Manipulateur de mots pour la presse web depuis quelques années. Cinéphage compulsif, féru de culture en tout genre, de voyages, de musique électronique, de foot. Rejeton de Chaplin & Hitchcock.
Ce qui attire l’œil du cinéphile indubitablement à la lecture du programme du 46e Festival Cinémed est l’omniprésence d’œuvre datant du XXIe siècle, allant...
Tracer des lignes.
Le monde d'après. Retenir les leçons. S'en émanciper. Apprendre à (s')aimer. Comprendre notre destinée. Le cinéma, miroir de notre quotidien, de nos...
2020, l'année des émotions et des événements contrastés.
A l'heure où la réouverture des salles de cinéma vient une nouvelle fois d'être repoussée, nous voilà...
2019, l'année de la beauté tout azimut ... et de la relève.
Surprenant classement final que celui-ci exempt de véritables maîtres du jeu comme Martin...
Catherine Hiegel s’empare avec le talent qu’on lui connait, d’un grand rôle féminin en confiant à Isabelle Carré (exceptionnelle) le personnage de « La Serva amorosa », une femme libre et indépendante avant l’heure imaginée par Goldoni. Une femme stratège aussi qui, en usant de toutes les ruses, rétablira son maître, injustement déshérité, dans la place sociale qui lui revient.
A travers cette farce mais pas que, Goldoni inverse le rapport de domination entre maîtres et valets. Il dessine des personnages à la fois inspirés de la commedia dell’arte mais aussi profondément humains, inspirés de l’observation de ses contemporains.