Most recent articles by:

Gaël

Gaël a créé Publik'Art en 2009. Notaire de formation, il est responsable de la rubrique BD et gère l'administration du site (webmaster). Il vit dans le sud de la France d'où il anime le webzine avec les membres de la rédaction, présente sur la majeure partie de l'hexagone : Paris, Bayonne, Montpellier, Lille, Lyon.

Inlandsis, tomes 1 à 3 : une BD de Stéphane Betbeder et Paul Frichet (Soleil)

Date de sortie : le 19 mars 2014 Auteurs : Stéphane Betbeder (scénario) et Paul Frichet (dessin) Prix : 13,95 € (48 pages) Inlandsis est un conte polair achevé en trois tomes écrit...

Deepwater Prison, tome 1 : une BD de Christophe Bec et Stefano Raffaele (Soleil)

Date de sortie : le 5 mars 2014 Auteurs : Christophe Bec (scénario) et Stefano Raffaele (dessin) Prix : 13,95 € (48 pages) Deepwater Prison est une nouvelle série SF du très prolifique...

Lancelot, tomes 1 à 4, une série BD de Jean-Luc Istin, Olivier Peru et Alexe (Soleil)

  Date de sortie : le 26 mars 2014 Auteurs :  Jean-Luc Istin, Olivier Peru (scénario) et Alexe (dessin) Prix : 14,50 € (56 pages) Lancelot est une série terminée en quatre...

Wormworld Saga, Tome 1, une BD de Daniel Lieske (Dupuis)

Wormworld Saga est une série grand public qui méritait bien une édition papier et qui va pouvoir faire encore quelques émules à travers ce nouveau format..

Mexicana, tomes 1 & 2, une BD de Mars, Matz et Gilles Mezzomo (Glénat)

Date de sortie : le 19 mars 2014 Auteurs : Mars & Matz (scénario) et Gilles Mezzomo (dessin) Prix : 13,90 € (48 pages) Mexicana est une série BD co-écrite par...

Notre Sélection

Une « Mouche » impayable aux Bouffes du Nord

Dans son garage, Robert met au point une machine à téléporter… Il suffira d’une petite mouche aventureuse pour déclencher la "métamorphose"  de l’apprenti sorcier Christian Hecq tout droit sorti de l’univers des Deschiens...Tout un programme !

« I will survive » : rire nerveux et malaise garanti

Avec I Will Survive, Les Chiens de Navarre rappellent une vérité simple : quand la réalité devient trop absurde pour être racontée, il ne reste plus qu’à l’exagérer pour qu’elle redevienne audible. Jean-Christophe Meurisse l’a bien compris : l’outrance n’est pas une facilité, mais un outil — une loupe déformante pour mieux scruter les recoins les plus gênants de la société française. Et c’est justement parce qu’il observe si finement qu’il grossit si fort.