Deepwater Prison, tome 1 : une BD de Christophe Bec et Stefano Raffaele (Soleil)

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Date de sortie : le 5 mars 2014

Auteurs : Christophe Bec (scénario) et Stefano Raffaele (dessin)

Prix : 13,95 € (48 pages)

Deepwater Prison est une nouvelle série SF du très prolifique Christophe Bec (Bunker, Carthago, Doppelgänger, le double maléfique, Pandemonium, Sanctuaire, l’Aéropostale, Sibéria 56…) illustrée par Stefano Raffaele (Pandemonium, Promethee). Le premier album, Constellation plante le décor : bienvenue dans le monde merveilleux de la prison la mieux sécurisée au monde, 900 mètre sous le niveau de l’océan.

Résumé de l’éditeur :

La délinquance et le crime ont augmenté en flèche aux États-Unis, les prisons sont surpeuplées. Le gouvernement américain a mis à l’étude un nouveau modèle de prison, installée dans une fosse marine abyssale au large des Bermudes, pour des détenus purgeant de longues peines. Les criminels les plus dangereux du pays y sont ainsi abandonnés et livrés à leur propre sort. À cette profondeur, impossible de s’échapper ! D’autant que la zone est infestée par les Serpentoïdes, de redoutables anguilles géantes.
Neuf cent mètres plus haut, à la surface, une plate-forme pétrolière explose et sombre, provoquant la plus grande catastrophe écologique de tous les temps. Une équipe de colmatage est envoyée en urgence dans les fonds marins. Seul lieu de résidence à cette profondeur, la Deepwater Prison, où des mutins fomentent des plans d’évasion…

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Deepwater Prison commence fort avec ce premier album au récit dopé aux explosions, aux monstres aquatiques et aux bagnards assoiffés de sang. Ce n’est pour l’instant que la partie visible de l’iceberg car comme Christophe Bec en a l’habitude, les mystères sont habilement préservés. Pour l’instant, ce premier album – explosif – n’est qu’une amorce. On a hâte que le scénariste appuie sur le détonateur.

Le dessin de Stefano Raffaele respecte quant à lui avec brio la charte graphique du scénariste qui avait illustré Sanctuaire avec un réalisme quasi photographique. Des traits fins et sombres qui dégagent une certaine froideur. Une atmosphère qui va toujours très bien avec les récits qui tutoient les fonds abyssaux.

Une nouvelle fois avec Deepwater Prison Christophe Bec n’est pas près de se faire oublier…

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