Be my wife, un artiste unique et addictif à découvrir avec...
Be My Wife est le pseudonyme de l’artiste argentin Federico Nessi, pseudonyme clairement inspiré du célèbre titre de David Bowie sur son album Low...
Lady Macbeth de Msensk ou l’amour à mort selon Warlikowski, est...
Lady Macbeth de Mzensk est un brûlot, un coup de poing, un de ces opéras qui marque durablement l’imaginaire. Chef-d’œuvre d’un Chostakovitch d’à peine trente ans, le livret entraine l’art lyrique sur des voies sulfureuses.
Le classique de Kurosawa Entre le ciel et l’enfer au cinéma...
Akira Kurosawa est surtout connu pour ses films de samouraï. Il livre ici un polar aux différentes dimensions. Le polar est d'abord psychologique avec...
Un film plein de mystère avec Sleeping Dogs en VOD/EST le...
Le casting de ce film comprend avant tout le grand Russel Crowe dans le rôle principal d’un enquêteur souffrant d’Alzheimer. Mis au repos par sa...
Un seul en scène solaire avec la pièce Robinson au Lucernaire
Le Lucernaire laisse toute la place nécessaire à Erwan Creignou pour adapter, mettre en scène et interpréter le roman d'aventures anglais Robinson Crusoé de Daniel Defoe, publié...
Entre mes deux maisons (Milan)
Entre mes deux maisons (Milan)
Les éditions Milan nous proposent un album jeunesse particulièrement juste : Entre mes deux maisons.
C'est l'histoire d'une petite fille qui...
A l’opéra de Paris, la danse musicale de George Balanchine sur...
Fils de compositeur, George Balanchine (1904-1983) a appris la musique avant la danse. Toute sa vie, il a gardé cet intérêt et cette intime connaissance de la musique qui, seule, a guidé ses créations. Il disait lui-même : "Le ballet est avant tout une affaire de tempo et d’espace : l’espace délimité par la scène, le temps fourni par la musique".
C’est donc cette musicalité des corps qui est à l’œuvre en cette soirée consacrée au maître où son classique abstrait, affranchi de toute narration, tend à l’épure et à cette géométrie de l’espace, entièrement dédiée à la musique et au mouvement. Un pur ravissement.
Deux pièces majeures font leur entrée au répertoire du Ballet de l’Opéra de Paris. Ballet impérial, créé en 1941 par l’American Ballet Caravan sur le Concerto pour piano n° 2 de Piotr Ilyitch Tchaïkovski, et Who Cares? créé en 1970 par le NewYork City Ballet sur une musique de George Gershwin. Mikhail Agrest, qui fait ses débuts à l’Opéra de Paris, dirige l’Orchestre de l’Opéra de Paris.
Disparition d’Agnès Berthon, figure emblématique et singulière de l’œuvre de Joël...
Née à Alger le 23 juin 1959, jumelle de Florence, rapatriée sans souvenir mais avec la mémoire d’un exil fondateur, Agnès Berthon a grandi entre Massif central et Méditerranée, rock anglais et adolescence électrique.
Un mal irréparable, un roman de Lionel Duroy (Mialet-Barrault Editeurs)
Un mal irréparable, un roman de Lionel Duroy (Mialet-Barrault Editeurs)
Publik’Art suit, avec passion, Lionel Duroy depuis des années ! Encore une fois, son dernier...
J’ai adoré mourir, de Sophie Chauveau (Editions Télémaque)
J’ai adoré mourir, de Sophie Chauveau (Editions Télémaque)
Sophie Chauveau nous confie ses pensées dans son dernier livre : J’ai adoré mourir. Si elle raconte...
Sortie d’Oxana en DVD, BRD et VOD le 19 août, le...
Le film Oxana de Charlène Favier raconte la naissance du mouvement Femen. Le mouvement a été fondé notamment par Oksana Chatchko, artiste peintre et...
« Mad Men » : le vide sublime du rêve américain
"Mad Men", c’est une série qui a réussi l’exploit de transformer le néant en objet d’art. Sept saisons où l’on regarde des types fumer, boire, tromper leurs femmes et essayer de vendre du shampoing comme si c’était Shakespeare. Et le pire ? On est fascinés.
Parce que derrière les costumes taillés et les répliques glacées, il y a quelque chose de plus grand, de plus sombre : le spectacle sublime de l’illusion qui se fissure.
Marie-Laure de Decker à la MEP : l’art de viser juste
La MEP nous tend le miroir d’une époque en cendresfeu : Vietnam, Tchad, Soweto, l’ombre de Pinochet… Le conflit est là, bien présent, mais Marie-Laure de Decker évite le choc frontal — elle préfère le hors-champ, la suggestion, l’humanité effleurée, non la violence surimprimée
J’aime les animaux ! (Glénat Jeunesse)
J'aime les animaux ! (Glénat Jeunesse)
Les éditions Glénat jeunesse nous proposent un très bel album jeunesse, documentaire sur le thème des animaux: J'aime les...
« Le Messie » selon Wilson : icônes, silences et éclats – à...
En hommage à Bob Wilson, disparu le 31 juillet 2025, (notre article ici), ARTE concert propose de (re)découvrir sa mise en scène du célèbre oratorio de Haendel réorchestré par Mozart. Un spectacle créé à Salzbourg en 2020, porté par le chef d'orchestre français Marc Minkowski et Les Musiciens du Louvre. Capté le 23 janvier 2020 lors de la Semaine Mozart à Salzbourg en Autriche et disponible jusqu’au 5 novembre 2025.
Othello ou la passion selon Shakespeare ! sur France 4, le...
Shakespeare analyse avec génie l’humain dans sa dimension intemporelle et universelle.
Complexes, équivoques et ambigus, tout en clairs-obscurs et en contrastes, ses personnages de théaâtre et quel théâtre laissent deviner, dans le conflit entre raison et passion, monstruosité et angélisme, sublime et grotesque, toute l’ambivalence d’une humanité protéiforme.
Après Le roi Lear qu’il avait monté au festival d’Avignon il y a 15 ans, Jean-François Sivadier revient à Shakespeare avec Othello et nous offre un grand moment de théâtre.
La pièce emblématique du dramaturge anglais nous embarque dans les aventures d’un homme d’honneur, le Maure de Venise, qui après avoir offert sa confiance au plus fourbe des êtres, Iago, finira par sombrer dans la barbarie.
Couteaux affûtés, esprits aussi : Julien Lefebvre relance la partie
’assassinat — ce vieux sport d’intérieur que la littérature anglaise a su élever au rang d’art dramatique — revient, sous les traits ciselés de Julien Lefebvre, hanter les planches d’un théâtre victorien aussi feutré qu’assourdissant de mystères.
Bob Wilson, l’architecte de l’épure s’est éteint – Hommage à un...
Bob Wilson est mort. L’annonce résonne comme un coup de tonnerre feutré dans le ciel de la scène contemporaine. L’Américain au regard d’architecte, aux gestes millimétrés, aux silences qui parlent plus que les mots, s’en est allé, laissant derrière lui une œuvre qui défie le temps, la narration linéaire, la logique même du spectacle.
Une BD comme un bon sucré pour les fans de Macca...
Les éditions Casterman font plaisir avec un joyau écrit et dessiné par Hervé Bourhis. La BD débute entre 1969 et 1970, l'ambiance chez les...
J’aime la mode ! (Glénat jeunesse)
J'aime la mode ! (Glénat jeunesse)
Les éditions Glénat jeunesse nous proposent un très bel album jeunesse, documentaire sur la thème de la mode :...



