Outcast, nouvelle série de Robert Kirkman
Créateur de la série culte Walking Dead, Robert Kirkman (qui a également signé Invincible, Le Maître Voleur, Les Gardiens du Globe, Tech Jacket…) s’associe au dessinateur Paul Azaceta (B.P.R.D. 1946, Irrécupérable, The Amazing Spider-Man, Grounded…) sur une nouvelle série qui dépasse déjà les tirages de la célèbre série aux zombies aux Etats-Unis. C’est avec Passion, premier tome d’Outcast, que les hostilités débutent en France. Âmes sensibles s’abstenir.
Date de parution : le 1er avril 2015
Auteurs : Robert Kirkman (scénario), Paul Azaceta (dessin) et Elizabeth Breitweizer (couleurs)
Editeur : Delcourt
Prix : 16,95 € (160 pages)
Résumé de l’éditeur:
Kyles Barnes vit reclus dans sa maison, terrassé par un passé douloureux. Il lutte depuis son enfance contre l’emprise de démons sur sa vie et son entourage. Lorsque le révérend de sa ville natale le sollicite pour l’aider à pratiquer un exorcisme, Kyle commence à faire le lien avec la possession de sa mère. Il est sur le point de dévoiler la véritable nature de ses dons, qui vont s’avérer terrifiants…
A noter : l’adaptation d’Outcast en série télé est d’ores est déjà en cours de développement !
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Communiqué de presse :
En imaginant un scénario beaucoup plus ancré dans la réalité que Walking Dead, Robert Kirkman franchit un cap dans l’horreur. Outcast s’inspire en effet d’histoires comme l’Exorciste pour nous faire trembler. Le jeune Kyles Barnes semble maudit par un étrange sort. Ses proches sont les uns après les autres possédés par un être maléfique… Et seul Kyles – un banni – semble pouvoir les arrêter. Pour cela, il lui faut à chaque fois faire couler le sang. Un récit très violent, qui cache en réalité une intrigue d’envergure où des forces obscures sont à la manoeuvre. Le scénariste promet une série épique, beaucoup plus horrifique que celle qui l’a fait connaitre. C’est dire l’ambitieuse série qu’Outcast représente !
Pour l’instant, c’est surtout le dessin virtuose de Paul Azaceta qui nous explose les rétines par sa puissance phénoménale. Un graphisme dense, au trait appuyé et aux cadrages souvent audacieux. L’illustrateur parvient à déformer les visages des possédés en leur prêtant même des sourires à glacer le sang. Un dessin diabolique habité par une coloration de belle intensité.
Ce premier tome d’Outcast est une entrée en matière fracassante, gage d’un futur certainement radieux pour cette série horrifique.