Théâtrophile, je prends un malin plaisir à dénicher de petites merveilles dans les salles parisiennes. J'aime aussi la politique et les chats, mais ça, c'est une autre histoire...
Une pièce à découvrir en janvier
Janvier 1960. Isaac, Pierre, David, Joseph et Moïse se retrouvent, comme chaque année, pour un diner entre amis. Mais...
L'épatant Cédric Chapuis bat le rythme
Cédric Chapuis joue à guichet fermé depuis cinq ans. Il est actuellement au théâtre Tristan Bernard à Paris avec son...
Et si on parlait d'énergie ?
La famille durable est une pièce pour enfants sur le développement durable. Dans le cadre de la conférence internationale...
Les lapins sont toujours en retard
Alice, romantique et hypersensible, se confie à son psychologue. Par flashback elle raconte sa vie et celle de sa...
Avec I Will Survive, Les Chiens de Navarre rappellent une vérité simple : quand la réalité devient trop absurde pour être racontée, il ne reste plus qu’à l’exagérer pour qu’elle redevienne audible. Jean-Christophe Meurisse l’a bien compris : l’outrance n’est pas une facilité, mais un outil — une loupe déformante pour mieux scruter les recoins les plus gênants de la société française. Et c’est justement parce qu’il observe si finement qu’il grossit si fort.
Il arrive que le théâtre ressuscite des œuvres qu’on croyait promises à l’oubli. Avec "L’École de danse", Clément Hervieu-Léger réalise précisément cela : redonner souffle à une comédie que Goldoni retira de l’affiche après deux malheureuses représentations. Un naufrage originel, devenu aujourd’hui matière à renaissance.