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Thierry Carteret

Cinéphile passionné, Thierry est chroniqueur cinéma et DVD depuis 2006 en ayant collaboré auparavant pour des webzines comme Kinok ou La revue du cinéma. En parallèle de son activité de chroniqueur, il exerce également les fonctions de scénariste et storyboarder sur des projets de courts, longs métrages et séries de fiction.

A Most Violent Year, un film de J.C. Chandor

Le casting est un des atouts principaux de A Most Violent Year, il en va tout autant du scénario et de la réalisation.

L’incomprise, un film de Asia Argento

L’actrice-réalisatrice rend une sorte d’hommage très personnel au magnifique mélodrame de Luigi Comencini L'Incompris (Incompreso) datant de 1966...

Casanova Variations, un film de Michael Sturminger

Sortie : 19 novembre 2014 Durée : 1h58 Avec : John Malkovich, Veronica Ferres, Florian Boesch Synopsis : "Viva la libertà !" s'écrie Casanova, seul dans sa demeure, avant...

Quand vient la nuit, un film de Michael R. Roskam

Sortie le 12 novembre 2014 Durée : 1h47 Synopsis : Bob Saginowski, barman solitaire, suit d’un regard désabusé le système de blanchiment d’argent basé sur des bars-dépôts –...

’71, un film de Yann Demange

A la fois film de guerre, drame social et thriller en huis-clos à ciel ouvert, ’71 est une belle première réussite

A girl at my door, un film de July Jung

A girl at my door délivre un charme vénéneux non dénué d’émotions et laisse l’impression d’avoir vu une œuvre importante et actuelle du cinéma sud-coréen et du cinéma tout court.

Notre Sélection

Une École de danse d’une troublante modernité à la Comédie-Française

Il arrive que le théâtre ressuscite des œuvres qu’on croyait promises à l’oubli. Avec "L’École de danse", Clément Hervieu-Léger réalise précisément cela : redonner souffle à une comédie que Goldoni retira de l’affiche après deux malheureuses représentations. Un naufrage originel, devenu aujourd’hui matière à renaissance.

Dans les pas de Pasolini, une troupe intrépide à l’Odéon

Il fallait oser s’attaquer à "Pétrole", le roman-magma inachevé, la dernière colère de Pasolini. Sylvain Creuzevault, lui, n’ose pas : il exhume. Il déterre le livre comme un cadavre encombrant, le déplie sur le plateau et montre tout ce que la société préfère refouler : la noirceur du pouvoir, la lubricité des dominants, la violence diffuse qui irrigue nos démocraties dégénérées.