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Bande-annonce : Tom à la ferme, le prochain film de et avec Xavier Dolan

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Date de sortie : le 16 avril 2014

Avec : Xavier Dolan, Pierre-Yves Cardinal, Lise Roy, Evelyne Brochu

Le  jeune et talentueux réalisateur canadien Xavier Dolan (J’ai tué ma mère, Lawrence Anyways, Les Amours imaginaires) s’apprête à sortir Tom à la ferme, son quatrième film, soit un long métrage par an ! Le réalisateur avait notamment fait parler de lui l’année dernière à l’occasion de la sortie du clip polémique  College Boy, qu’il avait réalisé pour Indochine.
Synopsis :
Un jeune publicitaire voyage jusqu’au fin fond de la campagne pour des funérailles et constate que personne n’y connaît son nom ni la nature de sa relation avec le défunt.
Lorsque le frère aîné de celui-ci lui impose un jeu de rôles malsain visant à protéger sa mère et l’honneur de leur famille, une relation toxique s’amorce bientôt pour ne s’arrêter que lorsque la vérité éclatera enfin, quelles qu’en soient les conséquences.
À beau mentir qui vient de loin…
[youtube http://youtu.be/QhTjSlJ9oQ8]

Erolphile, le single d’Eroflynn (feat. New Gang) en libre écoute

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Un peu de deep house pour attaquer la semaine avec le titre Erolphile signé Eroflynn et New Gang. Plutôt joyeusement sympathique.

Vidéo : plus de 1000 films en 10 minutes, un montage qui décoiffe !

1001 Movies You Must See (Before You Die) est un montage vidéo assez incroyable, reprenant en vidéo l’idée de Jonathan Keogh qui en avait fait un livre en 2004. 1001 extraits de films en à peine plus de 10 min. Attention, ça décoiffe.

[youtube http://www.youtube.com/watch?v=Wz-ELUw6xtY#t=79]

Vidéo : Guéthary surf Wipeout ou l’art de se faire sortir par de violentes vagues

Voici une compilation de très sympathiques wipeout sur le spot de Guéthary (Pays Basque). Un petit coin bien connu des surfeurs, où les vagues – petites ou grandes – déploient une vraie puissance aux abords de rochers pas très rassurants.

[vimeo http://vimeo.com/88292385]

Palmarès complet de la 16e édition du Festival du Film Asiatique de Deauville.

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Lotus du Meilleur film :  Nagima, un film de Zhanna Issabayeva (Kazakhstan)

Synopsis :
Nagima est une jeune femme disgracieuse, illettrée et peu diserte qui a été abandonnée à la naissance et placée dans un orphelinat. Elle partage dorénavant un petit studio dans les environs de la ville d’Almaty avec son amie Anya rencontrée à l’orphelinat et qui est enceinte. Mais Anya meurt lors de l’accouchement et le nouveau-né – une fille – se retrouve à son tour placé dans un orphelinat. Afin d’arrêter ce cercle vicieux, Nagima décide de l’adopter..

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Lotus du Jury : ex æquo : 

Han Gong-Ju (A Capella), un film de Lee Su-Jin ( Corée du Sud)

Synopsis :
Han Gong-ju, une jeune lycéenne, se retrouve impliquée malgré elle dans une histoire sordide. Délaissée par ses parents et contrainte de s’inscrire dans un autre établissement, elle emménage chez la mère d’un enseignant. Victime des circonstances et n’ayant rien à se reprocher, Gong-ju doit tout faire pour éviter d’attirer l’attention sur elle… Mais un jour, Eun-hee, une nouvelle camarade de classe qui fait partie du club de chant a capella du lycée, découvre les prédispositions de Gong-ju au chant et décide de lui proposer d’intégrer la chorale.

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Et :

Ugly, un film de Anurag Kashyap (Inde)

Synopsis :
Rahul et Shalini, les parents de Kali, dix ans, sont divorcés. La fillette vit désormais avec sa mère et son beau-père, Shoumik, responsable d’une brigade de la police de Bombay. Un samedi, alors que Kali passe la journée avec son père Rahul, elle disparaît…

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Lotus Air France (Prix de la critique Internationale) : 
Han Gong-Ju (A Capella), un film de Lee Su-Jin ( Corée du Sud)

 Et :

Le Prix du Public de la ville de Deauville :

Han Gong-Ju (A Capella), un film de Lee Su-Jin

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L’ablation, un livre de Tahar Ben Jelloun

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Publié aux Editions Gallimard

En janvier 2014

128 p – 14,90€

La prostate est décidément très à la mode en ce moment. Une émission, cette semaine, fut réalisée au Journal de la Santé, sur la 5.

Tahar Ben Jelloun vient d’écrire ce roman sur le cancer de la prostate. Tahar a été lui-même touché par un problème lié à sa prostate, un problème beaucoup moins grave que celui de son ami dont il se fait le porte-parole à travers ce livre.

Et ce serait son ami-médecin urologue qui lui aurait demandé d’écrire sur ce sujet pour rendre service à de nombreux malades, pour  lever le tabou sur la prostate. N’oublions pas que c’est un des cancers les plus fréquents chez l’homme (71 220 cas en 2011 en France).

Tahar écrit sans détour et décrit les nombreux symptômes de la maladie. Il nomme les choses avec beaucoup de naturel et explique les problèmes liés à la sexualité, suite à un cancer de la prostate. Le livre est écrit à la première personne, ce qui permet au lecteur de s’identifier à cet homme qui essaie de nombreux traitements, sans hésiter à se piquer lui-même la verge pour espérer une érection.

Difficile pour l’homme de seulement s’imaginer avec un pénis qui ne ressemble à plus rien, un bout de chair pendant ! Comment vivre sans libido ? Comment transcender cette maladie et continuer à avancer sans avoir peur ?

Ce livre est brulant de vérités qu’on n’ose pas dire tout haut et qui sont écrites avec naturel, sans fausse pudeur mais avec beaucoup de respect.

Tout au long du livre, j’ai pensé à un ami très cher qui souffre d’un problème de prostate et qui ne veut en parler à quiconque. Et bien, finalement, il a raison. Pour gérer sa maladie, il doit le faire seul, avce l’aide de ses médecins. C’est le meilleur moyen de mener le combat.

Il ressort de ce livre des sentiments très vrais que tout un chacun ressent face à la maladie : la souffrance fait peur. La maladie, on n’en veut pas dans notre quotidien. Elle dérange. On fuit nos amis si nous apprenons qu’ils sont très malades. La maladie, c’est comme un monstre qu’il faut éviter à tout prix !

On est seul face à la maladie et moins on en parle, mieux on se porte.

C’est un combat intime. Et la façon d evivre ce combat va nous entrainer dans des cheminements qui oscilleront entre la dépression, même une forte dépression, et un coup de pied au fond pour remonter à la surface encore plus fort qu’avant.

Avce la maladie, qu’elle soit (il n’y a pas que des cancers), on en sort toujours plus fort. On se tourne vers une certaine « spiritualité », même si on en n’a pas forcément conscience. Un sentiment  qui confirme que la vie est plus forte que la maladie. Un sentiment qui nous permet de ne plus avoir peur de mourir. On apprivoise peu à peu le fait d’être mortel.

J’espère que beaucoup de personnes, malades ou pas, liront ce livre sans avoir peur des nombreux détails liés à la maladie, liés à la souffrance. Sans ces mots, et ces maux, le livre n’aurait aucun sens.

Rootwords « The Rush » : Sortie le 08 Avril 2014

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ROOTWORDS – THE RUSH
(HIP HOP – USA/ZAMBIE)
SORTIE LE 8 AVRIL 2014

Né aux Etats-Unis et d’origine zambienne, Rootwords grandit en Suisse est devenu en une dizaine d’années un talent incontestable de la scène hip hop internationale, à surveiller de très près.

« The Rush », son premier album, sera dans les bacs en France le 8 avril et vous permettra de découvrir, si ce n’est déjà fait, un son urbain nourri d’influences modernes hip hop, soul et reggae. Rootwords y mélange des sonorités qui lui tiennent à cœur et qui reflètent un monde en pleine expansion où les frontières s’effacent et où les gens se mélangent.

Découvrez le nouveau clip de Bensé « le printemps »

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Un nouvel EP « LES FILLES DU PRINTEMPS »
Disponible le 3 mars 2014

1. LE PRINTEMPS
2. PORTRAIT CHINOIS
3. CASSANDRE
4. NORA
5. OLIVIA

« Meet The artist » : performance live de l’artiste Paris Sketch Culture, le week-end du 15 & 16 mars 2014,

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GZ Store
Marché Dauphine, Stand 120-12
138-140, rue des Rosiers, 93400 Saint-Ouen

GZ Store, le tout nouveau concept store décalé, situé Marché Dauphine, dévoile son jeu en tirant sa première carte: l’artiste PariSketchCulture.
Sur sa lancé qui vise à rendre l’art accessible à tous, GZ Store organise une performance Live: GZ Store X ParisSketchCulture, le week-end du 15 et 16 mars 2014 au Stand 120-121 des Puces de Saint-Ouen.
Dédicaces et customisations seront aux rendez-vous. Ne ratez surtout pas l’occasion de rencontrer et partager l’univers déflagrant de ce nouveau talent, Il n’attend plus que vous!

Né en 1986, ParisSketchCulture vit et travaille à Paris en tant que dessinateur et Directeur artistique. Après avoir étudié le design produit, et travaillé dans le textile, puis dans la publicité, il se spécialise dans les univers du graphisme et du Tatouage.
En 2011 Il crée un site de référencement d’art moderne: www.ParisSketchCulture.com. En 2012, il obtient son premier prix (le Club des D.A). Impliqué dans l’univers du tatouage et de la mode, il réunit ces deux disciplines, en exploitant différents supports,.
Il cherche ainsi à confronter, jusqu’à une totale fusion, l’antagonisme du street art et de l’univers du luxe, en mixant des techniques telles que le collage, la peinture, la maroquinerie… Les compositions de ParisSketchCulture à l’encre noire sont des mises en scène de personnages emblématiques plongés au coeur d’un univers chargé de symboles et autres messages implicites. Ces œuvres uniques reflètent la personnalité de l’artiste.
ParisSketchCulture est principalement centré sur l’art « underground » de type Lowbrow (mouvement d’art pictural créé dans les années 70 en Californie, littéralement « le front bas ») en opposition avec l’art élitiste (appellé communément Highbrow). Il se réapproprie des codes issus des médias populaires tels que les comics, la publicité, le graffiti, le dessin animé, le film « box-office » et tout ce qui n’est pas considéré comme appartenant au monde des « beaux-arts » classique. Ses messages sont souvent, au premier abord, humoristiques, joyeux et sarcastiques, mais en deuxième lecture, porteurs de messages subversifs et dénonciateurs. Il revendique son art comme urbain, alliant illustration, graphisme, peinture, bande dessinée, et d’autres formes d’arts utiles à la fabrication de son univers (sculpture, maroquinerie, tatouage, menuiserie…) Il revendique un art accessible pour les personnes avides de pop culture n’ayant pas forcément de connaissances approfondies en Beaux-arts ou en histoire de l’art. Il joue avec des codes rassurants, en incorporant des personnages familiers à toute une génération, se servant d’eux comme vecteurs pour délivrer ses messages. Un art « pop”ulaire..

Jean-Luc Verna > Sa première monographie – Sortie le 12 mars 2014 / Coédition CNAP-Flammarion

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Jean-Luc Verna « Les roches noires »/ Coédition CNAP-Flammarion (sortie le 12/03/2014)

Les roches noires, de Stéphanie Moisdon et Claude-Hubert Tatot, est la première monographie de l’artiste Jean-Luc Verna reconnu pour son travail original mêlant dessin, photographie, sculpture et performance et questionnant le rapport au corps.

L’ouvrage réunit l’ensemble de l’œuvre pluridisciplinaire de Jean-Luc Verna avec plus de 200 reproductions et deux essais. La démarche de Stéphanie Moisdon a été d’analyser la place volontairement marginale de Jean-Luc Verna dans la sphère artistique, tandis que Claude-Hubert Tatot s’est attaché plus particulièrement à la relation qu’entretient l’artiste avec la scène tout en refusant l’étiquette de « performer.

Pause Cigarette, une pièce écrite et mise en scène par Marie-Lise Hébert, au théâtre Luna Negra, à Bayonne

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Pause Cigarette

une pièce écrite et mise en scène par Marie-Lise Hébert

au théâtre Luna Negra, à Bayonne

Avec : Emmanuelle Cazal, Diane Lefébure, Loélia Perrin et Julie Thomas

Du 6 au 8 mars 2014 

Marie-Lise Hébert a écrit et mis en scène cette pièce de théâtre. Elle est également co fondatrice de La Compagnie En aparté, qu’elle a créée avec Nicolas Dubreuil et Diane Lefébure, en 2012, à Bordeaux.

La Compagnie est composée de quatorze membres, tous jeunes et remplis de talent. Parmi eux, on retrouvera : Emmanuelle Cazal, Diane Lefébure, Loélia Perrin et Julie Thomas qui sont les quatre comédiennes de Pause Cigarette.


Cette pièce réunit sur le même plateau quatre danseuses de cabaret, en petite tenue et surtout très à l’aise dans leur corps.

A priori, elles n’ont aucun point commun. Trois femmes vont nous dévoiler des bribes de leur vie, de façon intime. Elle disent tout haut ce que l’on pense tout bas… Et la quatrième comédienne, fera le lien entre elles, un peu comme un ange qui veillerait sur chacune d’elle, car l’essentiel de leur vie est qu’elle sont nées femmes !

Bien sûr, cette pièce est féministe. Bien sûr, la femme en est le cœur ! Et quel cœur ! Vibrant, chaud bouillant même ! Et le tout avec une énergie toute féminine ! Beaucoup de beauté, de grâce, de sensualité, de sexualité en chacune d’elle. Les hommes vont adorer, et les femmes surtout !

Bon, c’est vrai, l’homme n’a pas toujours le bon rôle dans le cœur de ces femmes, ou plutôt dans leur vie (Suce ma bite le jour de la Saint Valentin). Et ceci est dit avec beaucoup d’humour et de sexualité. Scènes impressionnantes qu’on n’est pas prêt d’oublier. Masturbations, orgasmes…  Nous osons, nous, femmes libérées du XXIè siècle…

Je pense aussi à la scène du viol, où cette jeune comédienne a les yeux révulsés d’horreur. Une scène terrible.

Les scènes de jouissance collective sont osées, drôles et détendent le public ! On est embarqué dans l’histoire de chaque jeune femme, et la musique, la danse, le chant sont des moments sublimes de « récréation ».

Car rien n’est vraiment rose dans la vie des ces jeunes femmes. La vie les a rattrapées et ne leur fait pas vraiment de cadeaux. Mais heureusement, ce sont des femmes ! Et c’est là que réside toute leur force !

La sexualité comme la Pause cigarette nous permettent de « digérer » certains passages de la pièce. La musique, excellente, va donner l’occasion aux femmes de « péter un plomb », et à nous aussi ! Et peut-être qu’en sortant, aurez-vous envie de faire l’amour et … d’arrêter de fumer !

Une très belle performance pour nos comédiennes qui se donnent avec toute l’énergie de leur jeunesse !

Un très beau spectacle qui ne laissera personne indifférent, que vous soyez homme ou femme ! Je vous le garantis !

Bande-annonce : Transformers : l’âge de l’extinction, un film de Michael Bay

Transformers : l'age de l'extinction

Date de sortie : le 16 juillet 2014

Avec Mark Wahlberg, Nicola Peltz, Jack Reynor, Li Bingbing et Han Geng

Le quatrième volet de la franchise comprend un casting entièrement renouvelé et signe le retour du réalisateur Michael Bay. Le synopsis fait sourire par sa brièveté. Un vrai film blockbuster.

Synopsis :

Suite du combat entre les Autobots et les Decepticons sur Terre, au milieu des humains.

[youtube http://youtu.be/CKROCUyj2eY]

Clip : URQUINAONA – WELCOME TO SARH, un projet de DJ PONE & JOSE REIS FONTAO

Urquinaona est le premier single de Sarh, un projet mené par DJ Pone et Jose Reis Fontano. Un DJ hip-hop et un chanteur rock. Une alliance improbable sur un projet musical inattendu. Car les deux artistes sortent des sentiers battus en ayant imaginé un album électro-pop  plein de poésie et de lyrisme… Improbable. Et superbe, pour ce premier essai avec Urquinaona.

L’album est prévu pour le 2 juin.

[youtube https://www.youtube.com/watch?v=jcWG_Q8onY8]

VERTIGO – GOURETTE du 12 au 16 Mars 2014, le festival BD Dans les Pyrénées !

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LES INVITÉS : Solé, Blutch, Philippe Uger, Audrey Spiry, Alice Bohl, Icinori, Antonin Fourneau et Digital Art international, Aérosculpture, Guillaume Trouillard et les Editions La Cerise, Anouk Boisrobert, Louis Rigaud, La compagnie Joseph K, librairie Bachi Bouzouk

Communiqué de presse :

Du 12 au 15 mars prochain, Vertigo poursuit la belle trace laissée l’an passé sur les pentes de la station ossaloise en accueillant des artistes aux propositions curieuses, drôles, festives, conviviales et détendues ! Le festival Vertigo investit donc à nouveau la station béarnaise avec une programmation toujours aussi éclatée ! Vertigo c’est la création sous toutes ses formes, de la bande dessinée au théâtre en passant par la création numérique !

Vertigo convoque la création la plus excitante et la plus novatrice d’hier et d’aujourd’hui ! Ainsi, l’immense Jean Solé exposera pour la première fois en Aquitaine ; Blutch viendra taquiner la poudreuse et rencontrer son public ; le collectif Icinori colorise la station; Aérosculpture souffle un vent poétique sur Gourette avec ses sardines volantes, le plasticien Antonin Fourneau explore le graffiti technologique avec son waterlight graffiti…Bref, Vertigo c’est l’endroit où l’on retrouve des artistes rares, c’est gratuit et c’est à Gourette !!

L’originalité de Vertigo réside aussi dans sa dimension participative, les artistes invités animeront des ateliers pratiques, le public pourra donc aller à la découverte de leur univers de façon ludique, conviviale et même drôle ! Petits et grands pourront partager des moments d’échanges privilégiés avec les artistes.

Béarnais, vacanciers de passage et artistes invités se retrouveront autour de toutes ces formes d’expression qui conjuguent démarche contemporaine et langage populaire pour une semaine de fête !

Après une bonne journée de glisse rien de tel que de passer un moment de rigolade devant un spectacle de théâtre de rue ou bien encore de se plonger dans les nombreux bouquins de la bédéthèque!

Retrouvez toutes les infos sur www.gourette.com et www.ferrailleprod.com

KURT COBAIN 20 ans… » The Last Shooting » Exposition de YOURI LENQUETTE @ ADDICT Galerie du 25.03 au 21.06.2014

KURT COBAIN 20 ans..." The Last Shooting"

Communiqué de presse :

Disons le carrément, ce fut longtemps un douteux privilège que d’avoir eut Kurt Cobain dans le viseur de ce qui constitue la dernière séance photo du chanteur de Nirvana. Ou « The Last Shooting » pour ceux que la polysémie et les correspondances amusantes intéressent. Ce privilège est revenu à Youri Lenquette un soir de février 1994, de façon inattendue, presque inespérée.

Privilège puisqu’en Cobain s’est incarné l’un de ces anges déchus dont le rock a longtemps gardé l’exclusivité, l’une de ces créatures à la trajectoire aussi brève que fulgurante, l’un de ces êtres tellement en porte-à-faux avec le monde réel qu’on finit par leur prêter une origine différente du commun des mortels, lointaine, énigmatique, quasi extra-terrestre. En deux ans, Youri, alors reporter au mensuel Best, a réussi à tisser des liens avec cette jeune rock star particulièrement mal dans ses pompes que le succès et la drogue poussaient à se cloîtrer dans une tour d’ivoire de paranoïa. Ce qui en dit long sur la confiance et l’empathie que le photographe avait su créer avec le chanteur, et plus généralement sur les rapports étroits qu’il entretenait avec la faune impénétrable du rock.

Mais si privilège il y a, il aura longtemps laissé un goût bizarre à son bénéficiaire puisque cette fameuse session, dont l’accessoire principal est un revolver 22 long rifle, précède de quelques semaines la mort que s’administre le musicien à l’aide d’une arme similaire. De tout temps, les anges ont eut en perspective de leur splendeur leur propre chute. Si bien qu’évidemment, allait être conféré à cette séance la dimension d’une autodestruction annoncée. Cette mise en scène, voulue par Cobain, engendra force supputations et conjectures au point de placer le photographe dans une situation parfois délicate.
Si vingt ans ont passé depuis le suicide de Cobain, cette dernière prise de vue n’a rien perdu de son mystère un peu douloureux. Elle continue de nous laisser sur le rebord du précipice.

Exposée pour la première fois dans son intégralité, planches contacts et inédits compris, « The Last Shooting » fascine autant qu’elle interroge. C’est un bref instant, étrange car presque ludique, dans une histoire qui finit mal. C’est un document exceptionnel que le temps va charger d’un sens où l’absurde se dispute à l’héroïque. C’est enfin la dernière apparition d’un ange blond et maudit avant qu’il ne prenne son envol définitif.

Francis Dordor : Quand et dans quelles circonstances as-tu rencontré Kurt Cobain et Nirvana la première fois ?
Youri Lenquette : C’était aux Transmusicales de Rennes en décembre 1991. J’étais venu prendre contact avec le groupe en vue de réaliser un reportage sur leur tournée australienne de février 1992.

F.D : Quels souvenirs conserves-tu de cette tournée ?
Y.L : Le souvenir d’un groupe qui répugnait à se faire prendre en photo ! Kurt en particulier ! Ils m’ont trimballé partout dans le pays pour finalement m’accorder dix minutes juste avant de prendre l’avion du retour. Au final, j’ai eu ce que j’aurais pu obtenir n’importe où ailleurs. J’étais quand même là pour faire le reportage de couverture d’un magazine (Best)… Sinon, mis à part l’aspect photo, Kurt et moi avons sympathisé. Je me souviens d’une nuit où j’écoutais des cassettes de groupes punks américains des années 60 dans ma chambre d’hôtel. Il est venu frapper à ma porte. Nous avons discuté musique. Drogue aussi. Il me donnait l’impression d’un jeune gars que le succès avait déboussolé et qui cherchait les conseils d’un aîné. J’avais 35 ans, lui 25.

F.D : Vous êtes restés en contact après ça ?
Y.L : Nous nous sommes revus à Paris fin 92. Il est venu chez moi après le concert de Nirvana au Zénith. Ensuite je suis allé à Seattle en septembre 93 pour la sortie de l’album In Utero.

F.D : Quelles impressions conserves-tu de Kurt ?
Y.L : Celles d’un petit gars malingre très touchant qui visiblement avait d’énormes problèmes de communication avec l’extérieur. Trop énormes sans doute quand on se retrouve promu porte-parole de sa génération, que l’on a connu des difficultés matérielles toute sa vie et que du jour au lendemain on est riche au point de ne plus savoir combien l’on a sur son compte en banque. Et quand on se débat avec de sérieux problèmes de dope. Il aurait été de la trempe d’un Mick Jagger, il aurait pu surmonter tout ça. Mais Kurt n’avait pas le cynisme d’un Jagger. C’était un intègre. Il croyait à ce qu’il chantait et ne se serait renié pour rien au monde.

F.D : Comment s’est déroulée cette fameuse dernière séance ?
Y.L : Quand il était à Paris, il passait souvent par mon studio. Il y restait une partie de l’après-midi, à moitié prostré sur le canapé, à jouer de la guitare ou à inspecter ma collection de disques. C’était devenu une habitude. Un jour, il me dit qu’il aimerait faire une séance. Évidemment, je n’y ai pas cru. Voilà un mec qui ne voulait pas faire de photos quand la couverture d’un magazine était en jeu et qui soudain, de lui-même, initiait la chose ! Pour moi, c’était du pipeau. Du coup j’ai libéré mon assistant et ma maquilleuse. Mais vers 21h30, coup de téléphone de Kurt qui m’annonce qu’il monte dans un taxi et qu’il arrive. Branle-bas de combat : je n’ai ni assistant, ni maquilleuse, pas même les pellicules que j’utilise d’habitude. J’appelle un copain pour qu’il vienne me filer un coup de main. Quand le groupe arrive, Kurt a ce flingue dans la main. Il a aussi des plaques sur le visage. Il décide de se maquiller lui-même. Mais c’est tellement ridicule que je fais appeler une copine pour qu’elle ramène sa trousse…

F.D : Le flingue, c’était son idée…
Y.L : Oui il a insisté. C’est lui qui a initié toutes les poses, sur la tempe, dans la bouche, pointé vers l’objectif…

F.D : L’autre accessoire c’est cette coiffe tribale…
Y.L : C’est une parure de chef que je venais de ramener d’un voyage au Zimbabwe et sur laquelle Kurt a jeté son dévolu.

F.D : On voit également des photos du groupe au complet. Et même avec quatre membres au lieu de trois…
Y.L : Pat Smear, ancien guitariste des Germs, venait de rejoindre le trio d’origine pour cette tournée européenne…

F.D : As-tu donné une signification particulière à cette séance après l’annonce de son suicide en Avril 1994 ?
Y.L : Je n’ai jamais cru à la thèse d’un message qu’il aurait voulu faire passer. Poser avec une arme à feu reste un grand classique de la photo rock après tout… Une autre raison me faisant penser que ce n’était pas prémédité, c’est qu’avant de se quitter ce soir là, Kurt avait flashé sur mes photos des temples d’Angkor et qu’on s’était promis d’y aller ensemble après la tournée…

F.D : Comment as-tu géré la suite ? Certaines photos sont tellement parlantes qu’elles ont dû forcément susciter la surenchère…
Y.L : J’ai demandé à mon agence de l’époque de ne pas mettre en vente les plus dérangeantes, celles où il a le flingue dans la bouche ou sur la tempe. J’ai eu des propositions très tentantes financièrement. Mais elles émanaient de journaux qui n’auraient jamais parlé de Nirvana en temps normal et dans lesquels Kurt n’aurait certainement pas voulu apparaître. Ce qui n’a pas empêché la polémique. Quelques mois plus tôt à Seattle, Kurt avait déjà posé avec un pistolet en plastique dans la bouche et sur la tempe. Ces photos étaient diffusées depuis longtemps quand il s’est suicidé…

F.D : À l’aune d’une longue carrière, que représente pour toi cette séance ?
Y.L : Techniquement ce n’est pas ma meilleure prise de vue. Mais symboliquement c’est fort… Je dirais que le titre de l’exposition « The Last Shooting » vaut aussi pour ma propre trajectoire étant donné qu’après la mort de Kurt, je me suis détourné du rock pour m’intéresser à autre chose. Comme si toute la mythologie autour de cette musique avait soudain perdu de son attrait avec sa disparition.

La Galerie ADDICT et Laetitia Hecht présenteront du 25 Mars au 21 Juin 2014, les photographies de cette dernière session lors de l’exposition « KURT COBAIN – The Last Shooting ». Une partie des images sélectionnées seront proposées en tirage argentique traditionnel réalisées par Marc Upson, le tireur qui réalisa les épreuves de ces mêmes photos en 1994… sur un papier identique et en procédant de la même manière qu’à l’époque.

Francis Dordor

Clip : Dancing in Nowhere, le nouveau single de Make the Girl Dance (#psychadélique)

Dancing in Nowhere est le nouveau single un peu psychadélique de Make The Girl Dance. Voilà qui annonce un retour en force pour leur second album…

Communiqué de presse :

Si 2014 sera pour les chinois l’année du cheval, elle sera aussi, l’année du retour au galop, sur le devant de la scène, de Make The girl Dance. Le duo électro français renoue avec la pop éclatante et un premier extrait issu de leur prochain album à paraitre dans l’année. « Dancing in nowhere » est le fruit d’une nouvelle collaboration avec leur égérie suisse porte bonheur, Solange la Frange. De leur union nait aujourd’hui un titre électro-pop hors norme, dans lequel s’entrechoquent des boucles entêtantes et la voix éthérée de la princesse du rock helvète. Un titre enthousiasmant. Frais et mélancolique. Envoutant et virevoltant. Un track pour danser bien sûr, et faire tourner les jupes et les têtes des filles. Make The girl Dance signe ici un de ses meilleur single. Comme un coup de canon avant l’orage électro magnétique de ce très attendu 2ème album.

[youtube http://www.youtube.com/watch?v=tPvoD1dNzXY]

#Défouloir du Vendredi : Les Simpson à la française selon Sylvain Chomet (Les Triplettes de Belleville, L’Illusionniste)

Le grand Sylvain Chomet (Les Triplettes de Belleville, L’IllusionnisteAttila Marcel) a réalisé le dernier couch gag pour Les Simpson en les transformant (quelque peu !) en famille française, avec au menu quelques clichés bien sympathiques : escargots, accordéon, gavage d’oie, portrait de François Holllande etc, etc… Le générique sera diffusé le 9 mars 2014 dans l’épisode Diggs (E12S25) aux États-Unis.

[youtube http://youtu.be/AOi5OF7gAiM]

Les étiquettes, une BD de Clarke (Treize étrange / Glénat)

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Date de sortie : le 19 février 2014

Auteurs : Clarke (scénario et dessin)

Prix : 15 € (108 pages)

Les étiquettes est une BD autobiographique de l’auteur de BD à succès Clarke, de son vrai nom Frédéric Seron (auteur notamment de la série Mélusine). Des épisodes de vie plus ou moins heureux, racontés sous forme de petits sketchs, parfois avec humour, toujours avec tendresse.

Résumé de l’éditeur :
Frédéric est auteur de bande dessinée. Il a même une série à succès. Mais la vie n’est pas aussi drôle qu’on se l’imagine quand on fait de la bande dessinée. Entre la vie de famille compliquée, les déboires en festival, les doutes, sans parler du manque d’inspiration… C’est vrai, que faire quand on est auteur et que l’on n’a plus rien à raconter ? Mais Frédéric va trouver la solution en parlant de ce qu’il connaît le mieux : sa vie, tout simplement !Raconté sous forme de tranches de vie comiques, surréalistes, absurdes mais toujours emplies de tendresse, ce roman graphique dévoile une autre facette du talent de Clarke. Avec son dessin identifiable au premier coup d’œil, l’auteur de Mélusine nous montre qu’il est aussi à l’aise dans l’humour grand public que dans le récit intimiste.

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A travers Clarke, on découvre le tumulte d’une vie de dessinateur, souvent en vadrouille en festivals ou autres expositions, mais également celui d’une vie d’homme. L’histoire est contée avec beaucoup de simplicité et de sincérité. On sent une démarche généreuse de Clarke qui partage une partie de son intimité, de sa famille et de ses amis, avec souvent beaucoup d’auto-dérision. On devine quelqu’un de sensible et d’honnête. Clarke dévoile ainsi un potentiel encore inexploité jusque là en s’éloignant des sentiers qu’il avait lui-même tracés avec Mélusine, bien que l’auteur se soit déjà essayé à un style plus réaliste avec des BD comme Luna Almaden, Urielle ou Nocturnes.

Son dessin est évidemment celui de Clarke : reconnaissable entre mille. L’auteur fait même plusieurs clins d’œils à son personnage préféré en le dessinant même (épisode de cosplay/dédicace). Un trait fin et minimaliste, à l’image de son auteur.

Les étiquettes est une belle invitation dans l’univers très personnel de Clarke. Aussi rare que précieux.

Slaves / Twigs, extrait du prochain album d’Oldtwig (Phonosaurus Records)

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Date de sortie : le 29 avril 2014

Oldtwig est le nouveau venu chez Phonosaurus Records. Un beatmaker parisien fraîchement débarqué, architecte paysager dans la vraie vie. Les titres Slaves / Twigs annoncent un très bel album, intitulé Through Hills, que l’on attend pour la fin avril. Un vrai poète musical. A écouter.

ASIA NOW – Paris Asian Art Fair au Carrousel du Louvre du 9 au 12 octobre 2014 : ouverture des candidatures !

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Communiqué de presse :

Du 9 au 12 octobre 2014, ASIA NOW, Paris Asian Art Fair, nouvelle foire d’art contemporain internationale, présente pour la première fois en Europe le meilleur de la création contemporaine pan-asiatique, dans le cadre du Carrousel du Louvre à Paris.

ASIA NOW propose un panorama complet et varié de l’art contemporain et de la création artistique émergente issue de 13 pays : Chine, Japon, Corée du Sud, Cambodge, Vietnam, Myanmar, Malaisie, Thaïlande, Philippines, Indonésie, Singapour, Taïwan, Inde. ASIA NOW a pour ambition de faire découvrir et de valoriser la scène asiatique la plus pointue tout en s’interrogeant sur ses évolutions et ses enjeux. ASIA NOW, événement international, est la vitrine des galeries asiatiques encore inconnues ou peu connues en Europe, et s’adresse également aux galeries du monde entier représentant des artistes contemporains asiatiques.

ASIA NOW est le nouveau rendez-vous marchand, qui sous l’impulsion de son directeur artistique, le curateur Ami Barak, se définit tout d’abord par son exigence curatoriale, garante d’une qualité exemplaire et de choix à la fois rigoureux et audacieux dans la sélection des galeries et des oeuvres présentées. ASIA NOW, implantée au coeur de Paris, s’assure une place de premier plan, en synergie avec les acteurs du monde de l’art et de la culture française. ASIA NOW, dès sa première édition, se distingue également par la richesse et la variété de son programme, dont l’intégralité sera annoncée au mois de juin 2014 :
• un hommage à un artiste chinois majeur, pour célébrer les cinquante ans des relations diplomatiques franco-chinoises
• des événements et expositions « Hors les Murs »
• un cycle de conférences et de tables rondes animées par des curateurs, critiques, artistes et collectionneurs reconnus et soucieux de faire partager leur passion de l’art contemporain asiatique

Cette programmation de qualité offrant des points de vue enrichissants et des perspectives nouvelles positionne ASIA NOW comme la plateforme artistique d’échanges, de connaissances et de conversations incontournables de la création contemporaine asiatique.

En affirmant dès cette année les points forts de son identité et de sa vocation pan-asiatique, ASIA NOW s’annonce comme un temps fort du calendrier parisien. Dès à présent, les galeries sont invitées à retirer leur dossier de candidature via le site Internet de la foire www.asianowparis.com.

L.A. Dance Project 2, Benjamin Millepied Directeur Fondateur, à Paris

Benjamin Millepied

Théâtre du Châtelet du 5 au 9 mars 2014

Danseur étoile et chorégraphe, révélé au grand public par le film-culte « Black Swan », Benjamin Millepied prendra à l’automne 2014 ses fonctions de directeur de la danse à l’Opéra de Paris.

Avec sa compagnie américaine le L.A. Dance Project et pour la deuxième saison consécutive, Benjamin Millepied revenait au Théâtre du Châtelet pour une exploration toujours aussi sensorielle et pluridisciplinaire de la danse qui a tenu toutes ses promesses.

[pull_quote_center]Le L.A Dance Project ou lorsque le décloisonnement des arts fait pleinement sens[/pull_quote_center]

Un collectif de créateurs donc composé de musiciens, plasticiens, vidéastes et danseurs, mettant en oeuvre la volonté du danseur-chorégraphe d’abolir les frontières entre les différentes disciplines pour exprimer dans un investissement total et créatif, le lien entre les arts et les répertoires.

Si Benjamin Millepied a interprété tous les grands rôles, oscillant avec une aisance déconcertante entre classique et contemporain, de l’Opéra de Paris au Ballet Marinsky aussi bien que chez Angelin Preljocaj, sa nouvelle aventure artistique outre-Atlantique en est le prolongement naturel. Forte de l’héritage de la danse académique aux USA, elle se complète des écritures contemporaines tant chorégraphiques, musicales que plastiques.

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Au programme quatre pièces qui débute avec Emanuel Gat, un chorégraphe Israélien, et son étude sur le temps qui passe, séquencée par la musique de Bach, Purcell et un bruitage fantomatique, extrait de la Dernière Bande sur un texte de Samuel Beckett. « Morgan Last Chung » offre alors un dialogue des corps aussi formel qu’éblouissant où la chorégraphie organique au cœur du mouvement s’invente et se développe en autant de variations, d’actions et de réactions qui affûtent sa propre dynamique.

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Puis, le Japonais Hiroaki Umeda investi l’espace avec « Peripheral Stream », une performance à la fois visuelle et conceptuelle qui voit le danseur/performeur se fondre dans une installation cinétique optique pour des figures dansées hypnotiques et mouvantes tout droit sorties d’une toile de Vasarely.

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S’enchaine « Closer », de Benjamin Millepied, sur un piano de Philip Glass, qui consacre deux artistes invités de la compagnie, Céline Cassone et Alexander Hille pour un duo virtuose où se revisite un pas de deux aussi sensuel qu’électrique.

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Enfin, Justin Peck, 26 ans, soliste au New York City Ballet déroule « Murder Ballads » aux lignes abstraites sur une création musicale de Bryce Dessner, et qui nous renvoie à la composition en fond de scène d’un patchworks de l’artiste Sterling Ruby. A l’abri d’un vocabulaire qui emprunte à la fois au répertoire classique et contemporain, le californien imprime une esthétique à chaque mouvement ou attitude. Influencés par Jérôme Robbins, les six danseurs jouent avec les pas et les énergies dans une symbiose parfaite.

Le L.A Dance Project ou lorsque le décloisonnement des arts fait pleinement sens…

Odesza : Sun Models (feat. Madelyn Grant) en libre écoute

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Odesza a offert récemment Sun Models (feat. Madelyn Grant), un titre électro qui annonce l’arrivée des beaux jours. Comme d’habitude, l’artiste joue avec des sonorités qui évoquent le soleil et la bonne humeur.

Idiots, la vidéo qui s’amuse du succès marketing d’Apple

Cette animation réalisée par le studio Big Lazy Robot VFX est à la fois drôle et pertinente. Elle illustre parfaitement le succès, notamment marketing, de la marque à la pomme. Une vidéo à voir !

[vimeo http://vimeo.com/79695097]

Bande-annonce : Le promeneur d’oiseau, un film de Philippe Muyl

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Date de sortie : le 7 mai 2014

Le promeneur d’oiseau est le prochain film de Philippe Muyl (Le Papillon). Il s’agit du second film réalisé dans le cadre d’un traité sino-français sur la coproduction cinématographique (le premier est le prochain film de Jean-Jacques Annaud, Le Totem du loup). Le film a été majoritairement produit par la Chine. L’équipe est entièrement chinoise. C’est la première fois qu’un réalisateur non chinois tourne un film en Chine, en chinois et avec que des chinois.

Cerise sur le gâteau, Philippe Muyl, réalisateur discret en France, est très populaire en Chine grâce à son film Le Papillon qui a été piraté à grande échelle là-bas (plus de 15 million de fois). Il paraît même que Jacky Chan connaît  la musique du générique de fin par cœur.

Synopsis officiel :

Pour tenir la promesse qu’il avait faite à sa femme, Quan, un vieux paysan chinois décide de faire le grand voyage de Pékin à Yangshuo et de ramener à son village l’oiseau qui fût son seul compagnon durant toutes ces années passées loin de chez lui.
Chan, sa belle-fille, riche et belle working girl, lui demande d’emmener sa petite fille Wei, enfant unique élevée dans le luxe.
Tandis que ces deux personnages cheminent, Quan vers ses souvenirs, Wei vers la découverte de ses origines, son fils KUN et sa belle fille Chan se penchent sur le sens de leur vie uniquement axée sur la réussite et sur l’argent.

[youtube http://youtu.be/ivUFp5klTno]
 

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