Date de sortie : 16 juillet 2014
Auteur : Akira Hiramoto (scénario et dessin)
Prix : 7,99 €
Prison School est un nouveau manga en 13 tomes signé Akira Hiramoto, qui avait réalisé, dans un autre registre, l’excellent Me and the Devil Blues en quatre tomes. Il est également l’auteur de Ago nashi Gen to Ore Monogatari, série humoristique qui l’a fait connaître. D’une certaine façon, avec Prison School, il renoue avec son premier amour : l’humour. Le premier tome, bientôt en librairie, annonce en effet une série complètement barrée où cinq jeunes lycéens se retrouvent propulsés dans un internat qui ne compte que des filles… Ce qui ne se fera pas sans heurts.
Résumé de l’éditeur :
Kiyoshi intègre le lycée Hachimitsu, un ancien lycée pour filles connu comme étant l’un des meilleurs, mais aussi l’un des plus stricts. Cette année est la première année dans l’histoire de l’école où les garçons peuvent y accéder. À sa grande surprise, il se rend compte, qu’il n’y a que quatre autres garçons dans le lycée, soit un garçon pour 200 filles ! Ils sont plein d’espoir et se disent que c’est la chance de leur vie de pouvoir aborder enfin une fille, mais les choses prennent une tournure différente… En effet, aucune fille ne leur adresse la parole, pire encore, elles les ignorent totalement ! Un jour, alors qu’ils s’adonnent à une séance de voyeurisme, ils se font surprendre et séquestrer dans les sous-sols de l’établissement. Leur cauchemar ne fait alors que commencer !
Le scénario d’Akira Hiramoto échafaude tout un stratagème pour faire en sorte que ces cinq jeunes garçons cèdent à leurs instincts les plus bas dès les premières pages et ce… jusqu’à se retrouver enfermer dans la prison de l’école…. Et à partir de là, ils iront d’humiliations en supplices physiques… et ils vont aimer ça (?!). Un pitch aussi original que loufoque mais toutefois divertissant.
L’auteur en profite donc pour s’amuser avec tout ce qui peut être imaginable en dessous de la ceinture, avec un dessin qui n’hésite pas à jouer à la carte du sexy mais également du comique.
Après le premier tome, on ne peut qu’être intrigué…