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Bénédicte de Loriol

En fonction depuis 2010, Bénédicte est notre directrice déléguée. Elle partage son expertise en de nombreux domaines. Elle dévore les livres comme d'autres dévorent le chocolat. Responsable des rubriques Littérature et Cinéma, elle gère aussi les opérations concours réalisées avec nos partenaires. Elle est notamment membre de l'Union des Journalistes de Cinéma (UJC).

Au revoir là-haut, un livre de Pierre Lemaitre, Prix Goncourt 2013

Un livre, remarquablement bien écrit, avec un vocabulaire parfois très dur pour décrire l’Horreur de la guerre. Ce livre choque. Il est dur mais nous fait aussi souvent rire.

Les Poubelles Boys en tournée à Anglet, à la Salle Quintaou, avec leur spectacle : En chantier

Les Poubelles Boys Avec : Jean-Baptiste Musset, Kamel Benac et Stéphane Benac   Décidément, la saison commence très fort à Anglet, à la nouvelle Salle Quintaou. Après...

La plage des Cavaliers, un des plus beaux spots de surf de la Côte Basque menacé par une marée noire, vidéo impressionnante.

Le cargo de 100 m de long et de plusieurs tonnes s'est brisé en deux, comme une boite d'allumettes, contre la digue de la Plage des Cavaliers, le meilleur spot de surf de la côte, sans aucun doute. Une véritable catastrophe.

Notre Sélection

« I will survive » : rire nerveux et malaise garanti

Avec I Will Survive, Les Chiens de Navarre rappellent une vérité simple : quand la réalité devient trop absurde pour être racontée, il ne reste plus qu’à l’exagérer pour qu’elle redevienne audible. Jean-Christophe Meurisse l’a bien compris : l’outrance n’est pas une facilité, mais un outil — une loupe déformante pour mieux scruter les recoins les plus gênants de la société française. Et c’est justement parce qu’il observe si finement qu’il grossit si fort.

Une École de danse d’une troublante modernité à la Comédie-Française

Il arrive que le théâtre ressuscite des œuvres qu’on croyait promises à l’oubli. Avec "L’École de danse", Clément Hervieu-Léger réalise précisément cela : redonner souffle à une comédie que Goldoni retira de l’affiche après deux malheureuses représentations. Un naufrage originel, devenu aujourd’hui matière à renaissance.