éditoriaux et entreprises d’aventure, Jérôme a parcouru le monde, collaborant avec de nombreuses marques et personnalités.
HUGO PONDZ
Hugo Pondz déploie un univers bleu azur dans une dichotomie parfaite entre les pleins et les vides, il invite à la contemplation dans un monde presque minimaliste. Autour de la piscine, à New York, sur la plaine d’un golf ou sur les allées d’un parking, toutes les peintures d’Hugo Pondz sont empreintes d’une profondeur singulière. Hugo Pondz commence à peindre tardivement. C’est par un jour hasardeux qu’il se lance, sortant sa boîte de peintures et se met à peindre. Des débuts à tâtons où il se cherche, mélangeant copieusement et aléatoirement la peinture. Hugo Pondz avait alors 16 ans, et se souvient de cette expérience comme une catastrophe ! Il retente le coup à 28 ans lorsqu’il rencontre Jean-Pierre Hubert qui lui fait découvrir pour la toute première fois une véritable technique picturale. Hugo Pondz se laisse basculer vers un univers minimaliste, surréaliste, où l’alchimie des couleurs reste d’une importance capitale. C’est dans des bleus denses et profonds, des bétons lumineux, des piscines aux eaux calmes et transparentes, que l’artiste, observateur, réussit à capturer le silence, à imposer dans une mise scène qui se veut presque minimaliste, un danger latent.
Une subtile alchimie s’installe aussitôt entre le spectateur et l’œuvre dont l’aisance de lecture, participe à le faire entrer dans ce monde presque trop immobile.
DEBORAH BRUNI
Toujours à l’affût des tendances, cette artiste peintre ne manque jamais d’innover, de créer et de se réapproprier l’Histoire. Sarcastique pour certains, irrévérencieux pour d’autres, son style girls power est en quête permanente de renouveau. Une actualité revisitée, une réalité virtuelle, Déborah BRUNI mélange les genres, casse les codes pour proposer à son public une peinture toujours plus sarcastique et véritable.
Son inspiration provient du monde qui l’entoure, de ce qui le sublime, de ce qui le fait, et de ce qui le détruit parfois, aussi. Cinéma, musique, littérature, politique…ne sont pas les thèmes de son Art, uniquement les prétextes. Hors du cadre et des conventions, Déborah BRUNI ne s’impose aucune règle et ne respecte aucun genre. La créativité n’a pas de limites, elle vient de tout, de tout le monde, de partout.
Ses créations naissent d’un héritage laissé par des égéries pop art : James Rosenquist, Tom Wesselman et Andy Warhol et bien d’autres… .
(Par dossier de presse)
Dates : du 1 au 3 octobre 2021 – Entrée libre de 12h à 19h – Lieu : Espace Beaurepaire – 28 rue Beaurepaire 75010 Paris
Vernissage sur invitation jeudi 30 octobre de 18h à 22h