Sous la nef du Grand Palais, la photographie retrouve son souffle. Loin des effets spectaculaires, Paris Photo 2025 choisit la respiration : un regard élargi, des voix nouvelles, un art qui se souvient, s’hybride et se réinvente.
« Bricoleurs mais complètement marteaux ! Imprévisibles, déjantés et surtout très drôles, les Lapins mettent une sacrée pagaille partout où ils passent » — le ton est donné
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Sous la nef du Grand Palais, la photographie retrouve son souffle. Loin des effets spectaculaires, Paris Photo 2025 choisit la respiration : un regard élargi, des voix nouvelles, un art qui se souvient, s’hybride et se réinvente.
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« Bricoleurs mais complètement marteaux ! Imprévisibles, déjantés et surtout très drôles, les Lapins mettent une sacrée pagaille partout où ils passent » — le ton est donné
Au Petit Palais, le peintre Bilal Hamdad investit les galeries permanentes avec une vingtaine d’œuvres qui mêlent réalisme contemporain et héritage des maîtres anciens. Dans Paname, il fait dialoguer le Paris d’aujourd’hui avec celui de Courbet et de Manet, entre effervescence urbaine et silence intérieur.
Sous la nef du Grand Palais, la photographie retrouve son souffle. Loin des effets spectaculaires, Paris Photo 2025 choisit la respiration : un regard élargi, des voix nouvelles, un art qui se souvient, s’hybride et se réinvente.
