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Amaury Jacquet

Si le droit mène à tout à condition d'en sortir, la quête du graal pour ce juriste de formation - membre de l'association professionnelle de la critique de théâtre de musique et de danse - passe naturellement par le théâtre mais pas que où d'un regard éclectique, le rédac chef rend compte de l'actualité culturelle.

David Bowie is, une icône glam à la Philharmonie de Paris

  Philharmonie de Paris 221 avenue Jean-Jaurès – 75019 Paris La Philharmonie de Paris consacre sa première exposition à David Bowie. Présentée au Victoria & Albert...

Au monde, opéra de Philippe Boesmans sur un livret de Joël Pommerat, à Paris

© E.Carecchio Opéra Comique du 22 au 27 février 2015 Une rencontre au sommet entre un compositeur d'opéra et un écrivain de plateau qui fera date Depuis plus de...

Les larmes amères de Petra von Kant de Rainer Werner Fassbinder, mise en scène par Thierry de Peretti, à Paris

© Huma Rosentalski Création du Théâtre de l'Œuvre depuis le 12 février 2015 et pour 60 représentations L’actrice et réalisatrice Valeria Bruni Tedeschi revient au théâtre,...

Les archives de Bernard-Marie Koltès entrent à la Bibliothèque nationale de France

Les manuscrits des œuvres Bernard-Marie Koltès les plus célèbres, comme Quai Ouest, Roberto Zucco ou La fuite à cheval loin dans la ville, mais également...

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« I will survive » : rire nerveux et malaise garanti

Avec I Will Survive, Les Chiens de Navarre rappellent une vérité simple : quand la réalité devient trop absurde pour être racontée, il ne reste plus qu’à l’exagérer pour qu’elle redevienne audible. Jean-Christophe Meurisse l’a bien compris : l’outrance n’est pas une facilité, mais un outil — une loupe déformante pour mieux scruter les recoins les plus gênants de la société française. Et c’est justement parce qu’il observe si finement qu’il grossit si fort.

Une École de danse d’une troublante modernité à la Comédie-Française

Il arrive que le théâtre ressuscite des œuvres qu’on croyait promises à l’oubli. Avec "L’École de danse", Clément Hervieu-Léger réalise précisément cela : redonner souffle à une comédie que Goldoni retira de l’affiche après deux malheureuses représentations. Un naufrage originel, devenu aujourd’hui matière à renaissance.