Non contente d’être chanteuse, Stéphanie Acquette est également multi-instrumentiste. Elle dévoile un univers coloré et décalé avec le clip de Je m’en vais, titre très pop et léger. Son album Diaporama sort aujourd’hui chez Sanctuaire Records / Inouïe Distribution, et c’est le moment d’en savoir plus.
Une artiste à l’univers foisonnant
Originaire du Nord de la France, Stéphanie Acquette se frotte aux instruments de musique dès 8 ans en débutant par le plus facile, cornemuse et flûtes irlandaises. Décidée à creuser le sillon musical, elle poursuit en autodidacte avec la pratique de la guitare et de la basse, se perfectionnant auprès de musiciens russes et tziganes. Elle part d’ailleurs de nombreuses fois en Russie pour découvrir et faire sien les chants traditionnels. Son cursus d’art dramatique au conservatoire de St Maur et des études musicales au conservatoire de Créteil lui permettent de creuser encore plus ses aspirations. En plus de la musique, elle se passionne pour le 7e art et enrichit son sens de l’image avec des études cinématographiques à l’université Paris 7. Maintenant ancrée dans le paysage musical hexagonal, elle se produit régulièrement sur les scènes françaises en tant que musicienne comme aux 3 Baudets, au Pop In, au Supersonic, aux Etoiles, au Volcan, au Train-Théâtre, à l’Adagio ou à l’Eden. Le premier extrait de l’album Diaporama, Je m’en vais, accompagné d’un clip très chamarré, se veut un instantané en technicolor. La pochette le montre bien, la chanteuse fait défiler chaque moment comme une diapositive, pour varier à chaque fois les univers, comme si chaque chanson recelait en elle-même un mini-univers cinématographique. Nourrie à la musique et au 7e art, Stéphanie Acquette a intégré des éléments très personnels dans ses chansons. Le clip de sa chanson Je m’en vais réalisé par Raphaëlle Chovin reprend le thème de la femme au foyer des années 50, avec ce cadre rigide d’où la femme veut pouvoir s’échapper pour vivre sa vie comme elle l’entend.
L’album Diaporama se déguste comme une friandise remplie de références cinématographiques qui s’intègrent parfaitement à la musique pour un ton décalé qui fait sourire et réfléchir.