Georges Lavaudant s’empare pour la première fois et avec brio, de la langue de Molière. Il l’inscrit dans un espace-temps intemporel, au plus près de ce discours sur la raison et la passion, qui n’en finit pas de consumer les âmes.
La vanité, le jeu des influences, les faux-semblants, tout comme la perfidie des courtisans sont au cœur de cette pièce. Les passions humaines qui s’y déchaînent ne cessent de nous offrir un miroir grossissant de notre propre et petite condition.
Dans Requiem(s), Angelin Preljocaj se penche sur le deuil et convoque dix-neuf danseurs qui donnent corps à une méditation sur la vie et la mort. Puissant.