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Stanislas Claude

Rédacteur ciné, théâtre, musique, BD, expos, parisien de vie, culturaddict de coeur. Fondateur et responsable du site Culturaddict, rédacteur sur le site lifestyle Gentleman moderne. Stanislas a le statut d'érudit sur Publik’Art.

Money Monster ou les limites de la critique du capitalisme (dispo en DVD / BR)

Money Monster tape juste mais traine trop d'incohérences pour vraiment convaincre. Jodie Foster transforme une réflexion intéressante en fiction fantaisiste.

Un Cid tragi-comique au Théâtre le Ranelagh

Le Cid fait partie des grands classiques du répertoire théâtral français. Les répliques cultes s'enchainent à coup de Va, je ne te hais point...

Un Magritte philosophe révélé au Centre Pompidou

René Magritte s'expose au Centre Pompidou. Loin de laisser le visiteur dans un pur rôle de spectateur contemplatif, l'exposition le prend par la main.

Les Elans se lâchent au Lucernaire

Quand Les Elans se lâchent au Lucernaire, sourires et humour agrémentent le moment d'une chatoyante joie de vivre.

Double assassinat dans la rue Morgue : BD truculente de Céka et Clod

Ceka et Clod adaptent la nouvelle d'Edgar Allan Poe Double assassinat dans la rue Morgue en apportant leur touche personnelle pour une BD truculente à lire.

Rêve d’Olympe ou l’impossible fuite vers l’occident

Dans Rêve d'Olympe, Reinhard Kleist s'est basé sur les publications Facebook de Samia Yusuf Omar pour en tirer un récit puissant.

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Isabelle Carré, une « Serva amorosa » en majesté

Catherine Hiegel s’empare avec le talent qu’on lui connait, d’un grand rôle féminin en confiant à Isabelle Carré (exceptionnelle) le personnage de « La Serva amorosa », une femme libre et indépendante avant l’heure imaginée par Goldoni. Une femme stratège aussi qui, en usant de toutes les ruses, rétablira son maître, injustement déshérité, dans la place sociale qui lui revient. A travers cette farce mais pas que, Goldoni inverse le rapport de domination entre maîtres et valets. Il dessine des personnages à la fois inspirés de la commedia dell’arte mais aussi profondément humains, inspirés de l’observation de ses contemporains.