[BD] Sa Majesté des Ours, t.2 : par Vatine, Cassegrain et Dobbs (Comix Buro)
Ce deuxième album de Sa Majesté des Ours était attendu, le voici tout juste disponible en librairie aujourd’hui. Et autant dire qu’il saura une nouvelle fois combler les lecteurs en quête d’aventure, de suspens et de révélations !
Après un premier album introductif plutôt prometteur, Olivier Vatine et Didier Cassegrain viennent largement étoffer leur scénario et confirmer tout le potentiel de la série. C’est avec plaisir que nous retrouvons donc une pléiade de figures animalières, souvent impressionnantes, toujours superbement mises en images par Dobbs. Sa Majesté des Ours jouit désormais d’un récit plus que solide et réfléchi, qui autorise de multiples rebondissements avec fluidité sans trop en révéler. Car demeurent certains mystères qui s’épaississent au gré des complicités et des trahisons qui guettent nos héros préférés…
Servi par un univers graphique riche et très agréable à parcourir, Sa Majesté des Ours est donc une aventure à suivre de près. On attend déjà la suite avec impatience !
Extrait de la BD :
Résumé de l’éditeur :
Le piège se resserre. Capturés par un éléphant géant, colosse de pierre soudain éveillé d’un sommeil antique, Nyx, Kodiak et Ifrit sont emmenés au coeur de la jungle. Coincés au creux de sa patte, ils se dirigent vers une destination inconnue. Thélème, Struzzo et Milhius ont observé, impuissants, leurs compagnons se faire emporter et sont bien décidés à les retrouver. Dans le même temps, à Valencyre, la résistance se met d’ores et déjà en place : le coup d’état de Kermodes ne passera pas. Tous les rouages du destin progressent inéluctablement et semblent diriger le monde dans une seule et même direction : celle du drame et du chaos… Sa Majesté des ours nous plonge dans un univers de fantasy léché et complexe. Derrière le masque de l’animal, se dessine le portrait d’une humanité sur le déclin. Une nouvelle saga anthropomorphique et audacieuse sublimée par la griffe de Dobbs, l’instinct d’Olivier Vatine et la patte de Didier Cassegrain.