Concours : Max Jury, 4 places de concert à gagner, à Paris

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A l’occasion du concert de Max Jury à La Gaité Lyrique, à Paris, le 20 mai 2016, Publik’Art vous offre la possibilité de gagner :

2×2 places pour le concert de Max Jury à La Gaité Lyrique, à Paris, le 20 mai

Max Jury

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Pour participer à notre concours, il vous suffit de répondre directement au quizz ci-dessous avant le 16 mai 2016. Evidemment, les infos ci-dessous vous seront indispensables pour trouver les bonnes réponses.

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MAX JURY, Premier album : Max Jury
Sortie le 3 juin 2016
Marathon Artists / [PIAS] En concert à la Gaité Lyrique le 20 Mai

« Honey, here I go again, down that crooked road of sin… »
(Chérie, me voici à nouveau sur cette tortueuse voie du péché…)

Max Jury est un talent précieux. On a tous déjà lu de telles affirmations. Mais quand on entend sa musique, on ne peut qu’être d’accord.
Jeune chanteur, auteur-compositeur et pianiste à la voix douce, originaire de Des Moines, dans l’Iowa, Max Jury a trouvé un filon musical d’une richesse et d’une pureté incroyables. Son premier album éponyme est un classique en herbe. Pensez à l’Americana blessée de Gram Parsons, aux riches histoires accompagnées de piano de Randy Newman et de Tom Waits, aux mélodies luxuriantes de Paul McCartney et au feeling gospel brut des Rolling Stones jouant des ballades country. Puis tracez un lien fragile entre la soul tendre de Curtis Mayfield et d’Al Green et les beats d’Alicia Keys et de D’Angelo au 21ème siècle. Tissez une toile magique avec les chansons intimistes typiques de Laurel Canyon dans les seventies et la Neo Soul du 21ème siècle, et soufflez sur le tout dans un murmure haletant d’émotion. La musique de Max Jury est d’une rare beauté.

Max n’a que 23 ans. Il chante et joue du piano depuis son enfance. Il a grandi dans une maison remplie de country, de soul et de rock classique mais quand il a entendu Neil Young, au début de l’adolescence, il s’est produit quelque chose en lui. Il a commencé à écrire des chansons et, petit à petit, a réalisé qu’il avait trouvé un sens à sa vie. « Je venais de rompre avec une fille », dit Max, avec une retenue timide. « L’histoire classique. Les chansons m’ont offert un moyen d’exprimer ce que je ressentais. Elles m’ont aidé à traverser cette sale période. » Il a commencé à fouiller plus profond dans la musique country qui constituait la bande son de la vie dans l’Iowa, se frayant un chemin à travers George Jones et Willie Nelson jusqu’à Gram Parsons, aux Byrds, aux Flying Burrito Brothers et à des artistes contemporains comme Lucinda Williams et Wilco. Avec ses amis ados, il a adopté le rock alternatif et débraillé d’Elliott Smith, de Pavement et de Sebadoh. Et grâce à l’amour de ses parents pour la soul classique, il a trouvé un lien avec D’Angelo et même avec le hip hop émotionnel de Drake et de The Weeknd. « La soul et la country peuvent sembler être deux genres très différents, mais ôtez les arrangements et vous découvrirez le même style de chansons et de situations, qui parlent d’histoires d’amour. »

Les prodigieux talents de Max lui ont valu d’obtenir une bourse pour la célèbre école de musique de Berklee à Boston, mais ça ne s’est pas très bien passé. « J’avais des idées préconçues, comme quoi ça allait être une sorte de collectif hippie et qu’on écrirait tous des chansons ensemble, mais au lieu de ça, c’était un environnement compétitif et agressif, rempli de gens jouant des coudes pour se frayer un chemin vers le sommet du monde de la pop. » Et il y avait une fille qui l’attendait chez lui. Il a laissé tomber au milieu de la première année pour vivre avec elle à Des Moines et s’est trouvé un boulot d’agent d’entretien pour la municipalité, dans les parcs et jardins. « En gros, je nettoyais la merde dans les toilettes, je paillais les aires de jeu et je réparais les paniers de basket. Je suis d’une nature plutôt délicate, je ne suis pas quelqu’un qu’on associe à un travail manuel, et tous les gars qui travaillaient ne cessaient de s’en prendre à moi. Je me disais, Oh mon Dieu, sortez-moi de là.» Pendant ce temps, sa petite amie déménage à New York, laissant Max se sentir piégé, sans savoir où aller. La chanson « Numb », le titre d’ouverture de son premier album, évoque son désir d’évasion. « Ça a été un été très dur mais je m’en suis sorti et j’en ai tiré une chanson. »

Une certaine texture de la vie américaine forme la toile de fond de l’art de Max, une sensibilité classique poussant à découvrir de la beauté dans des endroits affreux. « L’Iowa peut être assez redneck. Je n’ai pas grandi dans un lotissement de mobil-homes, mais ça a été le cas de la majorité de ma famille élargie, j’ai donc pas mal trainé dans ces endroits. Je ne veux pas l’idéaliser et mettre ça sur un piédestal. Mais je me sens lié à ce qu’ils vivaient. J’ai tendance à écrire des chansons introverties basées sur mes relations personnelles et sur ce qui se passe dans ma propre tête. Tout ça est assez autobiographique. Je ne sais pas quoi faire d’autre de ma vie. »

Tout au long des moments les plus sombres de son existence, Max a continué à écrire des chansons, à jouer du piano dans des groupes locaux, et à se produire seul sur scène. Il a été accepté à nouveau à Berklee mais, à ce moment-là, sa musique commençait à prendre une vie propre. Quand Max joue et chante, on peut entendre une mouche voler. Il vous attire dans son monde avec des chansons parfaitement construites, douces-amères, romantiques, couvertes de bleus et pleines d’espoir. Sa voix est une pure merveille. « J’ai dû apprendre à chanter doucement, à trouver une façon d’utiliser ce que j’avais, parce que je ne briserais jamais des verres avec des notes surpuissantes. C’est ce que j’ai essayé d’apprendre de chanteurs comme Al Green, Curtis Mayfield et D’Angelo, ils ont une façon d’attaquer les notes totalement intime et personnelle, mais ils ont plus d’âme que quiconque. »

Il a joué en Amérique, en Europe, se faisant des amis partout où il se produisait. Il a tourné en première partie de Lana Del Rey. Il s’est retrouvé dans une fête des Grammy, à taper des cigarettes à Katy Perry. « Je suis un mec un peu agité, donc j’aime visiter toutes ces villes différentes, voir différentes cultures, et apprendre des choses sur les gens de cette façon. On peut se sentir un peu seul, à force de rencontrer des gens qu’on ne reverra jamais. Mais je ne me plains pas. Je ne suis plus agent d’entretien, en train d’essuyer la merde sur le sol des toilettes publiques. »

Il a commencé à enregistrer son premier album à New York avec le producteur de hip hop Inflo et un groupe constitué de musiciens qui ont accompagné Alicia Keys et D’Angelo, au cours de séances qui duraient des nuits entières, dans les légendaires studios Electric Lady. Un malencontreux incident impliquant de la cire de bougie et la table de mixage historique de Jimi Hendrix a conduit à l’expulsion de Max. À cours d’argent, Max s’est retrouvé dans le home studio de son ami bassiste Stacy TK, en Caroline du Nord. « C’était littéralement le salon de ses parents, juste un portable et une petite interface, quelques softs d’enregistrement vieillots, mais plein d’instruments merveilleux et de micros vintages. » Il voulait maintenir le pont qu’il avait bâti entre le gospel-soul et ses propres racines country, et il s’est adressé au directeur musical d’une église noire locale. « Un gars du nom de Jackson Scott s’est pointé avec ses trois cousins, et il est devenu primordial pour l’album. Il travaille à l’église, il vit en pleine cambrousse, et c’est le guitariste le plus étonnant, l’un des musiciens les plus fluides et authentiques que j’aie jamais entendus. Et ses cousins chantent comme des anges. Tout vient directement du cœur. C’était une immense bénédiction. » Ils ont passés trois semaines enfermés avec Jackson, à finir l’album. Max joue du piano, un peu de batterie, des percussions, et de la guitare rythmique. L’album terminé parle de lui-même.

« Écrire, c’est un peu comme tenir mon journal intime », dit Max. « Les chansons sont toutes assez autobiographiques. Je ne veux pas faire de grandes déclarations, parce que je ne saurais pas quoi dire. C’est ma musique. Elle est ce qu’elle est. J’espère que les gens vont l’aimer. »

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Ce concours est organisé sur le site Publikart.net uniquement. Ce concours est réservé à la France métropolitaine, le Luxembourg, la Belgique et la Suisse.

Pour jouer à ce concours sur le site de Publikart.net, après avoir renseigné vos réponses, vos coordonnées et, le cas échéant votre choix de newsletter, cliquez à chaque étape sur les boutons « Suivant », puis « Envoyer » situés en bas du formulaire.

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Le concours prendra fin le 16 mai 2016 à 24h00. Les réponses reçues après cette date limite ne seront pas valides et ne seront pas comptées dans le nombre total de participations. L’attribution du(des) lot(s) se fera par tirage au sort parmi les bonnes réponses sans autre condition. Les fans Facebook auront 2 fois plus de chances de gagner que les autres !

Un article publiant le nom du(des) gagnant(s) paraîtra le jour du tirage au sort. La participation à ce jeu implique que vous autorisiez Publik’Art à utiliser les informations vous concernant dans ce concours. Publik’Art s’engage à ne pas les transmettre à d’autres personnes ou sociétés que le ou les partenaires cités dans le présent concours dans le cadre légal d’une opt-in et/ou pour l’envoi des lots. L’expédition des lots est en effet confiée au partenaire sous sa charge et sa responsabilité. Publik’Art ne peut en aucun cas être tenu responsable du mauvais acheminement des lots aux gagnants du concours.

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Bénédicte de Loriol
En fonction depuis 2010, Bénédicte est notre directrice déléguée. Elle partage son expertise en de nombreux domaines. Elle dévore les livres comme d'autres dévorent le chocolat. Responsable des rubriques Littérature et Cinéma, elle gère aussi les opérations concours réalisées avec nos partenaires. Elle est notamment membre de l'Union des Journalistes de Cinéma (UJC).

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