Manipulateur de mots pour la presse web depuis quelques années. Cinéphage compulsif, féru de culture en tout genre, de voyages, de musique électronique, de foot. Rejeton de Chaplin & Hitchcock.
Ce qui attire l’œil du cinéphile indubitablement à la lecture du programme du 46e Festival Cinémed est l’omniprésence d’œuvre datant du XXIe siècle, allant...
Tracer des lignes.
Le monde d'après. Retenir les leçons. S'en émanciper. Apprendre à (s')aimer. Comprendre notre destinée. Le cinéma, miroir de notre quotidien, de nos...
2020, l'année des émotions et des événements contrastés.
A l'heure où la réouverture des salles de cinéma vient une nouvelle fois d'être repoussée, nous voilà...
2019, l'année de la beauté tout azimut ... et de la relève.
Surprenant classement final que celui-ci exempt de véritables maîtres du jeu comme Martin...
Depuis plus de vingt ans, Joël Pommerat qui se revendique "écrivain de plateau", écrit et met en scène. Reconnaissables dès les premières secondes pour l’univers poétique dont elles sont tissées, mêlant intimement le clair-obscur de l’imaginaire (l’inconscient) à la réalité mais aussi les rapports entre individus, les histoires scéniques de Pommerat s’apparentent à des comtes moraux et immoraux. Où comment le bien et le mal se masquent, se mélangent l’un derrière l’autre, l’un avec l’autre. "La Réunification des deux Corées" a été créée en 2013 à l’Odéon-Théâtre de l’Europe. La pièce revient pour une "recréation", notamment en passant d'un dispositif bi-frontal (2 gradins se faisant face) à un rapport frontal avec le public, faisant naître un nouveau rapport à l’espace, à l’écriture narrative, visuelle et sonore. En une suite de scène courtes, des hommes et des femmes se croisent, s’aiment ou se heurtent, se confrontant à une situation souvent ambiguë, cruelle, surréaliste, ou douloureuse, tout en rêvant d’une (im)possible réunification.