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Bénédicte de Loriol

En fonction depuis 2010, Bénédicte est notre directrice déléguée. Elle partage son expertise en de nombreux domaines. Elle dévore les livres comme d'autres dévorent le chocolat. Responsable des rubriques Littérature et Cinéma, elle gère aussi les opérations concours réalisées avec nos partenaires. Elle est notamment membre de l'Union des Journalistes de Cinéma (UJC).

Mission espace avec Thomas Pesquet : Agenda 2025-2026 (Flammarion jeunesse)

Mission espace avec Thomas Pesquet : Agenda 2025-2026 (Flammarion jeunesse) Votre enfant a besoin d'un agenda pour la prochaine rentrée scolaire ?Qu'il soit à l'Ecole,...

Cette maîtresse que j’aime infiniment (Casterminouche)

Cette maîtresse que j'aime infiniment (Casterminouche) Les éditions Casterminouche nous proposent un très chouette album : Cette maîtresse que j'aime infiniment.Publik'Art est fan de cette...

Marseille Jazz des cinq continents : 1er au 13 juillet 2025

Marseille Jazz des cinq continents Marseille Jazz des cinq continents, 1er au 13 juillet 2025 vÉdition spéciale pour les 25 ans Communiqué de presse Toute la diversité du...

Chez moi, album tout doux (Glénat jeunesse)

Chez moi, album tout doux (Glénat jeunesse) Les éditions Glénat jeunesse nous proposent un album tout doux pour nos tout-petits : Chez moi.Publik'Art vous a...

Les sept bébés, album jeunesse (Casterman)

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Notre Sélection

« I will survive » : rire nerveux et malaise garanti

Avec I Will Survive, Les Chiens de Navarre rappellent une vérité simple : quand la réalité devient trop absurde pour être racontée, il ne reste plus qu’à l’exagérer pour qu’elle redevienne audible. Jean-Christophe Meurisse l’a bien compris : l’outrance n’est pas une facilité, mais un outil — une loupe déformante pour mieux scruter les recoins les plus gênants de la société française. Et c’est justement parce qu’il observe si finement qu’il grossit si fort.

Une École de danse d’une troublante modernité à la Comédie-Française

Il arrive que le théâtre ressuscite des œuvres qu’on croyait promises à l’oubli. Avec "L’École de danse", Clément Hervieu-Léger réalise précisément cela : redonner souffle à une comédie que Goldoni retira de l’affiche après deux malheureuses représentations. Un naufrage originel, devenu aujourd’hui matière à renaissance.