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Gaël

Gaël a créé Publik'Art en 2009. Notaire de formation, il est responsable de la rubrique BD et gère l'administration du site (webmaster). Il vit dans le sud de la France d'où il anime le webzine avec les membres de la rédaction, présente sur la majeure partie de l'hexagone : Paris, Bayonne, Montpellier, Lille, Lyon.

Après Kill Bill 3, Tarantino renonce à son western The Hateful Eight

Alors qu'il avait déclaré il y a quelques jours avoir terminé le scénario de ce qui devait être son prochain film, Quentin Tarantino  a...

Philip Seymour Hoffman sera l’acteur principal de la série télé « Happyish »

C'est officiel, la série Happyish est lancée en production. Elle sera diffusée sur Showtime qui en a commandé 10 épisodes pour une première saison....

Découvrez les maquettes du futur Parc Spirou !

L'ensemble du parc, composé de trois phases à construire, impliquera un investissement total de 75 M €, avec une création à terme de 220 emplois CDI et 190 emplois CDD. Le plan de développement prévoit une croissance régulière des visiteurs en fonction de l’installation des nouvelles attractions avec comme point de départ une fréquentation d’environ 480 000 visiteurs.

FIBD d’Angoulême 2014 : tout le programme des éditions Casterman à découvrir

Les éditions Casterman offrent une grosse actu au prochain Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême, du 30 janvier au 2 février 2014, avec...

Notre Sélection

« I will survive » : rire nerveux et malaise garanti

Avec I Will Survive, Les Chiens de Navarre rappellent une vérité simple : quand la réalité devient trop absurde pour être racontée, il ne reste plus qu’à l’exagérer pour qu’elle redevienne audible. Jean-Christophe Meurisse l’a bien compris : l’outrance n’est pas une facilité, mais un outil — une loupe déformante pour mieux scruter les recoins les plus gênants de la société française. Et c’est justement parce qu’il observe si finement qu’il grossit si fort.

Une École de danse d’une troublante modernité à la Comédie-Française

Il arrive que le théâtre ressuscite des œuvres qu’on croyait promises à l’oubli. Avec "L’École de danse", Clément Hervieu-Léger réalise précisément cela : redonner souffle à une comédie que Goldoni retira de l’affiche après deux malheureuses représentations. Un naufrage originel, devenu aujourd’hui matière à renaissance.