Rédacteur ciné, théâtre, musique, BD, expos, parisien de vie, culturaddict de coeur. Fondateur et responsable du site Culturaddict, rédacteur sur le site lifestyle Gentleman moderne. Stanislas a le statut d'érudit sur Publik’Art.
L'arrivée d'une nouvelle détenue chamboule le petit univers de Suzanne, taularde revêche et forte en gueule. Entre les deux femmes que tout oppose, une amitié surprenante va éclore et leur faire multiplier les confidences sous le regard inquisiteur d'une surveillante fureteuse.
Zahira, belgo-pakistanaise de dix-huit ans, doit faire le choix entre tradition et choix personnel. Le jour où ses parents tentent de lui imposer un mariage forcé, elle ne sait pas comment se comporter.
L'été est chaud dans la propriété de Sonia, fille du Herr professeur et nièce de l'Oncle Vania. Ce dernier a travaillé d'arrache pied toute sa vie durant dans le domaine et est fatigué d'avoir envoyé un revenu régulier au professeur sans aucune reconnaissance en retour. Quand ce dernier vient au domaine avec sa deuxième femme Elena, les passions se révèlent dans un tourbillon assourdissant.
Le portrait du protestant français le plus emblématique du XIXe siècle dont l’œuvre contribua à changer le regard posé sur les personnes atteintes d’un handicap physique ou mental.
Un meurtre a été commis. Des morceaux de corps ont été retrouvés dans différents trains tous passés par un même lieu. Une femme s'accuse du crime. Un enquêteur tente de percer le mystère en interrogeant cette femme et son mari.
Un couple en pleine crise engage une nounou d'origine malienne pour s'occuper de leur petite fille. La décomposition du couple se poursuit tandis que la nounou fait de son mieux pour satisfaire tout le monde.
Avec I Will Survive, Les Chiens de Navarre rappellent une vérité simple : quand la réalité devient trop absurde pour être racontée, il ne reste plus qu’à l’exagérer pour qu’elle redevienne audible. Jean-Christophe Meurisse l’a bien compris : l’outrance n’est pas une facilité, mais un outil — une loupe déformante pour mieux scruter les recoins les plus gênants de la société française. Et c’est justement parce qu’il observe si finement qu’il grossit si fort.
Il arrive que le théâtre ressuscite des œuvres qu’on croyait promises à l’oubli. Avec "L’École de danse", Clément Hervieu-Léger réalise précisément cela : redonner souffle à une comédie que Goldoni retira de l’affiche après deux malheureuses représentations. Un naufrage originel, devenu aujourd’hui matière à renaissance.