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Je m’appelle Frida Kahlo (Casterman)

Je m’appelle Frida Kahlo (Casterman)

Les éditions Casterman nous proposent de découvrir une très grande artiste Mexicaine : Je m’appelle Frida Kahlo.
L’auteure, Sophie Faucher, a décidé d’écrire cet album à la 1ère personne du singulier. C’est Frida qui s’adresse directement au lecteur. Frida va nous raconter, son histoire, sa vie. Dès sa toute petite enfance, Frida est passionnée par les couleurs. C’est une petite fille très gaie. Et puis, un jour, elle tombe gravement malade. Et de cette maladie, elle gardera des séquelles à une jambe. Mais ça ne l’empêche pas de continuer à s’amuser, à faire du vélo…

Un jour, elle fait la rencontre d’un très grand peintre, Diego Rivera alors qu’elle est encore très jeune.
Hélas, elle subit un très grave accident de bus. Elle restera immobilisée sur un lit durant des mois et des mois et c’est à ce moment-là, qu’elle se mettra à peindre…
Ce joli album, Je m’appelle Frida Kahlo, relate l’essentiel de la vie de cette grande artiste ! Les illustrations de Cara Carmina ressemblent à Frida, très colorées et simples. Cara Carmina est la créatrice d’un univers à l’effigie de Frida Kahlo, composé d’illustrations et de papeterie destinées aux enfants.

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Février 2025
Auteur : Sophie Faucher
Illustrateur : Cara Carmina
Editeur : Casterman 
Prix : 14,95 €

Dégustation d’huiles d’olive d’exception au restaurant Il Vicolo à Paris

Au cœur de la rue Mazarine se cache un restaurant italien authentique, garanti sans pizzas ni pâtes bolognaises mais avec une cuisine italienne originale et inspirée, Il Vicolo. Le restaurant était plein d’une foule enthousiaste lors de la dégustation des huiles d’olives des Pouilles le lundi 11 février. Le chef expert Maurizio Carlucci a préparé un repas unique pour garantir l’accord mets, vins et huiles d’olive. Sensations garanties sur les papilles et dans le cœur.

Une soirée magique

4 huiles d’olive des Pouilles ont été présentées pour dégustation, toutes fabriquées à base d’olives Coratines, avec une huile augmentée d’autres types d’olives. L’huile Pantaleo, l’Olio Guglielmi et l’huile Le 4 Contrade sont plus qualitatives les unes que les autres. Des sensations amères durables et persistantes se font sentir à chaque tasting pour des belles amertumes, pleines de piquant, avec toujours un bel équilibre et une longueur en bouche certaine. L’huile De Carlo se compose d’olive Coratina, mais également de Ogliarola Barese, Leccino et Perenzana. Avec du bon pain et dans une ambiance studieuse, journalistes et rédacteurs ont découvert des gouts assez uniques. Après une introduction forte en détails vint le moment du repas, et quel éblouissement, jugez plutôt. Tous les plats ont été composés avec une huile d’olive spécifique, mentionnée entre parenthèses. Haricots blancs œil noir à l’essence de coquillage (IGP Olio Guglielmi), Taglioni de seiche, bouillon d’amande et topinambour fermenté avec citron (IGP Le 4 Contrade), Orecchiette à l’huile vierge extra avec piment et cymette de navets rôtis (IGP De Carlo), Sériole confite à l’huile et origan frais avec espuma de câpres et artichauts rôtis et sauce à la livèche (IGP Nicolas Pantalco), Panna Cotta parfumée à la cardamome fumée avec orange sanguine, noisettes caramélisées (IGP Le 4 Contrade). Le moment fut savoureux, de quoi vous donner envie d’aller tester par vous mêmes les qualités gastronomiques de ce merveilleux restaurant italien niché dans le 6e arrondissement parisien.

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Le repas a été accompagné de vins blancs et rosés italiens parfaits pour accompagner les délicieux mets préparés par le chef. De quoi profiter des 4 différentes huiles d’olive mises en situation de la plus belle des manières. L’évènement organisé par Gambero Rosso et Olio de Puglia IGP a fait forte impression.

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Emilie, mes plus belles histoires (Casterman)

Emilie, mes plus belles histoires (Casterman)

Les éditions Casterman ont l’excellente idée de rééditer, Emilie avec un très bel album regroupant cinq histoires.

Emilie, avec 5 titres incontournables, pour fêter ses 50 ans :
Emilie et les cousins
Emilie ne veut pas se laver
Emilie est invitée
Emilie fait du camping
Le petit monde d’Emilie.

Pas besoin de vous présenter Emilie. C’est une petite fille qui a réjouit plusieurs générations et qui continue à parler à nos petits ! Des histoires simples du quotidien des petits…

Les illustrations de Domitille de Pressensé sont très épurées et colorées !

On est fan ! Et les textes simples sont facilement compréhensibles et peuvent être lus par les tout jeunes lecteurs.

Emilie est un très bel album, de très belle qualité, avec la couverture cartonnée. Un beau cadeau à faire à vos petits !

Très bon anniversaire, Emilie !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Février 2025
Auteur : Domitille de Pressensé
Illustrateur : Domitille de Pressensé
Editeur  : Casterman
Prix : 17,90 €

Nos petits avions de papier (Père Castor)

Nos petits avions de papier (Père Castor)

Les éditions du Père Castor nous proposent un sublime album jeunesse : Nos petits avions de papier.

C’est l’histoire d’un petit garçon qui est gardé par sa grand-mère. Avec elle, il passe son temps à jouer. Elle lui a appris à confectionner des petits avions de papier qui volent ! Il adore jouer avec sa grand-mère. Et puis un jour, il a fallu qu’il aille à l’école. Sa grand-mère lui manquait beaucoup. Mais à l’école, il a fait connaissance avec une petite fille qui devint très vite sa meilleure amie.

Hélas, à la fin de l’année, elle a dû déménager.

Mais promis, ils vont s’envoyer des petits avions de papier pour se donner des nouvelles ! Ils resteront toujours amis !

Les illustrations sont juste sublimes ! Et le texte est aussi joli que les illustrations ! Avec tellement de poésie !

Nos petits avions de papier est un album à offrir et à lire et relire !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Janvier 2025
Auteur : Victor Wang
Illustrateurs : Maureen Poignonec
Editeur : Père Castor
Prix : 14,50 €

Je suis en CP : Mes coloriages magiques (Flammarion Jeunesse)

Je suis en CP : Mes coloriages magiques (Flammarion Jeunesse)

Les éditions Glénat jeunesse nous proposent un cahier d’activités génial, pour tous les enfants qui sont en CP : Mes coloriages magiques.

Ce cahier proposent des jeux qui vont permettre à l’enfant de progresser et d’améliorer à la fois sa lecture, son vocabulaire et son calcul. Et comme tout est fait pour plaire au jeune lecteur, il ne se rendra pas compte qu’il « travaille » !

Ce cahier d’activités a été conçu par une enseignante de CP.

30 coloriages magiques sont proposés. Certains sont à compléter en suivant des consignes simples, ou en faisant de petits calculs, ou en lisant les codes couleurs…

Je suis en CP : Mes coloriages magiques est un outil qui va plaire autant aux parents qu’aux enfants !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Janvier 2025
Auteur : Magdalena
Illustrateurs : Christine Ponchon, Emmanuel Ristord
Editeur : Glénat Jeunesse
Prix : 10,90 €

« La vie est une fête » of course !!! avec Les Chiens de Navarre, à Corbeil-Essonnes

"La vie est une fête" et la liberté d'en rire avec Les Chiens de Navarre
Photo © Ph. lebruman

« La vie est une fête » of course !!! avec Les Chiens de Navarre, à Corbeil-Essonnes

Depuis quinze ans, l’insolente compagnie Les Chiens de Navarre use habilement du rire pour explorer les travers de notre société. Le metteur en scène Jean-Christophe Meurisse n’a pas son pareil pour transformer des faits qui l’indignent en satires expiatoires. Le collectif n’épargne personne et n’a cure du politiquement correct.

Après avoir ausculté le thème de l’identité nationale dans ”Jusque dans vos bras”, après avoir assisté à un Noël en famille qui tourne au cauchemar dans ”Tout le monde ne peut pas être orphelin”, Les Chiens de Navarre se demandent désormais comment les « micro folies » de notre siècle ne nous rendent pas fous.

Car tout va trop vite et plutôt mal. Pris dans la marche très inquiétante du monde, chacun d’entre nous est au bord du gouffre. C’est l’hypothèse de La vie est une fête : l’hôpital psychiatrique donc comme passage obligé, là où explose sans vergogne la réalité du monde et son humanité pour mieux en révéler ses turpitudes et son esprit de résistance. Un pur régal !

À travers des situations universellement évocatrices, mettant en œuvre la technique désormais éprouvée d’une écriture guidée par des improvisations au plateau, les Chiens de Navarre partent d’un constat qu’ils étirent et transforment en séquences burlesques.

Tout commence déjà avant le début de la représentation. En prenant place sur les gradins, les spectateurs (députés anonymes) sont d’emblée immergés dans la cacophonie d’une séance de l’Assemblée Nationale. Sous les incessants rappels à l’ordre d’un Président juché sur son perchoir, se succèdent les discours sur le bienfondé ou non de la proposition du jour : la retraite à 72 ans ! Où mascarade, pugiltat, postures et effets de manche sont à l’œuvre.

Et de la folie, il y en a, dans ce théâtre indiscipliné, indomptable, irrévérencieux. De la caricature aussi, nourrie d’une observation incisive qui fait mouche sans sous-estimer le pouvoir de dénonciation qu’elle charrie. Nous voici donc face à un instantané d’humanité où se croisent et se percutent toutes les ambiguïtés, toutes les absurdités, toutes les dérives politiques, intimes, et sociales, propices à l’explosion.

Société malade mais vivante

On observe un politicien revenu sur la scène qui profère des propos de plus en plus extrémistes et qui était déjà intervenu au début en séance parlementaire. Il est amené manu militari au service des urgence psychiatrique où un médecin stoïque l’écoute avant de le stopper net, dans un geste aussi radical que libérateur.

Nous sommes alors ensuite propulsés au cœur d’une salle commune de soignants qui s’occupent davantage des cagnottes entre collègues et du distributeur en panne que des patients sous leur responsabilité.

Aux détours de ces couloirs, on pourra croiser une quadragénaire complexée, traumatisée par sa gynéco et son chirurgien esthétique, une fan obsessionnelle de Christophe en dépression depuis la mort du chanteur, le fondateur d’une entreprise de tech évincé de sa propre boîte par deux jeunes startuppeurs en hoverboard à travers un discours managérial bourré d’anglicismes et aussi cynique que fumeux.

Un sas d’humanité

Autant de symptômes d’une société malade d’elle-même et qui fait alors basculer la représentation dans un univers surréaliste et explosif avec une galerie de personnages prêts à en découdre. On croise alors un monstre sanguinaire en slip, un flic et un manifestant tout aussi enragés ou encore le Joker de Joaquin Phoenix dont le charisme n’est plus à démontrer !

Une embardée donc aussi cathartique que corrosive sur la folie de notre époque en pleine perdition que le collectif de haut vol constitué de Delphine Baril, Lula Hugot, Charlotte Laemmel, Anthony Paliotti, Gaëtan Peau, Ivandros Serodios, Fred Tousch porte à son paroxysme. On assiste aussi à une humanité traquée mais révélée dans toute sa vulnérabilité et sa quête de sens.

La mise en scène cadrée et rythmée de Jean-Christophe Meurisse accompagne de concert cette embardée à l’énergie jusqu’auboutiste et galvanisante. Le tout illustré d’une bande-son aux petits oignons dans le pur esprit de la satire et de son œuvre salutaire. 

Dates : Les 11 et 12 février 2025 – Lieu : Théâtre de Corbeil-Essonnes
Mise en scène : Jean-Christophe Meurisse

Moon et Iro, tome 1 (Yam Yam Milan)

Moon et Iro, tome 1 (Yam Yam Milan)

Les éditions Yam Yam Milan lancent une nouvelle série : celle des webtoons.
Un webtoon, en coréen est un manhwa publié en ligne. Un manhwa est le nom donné à la bande dessinée en Corée qui connaît un énorme succès en France.

Publik’art vous a déjà fait découvrir, dans la même collection, This must be love.
Aujourd’hui, il s’agit d’une nouvelle série, dans cette collection de webtoons : Moon et Iro. A travers cette superbe BD, le lecteur va découvrir l’art de vivre à la coréenne… Et aussi un milieu assez fantastique.

Sur l’île de Sanga, Moon va découvrir une drôle de créature à la fois humaine et à la fois sirène. Un triton ! Moon va tout faire pour lui venir en aide et protéger Iro des chasseurs qui cherchent à le capturer. Elle va le soigner et le nourrir… Et tout faire pour qu’il retrouve sa liberté. Y arrivera-t-elle ?

Découvrez sans plus tarder le 1er tome de cette nouvelle série : Moon et Iro !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Janvier 2025
Auteur : Wonsanji
Illustrateur : Wonsanji
Editeur  : Milan
Prix : 14,95 €

Une BD désopilante avec Braquages et bras cassés aux éditions La Boite à Bulles

Quand un groupe de supposés truands sont réunis pour un casse, les choses partent en live dans un festival de situations plus hasardeuses les unes que les autres. Les auteurs livrent un thriller qui surprend par son ton décalé, les héros copinent avec des truands, les bons sentiments sont flous et les mauvaises habitudes sont tournées en dérision. La lecture est surprenante avec un beau noir et blanc qui souligne l’ambiance première de la BD, braquages, violence et mystères. Les magouilles sont au rendez vous, avec son lot d’imprévus et de mauvaises surprises, de quoi mettre les esprits en ébullition. La BD éditée initialement en 2010 ressort pour redécouvrir une histoire pleine d’humour désabusé et d’imprévus cocasses. Le moment de tenter la redécouverte d’une BD différente des thrillers habituels avec sa bonne dose de second degré et son scénario truffé de surprises.

Synopsis: Eddy, flic en fin de carrière, avait minutieusement mis au point un vol d’objets d’art religieux. Le plan parfait.

Malheureusement, le hasard de la vie et des rencontres va compliquer les choses…
Manu est un malfrat qui rêve de devenir l’ennemi public numéro 1. Sa vie va basculer le jour où sa route croise celle d’Eddy.

Gaz et Dante sont deux glandeurs vivant aux crochets de papa, garagiste magouilleur et alcoolique. Une nuit, ce dernier se fait agresser dans le garage familial : c’est le début des complications…

Ces personnages, sortes de Pieds Nickelés wallons, vont se retrouver pris dans un engrenage de situations inattendues, parfois loufoques, parfois violentes, où ils ne vont cesser de se croiser, de se poursuivre, de se confronter. Un album en noir et blanc palpitant qui plonge le lecteur dans une atmosphère sombre et réaliste mais néanmoins cocasse.

Editeur: La Boite à Bulles

Auteur: Benjamin Fischer & Georges Van Linthout

Nombre de pages / Prix: 112 pages / 22 euros

Un thriller historique à découvrir avec Le Maitre de California Hill aux éditions La Boite à Bulles

Les 2 auteurs LF Bollée et Georges Van Linthout imaginent une histoire d’invention du cinéma en plein coeur du Far West dans une ambiance sauvage et violente. Le pari est tenu, la BD se dévore au rythme des péripéties d’une folle aventure où 2 magnats s’affrontent pour un pari osé, prouver qu’un cheval garde toujours ou non un sabot au contact du sol, vieille rengaine vieille comme le monde qui a agité tous les artistes, peintres ou sculpteurs, depuis la nuit des temps. A la mitant du XIXe siècle alors que la photographie est pparue, Muybridge et Stanford tentent de prouver cette vieille marotte en essayant de lier les photos entre elles, ce qui équivaut à l’invention du cinéma… Les dessins très réalistes vont bien avec cette histoire de rivalité virile racontée dans une belle ambiance de western, alors que le chemin de fer se met à traverse les immenses espaces américains. .

Synopsis: Le nouveau thriller historique de LF Bollée et Georges Van Linthout : le pari fou du magnat et de l’inventeur qui, par vanité, poseront les bases du cinéma.

Afin de découvrir si un cheval au galop garde, ou non, toujours un sabot en contact avec le sol, Muybridge et Stanford vont révolutionner la photographie…

Au milieu des années 1860, la construction de la première ligne de chemin de fer transcontinentale arrive à son terme. Derrière ce projet colossal, côté Ouest, le magnat et ancien gouverneur de Californie, Leland Stanford, un homme connu pour sa voracité et qui ne vit que par et pour ses chevaux – qu’il garde près de lui dans son manoir de California Hill.

Ainsi, le jour où son partenaire et rival, Mr Durant, lui fait part de la question qui agite les milieux hippiques de l’époque, ils se lancent un pari : celui qui parviendra à prouver si un cheval au galop garde, ou non, toujours un sabot en contact avec le sol gagnera 10 % de l’entreprise de l’autre.

Pour battre son rival, Stanford offre des moyens quasi illimités à Eadweard Muybridge, un photographe talentueux mais psychologiquement instable. Muybridge entreprend donc de photographier, un à un, les mouvements d’un cheval au galop, qu’importe que la technologie ne le permette pas encore…

Débute ainsi une collaboration funeste où se rencontrent avidité et démesure, mais qui révolutionnera la photographie et posera les bases du cinéma.

Editeur: La Boite à Bulles

Auteur: LF Bollée & Georges Van Linthout

Nombre de pages / Prix: 144 pages / 25 euros

Natalya Kulesh : – Perle dans l’art mondial

Natalya Kulesh : – Perle dans l’art mondial

L’emploi des photographes devrait augmenter de 4 % dans les années à venir. En moyenne, environ 13 700 offres d’emploi pour des photographes devraient être disponibles chaque année pendant la prochaine décennie. Bien que la profession soit en demande, le nombre de personnes désireuses de poursuivre une carrière en photographie soit encore plus élevé. Qu’est-ce qu’il faut pour devenir un maître éminent de l’art visuel et un lauréat de nombreux concours prestigieux de photographie ? Natalya Kulesh, une photographe exceptionnelle, participante du Salon de la Photographie des Membres de la GPU, et membre de l’Union Artistique Eurasienne depuis 2022, qui a obtenu des résultats remarquables et a confirmé son succès international durable en 2024 en remportant la 1ère place dans plusieurs concours et en obtenant la médaille d’or PSA, la mettant en lumière comme une figure de proue dans la photographie contemporaine, connaît la réponse.

Natalya Kulesh a commencé son parcours professionnel en photographie en 2015, transformant une simple passion en une carrière extraordinaire. Son expertise en photographie de portrait et sa capacité à travailler avec des éclairages complexes lui ont valu de nombreuses distinctions et les premières places dans des concours internationaux. Natalya est désormais prête à partager ses conseils professionnels, offrant des perspectives et des orientations aux photographes en herbe souhaitant faire avancer leur carrière.

Développer un style unique

Cultiver un style unique en photographie est crucial pour se distinguer et établir une identité artistique reconnaissable qui touche les spectateurs. Le style artistique de Natalya Kulesh se définit par sa vision aiguë et son professionnalisme, ce qui la distingue dans la photographie. Son travail allie précision technique et sensibilité, créant des images à la fois visuellement impressionnantes et émotionnellement percutantes. Natalya recommande : « Expérimentez diverses techniques et perspectives pour découvrir ce qui résonne en vous, permettant à votre individualité de briller à travers votre travail. La constance dans votre style crée une signature reconnaissable qui vous distingue des autres photographes. Bien qu’il soit précieux de s’inspirer des autres, veillez toujours à infuser votre touche personnelle dans chaque image. » Natalya excelle dans des conditions d’éclairage difficiles et se concentre sur des images naturelles, créant ainsi des photographies authentiques et profondes. Sa photographie aborde souvent des thèmes sociaux, traitant des problèmes environnementaux et des luttes des enfants défavorisés. Sareprésentation sensible de ces sujets souligne son engagement à utiliser l’art comme outil de changement social, enrichissant les discussions culturelles et inspirant les autres à voir la photographie comme un moyen de défense et de sensibilisation.

S’engager avec la communauté photographique

Le réseautage avec d’autres photographes peut fournir des perspectives précieuses et ouvrir des opportunités de collaboration et de développement. Natalya Kulesh est membre de l’Union Artistique Eurasienne depuis 2022, s’associant ainsi à l’une des associations photographiques les plus influentes au monde. Son affiliation avec la Global Photographic Union (GPU) souligne encore son engagement envers l’excellence et la reconnaissance dans la communauté internationale de la photographie. Ces adhésions reflètent sa position estimée et sa participation active sur la scène artistique mondiale. Avec son expérience étendue en réseautage, Natalya déclare : « Rejoignez des groupes et forums de photographie pour échanger des idées et recevoir des retours constructifs d’autres photographes, ce qui peut considérablement améliorer vos compétences et votre créativité. Accueillez l’innovation et restez ouvert à des points de vue divers pour développer constamment votre vision artistique. »

Partager votre travail

Exposer votre travail est essentiel pour accroître votre visibilité, obtenir des retours et établir des connexions avec un public plus large, ce qui peut ouvrir de nouvelles opportunités et favoriser la croissance de votre parcours créatif. Natalya recommande : « Utilisez des espaces d’exposition – déclarez-vous haut et fort, c’est uniquement en passant par le chemin de la reconnaissance que vous pouvez obtenir des résultats exceptionnels. » Elle comprend véritablement l’importance de partager son travail en ligne, ce qui est démontré par sa participation active et ses victoires dans de nombreuses expositions en ligne prestigieuses à travers le monde, notamment en Europe, en Asie et en Inde. Son travail reconnu et célébré dans ces paysages culturels divers met en avant sa polyvalence et son excellence artistique. Cette reconnaissance internationale souligne sa capacité à toucher un large public grâce à ses récits photographiques captivants.

Construire un portfolio solide

Un portfolio convaincant est essentiel pour mettre en valeur votre meilleur travail et démontrer vos capacités. « Concentrez-vous sur la mise en valeur de votre meilleur travail qui met en avant votre style unique et vos compétences. Incluez une gamme diversifiée de projets pour montrer votre polyvalence, mais assurez-vous que chaque pièce s’aligne sur votre thème ou expertise global », conseille Natalya. Depuis ses débuts dans les expositions à Moscou jusqu’à sa reconnaissance mondiale à travers des associations et publications prestigieuses. Sa participation précoce à des expositions telles que « Water World 2021 » à Moscou a attiré une attention significative et l’a établie comme une photographe prometteuse.

Le portfolio de Natalya est largement exposé sur LensCulture, l’une des ressources les plus complètes et les plus étendues pour découvrir les talents contemporains de la photographie à travers le monde, reflétant sa position estimée dans le monde de la photographie contemporaine. Cette plateforme connecte des photographes comme Natalya avec un public international avide d’art innovant et stimulant.

De plus, les photographies de Natalya Kulesh ont été publiées dans des revues prestigieuses telles que Vous, Artego et GMARO, un magazine de l’industrie de la mode mettant en avant la mode, la beauté, le design et la photographie. Son travail apparaît également dans You All Models, INFRAME Magazine et Vigour Magazine, consolidant davantage son statut et son influence.

Visez le succès

Le succès en photographie se manifeste souvent par la reconnaissance importante, la victoire dans des concours et la participation à des expositions de haut niveau mettant en valeur les talents artistiques et commerciaux d’un photographe. Natalya Kulesh a reçu une reconnaissance significative dans le monde de l’art, marquée par son travail impressionnant et ses nombreuses distinctions. Sa participation et sa victoire (1ère place) en 2024 à l’exposition au site du patrimoine mondial de l’UNESCO, l’Exconvento Desierto de los Leones au Mexique, a constitué une étape importante, mettant en valeur l’attrait commercial et esthétique de son travail. Les réalisations de Natalya incluent la médaille de bronze au DIGIFOCUS CIRCUIT 2024 et l’or PSA au Passion Sanman 2024 pour « Préserver la féminité : Le seul », soulignant sa capacité à capturer des thèmes profonds avec créativité. En 2022, elle a remporté la 1ère place à l’exposition « Emotions » à Moscou et est devenue la lauréate de la 1ère place des Russian Photo Awards 2022.

Les collaborations avec des institutions et publications prestigieuses ont encore renforcé sa position, lui permettant d’atteindre un public mondial et d’influencer la photographie contemporaine. L’influence et l’expertise de Natalya sont largement reconnues en tant que jurée pour le projet scientifique INTERCLOVER et pour le prix annuel international des photographes d’enfants et de famille (BICFP). Avec sa vaste expérience, Natalya recommande : « Visez à obtenir une reconnaissance significative en produisant un travail exceptionnel qui résonne tant auprès des publics artistiques que commerciaux. Efforcez-vous de remporter des prix et de participer à des expositions prestigieuses, car ces réalisations mettent en valeur vos talents et renforcent votre réputation. »

Avoir une vision pour demain

Avec une vision pour l’avenir, un photographe avance dans son domaine, se prépare pour des expositions internationales et explore de nouveaux thèmes et techniques pour élargir son influence artistique et inspirer les générations futures. Natalya Kulesh fait des progrès significatifs en photographie, avec des projets passionnants et des aspirations à venir. Elle se prépare pour des expositions au Royaume-Uni, en Serbie et en Russie, y compris une exposition solo à Moscou ce décembre. Son travail a été sélectionné pour la prestigieuse 50e Exposition Internationale du Jubilé à Smethwick, au Royaume-Uni, en janvier 2025. Cet événement, organisé par l’une des plus anciennes associations de photographie au monde, souligne le statut estimé de Natalya dans la communauté artistique mondiale.

Natalya Kulesh suggère : « Pour avoir une vision pour demain, les photographes devraient se concentrer sur l’établissement d’objectifs clairs et l’élargissement de leur portée artistique. Embrassez les opportunités d’exposition internationale, comme la participation à des expositions à l’étranger, ce qui peut améliorer votre réputation et votre influence. Expérimentez de nouveaux thèmes et techniques pour garder votre travail frais et inspirant, tant pour vous-même que pour les générations futures. » L’héritage de Natalya commence déjà à se former, inspirant les photographes de demain avec son engagement envers l’authenticité et le commentaire social. Au-delà de ses photographies, elle mentore les artistes émergents et participe aux jurys internationaux. Natalya Kulesh a l’intention de laisser un impact durable sur la photographie en contribuant au monde de l’art.

 

Anatole Latuile, Tome 18 (Bayard Jeunesse)

Anatole Latuile, Tome 18 (Bayard Jeunesse)

Les éditions Bayard jeunesse nous proposent le tome 18 d’Anatole Latuile, Un Max de surprises !
Le meilleur ami d’Anatole apprend que sa maman va avoir un bébé. Il va donc devenir grand frère ! Il est vrai qu’il trouve sa mère vraiment bizarre, ces derniers temps…
Comme d’habitude, les illustrations de Clément Devaux, sont géniales ! Et le scénario est toujours empli d’humour ! Les jeunes lecteurs peuvent facilement s’identifier à l’un ou l’autre des petits héros !
Plus de 2 millions de lecteurs suivent les aventures d’Anatole Latuile, chaque mois, dans J’aime lire ! Autant dire qu’il est bien connu notre Anatole !
Anatole Latuile vous réserve un max de surprises dans ce dernier tome qui vient de paraître !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Janvier 2025
Auteurs : Olivier Muller, Anne Didier
Illustrateur : Clément Devaux
Editeur : Bayard Jeunesse
Prix : 11,50 €

Parution de la BD hommage aux french doctors avec L’appel des Bouts du monde aux éditions La Boite à Bulles

Comme souvent aux éditions La Boite à Bulles, c’est par le biais d’un parcours personnel authentique qu’une grande histoire est racontée. Les exemples d’association humanitaires médicales venues de France sont nombreux. Par exemple, créée en 1971, l’association médicale humanitaire internationale Médecins sans frontières intervient dans plus de 70 pays de par le monde, sur tous les continents, en temps de paix ou en temps de guerre, comme La Croix Rouge et Aide médicale Internationale. C’est ici l’exemple authentique de Joëlle qui illustre l’implication de tous les instants du personnel médical et paramédical. La jeune infirmière s’est engagée pendant 40 ans pour porter secours à tous ceux qui en avaient besoin. Les récit est richement illustré et le scénario suit les voyages multiples réalisés par Joëlle, avec quelques commentaires bien sentis sur les conditions de travail parfois limites des équipes détachées, car les humanitaires voient, entendent, partagent et témoignent, bref, ils gênent un peu les belligérants… La BD d’aventure et de souvenirs est un beau témoignage à retrouver aux éditions La Boite à Bulles à partir du 5 février.

Synopsis: De la guerre du Liban à nos jours, des premiers French doctors bénévoles aux professionnels d’aujourd’hui, Joëlle a vécu intensément 50 ans de dévouement à la cause humanitaire…

Jeune infirmière à Cherbourg au milieu des années 70, Joëlle découvre par hasard les coordonnées de Médecins sans Frontières dans un magazine au salon de coiffure. Trois semaines plus tard, la voilà sous le feu de Beyrouth en guerre. C’est l’électrochoc, il lui est désormais impossible de reprendre une vie « normale ».

En quarante ans, Joëlle a connu toutes les grandes crises de la fin du XXe siècle : Congo, Haïti, Afghanistan et bien d’autres… Une vie de tarmacs et de grandes organisations internationales d’aide comme la Croix-Rouge ou Aide Médicale Internationale. Au fil de ses voyages, elle voit son activité bénévole se structurer, et naître des carrières d’humanitaire, comme la sienne, qu’elle regarde rétrospectivement avec émotion mais sans ménagement.

Editeur: La Boite à Bulles

Auteur: Catherine Monnot-Berranger & Paolo Vincenzo Castaldi

Nombre de pages / Prix: 232 pages / 28,50 euros

Un froid de manchot (Milan)

Un froid de manchot (Milan)

Les éditions Milan nous proposent un album très original : Un froid de manchot !
C’est l’histoire d’un manchot qui souffre de ce froid polaire et de voir tous les jours la même banquise, les mêmes manchots… et toujours ce froid polaire ! Il rêve de tout autre chose ! Et soudain, il va découvrir un objet qui va lui changer la vie…
les illustrations sont très belles et parlent d’elles-mêmes !
Un froid de manchot est un album plein d’humour qui va se lire et se relire … sans fin !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Janvier 2025
Auteur : Huw Lewis Jones
Illustrateur : Ben Sanders
Editeur : Milan
Prix : 13,90 €

Une pièce surréaliste sur la vie en entreprise avec La Réunion à la Manufacture des Abbesses

La Manufacture des Abbesses offre une belle scène à une jeune troupe de théâtre pour une première pièce très surréaliste, la troupe Calamart. 2 comédiennes et 2 comédiens se retrouvent réunis pour une mystérieuse réunion au sein d’une entreprise très révélatrice des mœurs professionnelles de notre temps. L’ambiance froide et désincarnée figure la déshumanisation à l’ouvrage dans de grands groupes qui exigent une adhésion complète à des valeurs de compétitivité qui ne laissent aucune place à la fantaisie. Aucun indice sur les prénoms des participants, les personnages préfèrent s’affubler de surnoms ironique plutôt que de révéler leurs identités. Leurs échanges soulignent la solitude et le désenchantement en alternance avec des irruptions informatiques, leur supérieur souhaite leur parler mais l’attente devient de plus en plus irrespirable comme si cette réunion était avant tout un test pour éprouver leur fidélité. La pièce multiplie les échanges lunaires et les personnages commencent à douter de leur implication dans une ambiance très 1984. Les armures revêtues par chacun et chacun au début de la pièce se fendent au fur et à mesure pour laisser libre cours à leurs psychés dans une joyeuse débandade, mettant en exergue les conflits entre les personnalités, les rivalités et les déceptions. Le concept est réjouissant pour ce premier essai d’une troupe au potentiel certain.

Synopsis:

Une salle. Une table. Un bonsaï mort. Quatre collaborateurs.

Dans cette salle de réunion, ils attendent leur N+1 pour que la Réunion commence.
Ils ont oublié depuis longtemps l’objet de cette réunion, et s’il y en avait bien un au départ. Mais comme il est pour nous vital de manger, respirer, dormir, il leur est absolument vital de se réunir.

La salle de réunion est leur nouvel habitat. Elle est une réalité parallèle aux règles précises mais insaisissables, et où, dans une éternelle attente, s’épanouit un nouvel embranchement des hominidés : l’Homo Congregatio.

Que faire en attendant que tout commence ?

‘La Réunion’ offre une cérémonie théâtrale cathartique pour haïr, pleurer et enfin rire à souhait des absurdités que nous avons enfantées.

Détails:

Du 26 Janvier au 19 Février 2025 – Les Mardis & Mercredis à 21H et les Dimanches à 20H

L’amour ne tient qu’à un fil, de Françoise Dorner (Albin Michel)

L’amour ne tient qu’à un fil, de Françoise Dorner (Albin Michel)

Françoise Dorner nous régale avec son dernier roman : L’amour ne tient qu’à un fil.

Lucie a connu le grand amour, à vingt-huit ans. Il a duré en réalité quinze jours. Son grand amour, Charles, a laissé chez elle son violon avant de disparaître sans plus jamais donner de nouvelles.

Croyez-vous que Lucie se soit effondrée ? Eh bien non ! Lucie a une capacité incroyable de se créer une vie imaginaire qui lui rend la vie réelle supportable ! Et même plus que supportable !

De cet amour est né neuf mois plus tard un garçon. François. Un cadeau du ciel pour Lucie. Pour lui, elle va inventer un père presque parfait ! Elle va faire fabriquer, à partir d’une photo de Charles, un mannequin en latex, qui sera son double et restera toujours présent avec eux, dans le salon.

C’est tout simplement incroyable cette histoire ! Tellement drôle et complètement décalé !

Publik’Art est archi fan !

L’amour ne tient qu’à un fil est un super moment de lecture qui nous emmène tellement loin de notre quotidien ! Un vrai bonheur ! Un vrai coup de cœur !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Janvier 2025
Auteur : Françoise Dorner
Editeur : Albin Michel
Prix : 19,90 €

Une belle pièce pour toute la famille avec L’Apprenti Sorcier au Lucernaire

Le Lucernaire propose un nouveau spectacle pour les enfants et leurs parents les mercredi, samedi et dimanche avec L’Apprenti Sorcier d’après le célèbre Goethe. Un narrateur (Tom Bouchardon) raconte l’histoire d’un jeune garçon devenu apprenti sorcier. Autour de lui, plusieurs personnages marionnettes sont animés par Eveline Houssin et le metteur en scène Philippe Calmon pour faire vivre apprenti, sorcier, fée et lutin, tout ce petit monde avive un univers magique qui manque tant à notre société actuelle froide et robotique. Les plus érudits reconnaitront la fameuse scène du film FantasiaMickey manque de se noyer en commandant à un balai de remplir une cuve d’eau sans que ce dernier ne parvienne plus à jamais s’arrêter. Cette scène est le sommet d’un moment de théâtre tour à tour drôle, émouvant ou plein de sagesse. Le jeune Léonard veut aller plus vite que la musique et devenir sorcier avant que de tout connaitre de ce rôle puissant mais dangereux. Merlin le tanne, le prévient mais le fait grandir à force de leçons de vie. Les 55 minutes de spectacle sont denses et surtout font plaisir, la salle est ravie de ce moment d’enthousiasme et de convivialité. C’est le prélude d’un long moment d’applaudissement final pour remercier la petite troupe de leur générosité.

Synopsis:

UN CONCERT MARIONNETTIQUE

À partir de 5 ans 

Léonard, jeune garçon intrépide, ne rêve que d’une chose, devenir magicien. Il s’aventure dans la forêt et rencontre Puck le lutin, Ariel la fée, et Merlin l’enchanteur. Ce dernier l’accepte comme apprenti. Au son de la musique d’un quatuor baroque, Léonard va découvrir le monde merveilleux de la magie. Mais, emporté par son enthousiasme et son impétuosité, il va jouer à l’apprenti sorcier et perturber l’équilibre fragile de la nature. Il sera sauvé in extremis de la noyade par Merlin. Il va ainsi apprendre combien il peut être dangereux de se servir de la magie sans en maitriser tous les principes.

Un opéra baroque marionnettique inspiré du poème de Goethe et de la musique de Dukas (Fantasia).

Détails:

Du 22 janvier au 11 mai 2025

Mercredi et samedi 14h30 I Dimanche 14h

« Les Idoles » de Christophe Honoré ou l’éternelle inspiration

"Les Idoles" de Christophe Honoré ou l’éternelle inspiration
Julien Honoré, Marlène Saldana, Paul Kircher et Harrison Arévalo dans « Les Idoles » © Jean-Louis Fernandez

« Les Idoles » de Christophe Honoré ou l’éternelle inspiration

Il y a eu « Plaire, aimer et courir vite » au cinéma, puis la publication du récit autobiographique « Ton père ». Christophe Honoré termine son triptyque sur l’homosexualité en ressuscitant au plateau la génération sida de ses idoles parties trop vite. Et les revoilà donc pour un retour en arrière et au présent, un retour sur images ici et maintenant, sous les traits d’actrices et acteurs.

Une déclaration d’amour, un regret poignant, un exercice drôle et irrévérencieux selon l’art et la manière de Christophe Honoré. Ces années-là, c’était les années sida : on le découvre, il se propage, on en porte les stigmates, on en meurt. Encore étudiant, Christophe Honoré quitte Rennes pour Paris où il comprend que tous ceux qu’il aime, qu’il admire, sont partis : les dramaturges Jean-Luc Lagarce et Bernard-Marie Koltès, le chorégraphe Dominique Bagouet, le romancier Hervé Guibert, le critique de cinéma Serge Daney, les réalisateurs Cyril Collard et Jacques Demy. Tous étaient homosexuels.

Qu’ils soient hommes ou femmes, au plus près du désir et des idées, les acteurs convoqués devant nous donnent chair à ces figures et aux questions cruciales que la sexualité, l’amour, la mort font naître. Il y a l’aveu des uns, le déni des autres, l’engagement ou le repli de certains. Ils dansent, parlent, chantent, s’engueulent, rient et nous invitent à ne pas oublier ce que le sida a laminé.

Mettant en scène ces artistes sous une forme de dialogue imaginaire qui conjugue à la fois le passé et le présent, Christophe Honoré interroge par delà le manque, leur héritage, leur engagement, leur rapport à la maladie et à la création.

Mémoire d’artistes, d’hier et d’aujourd’hui

« Une réunion d’amis qui dansent comme on jette une poignée de terre sur le bois d’un cercueil », commente Christophe Honoré, dont la voix en off accompagne les premières minutes du spectacle.

Formant une ronde, les comédiens agitent leurs bras comme des oiseaux battant de l’aile, au rythme de la chanson des Doors, When the music’s over. C’est un écho au spectacle, Jours étranges, que Christophe Honoré découvrit en 1992, peu après le décès de son auteur, le chorégraphe Dominique Bagouet, touché lui aussi par la maladie.

Une convocation humaine mais aussi festive si propre au geste dramaturgique et scénique de Christophe Honoré, où affleure l’esprit de chacun des artistes, sa culture, son humour, son goût de la provocation, et qui le voit revendiquer sa condition d’homme et sa manière d’affronter la maladie, de conjurer la vie.

Des figures qui se débattent contre elles-mêmes, contre la mémoire, où s’entremêlent la vie et la mort, la confession et le secret, l’élan et la mélancolie.

Si certains ont dévoilé ouvertement leur homosexualité comme Jean-Luc Lagarce ou Hervé Guibert, d’autres sont restés plus discret, « dans le placard » comme Jacques Demy.

Des instantanés accompagnent la représentation qui surgissent pour évoquer la notion d’héritage notamment celle de Jacques Demy avec ce numéro de danse haut en couleur de Marlène Saldana (formidable) sur la Chanson d’un jour d’été, des Demoiselles de Rochefort ou encore l’attirance de Bernard-Marie Koltès pour New York et ses bad boys dans une scène du film d’une époque avec John Travolta dans la fièvre du samedi soir.

La perte aussi brûlante hypnotise la scène à travers le monologue poignant de Marina Foïs qui scrute les derniers instants de Michel Foucault dans les yeux de son ami Hervé Guibert.

Une traversée à la fois grave, légère, enjouée, musicale, et étirée, capable de convoquer un numéro de claquettes ou encore une chanson de Bob Marley.

L’alchimie évidente qui opère entre les comédiens (Harrison Arévalo, Jean-Charles Clichet, Marina Foïs (Molière de la comédienne en 2019 pour la pièce), Julien Honoré, Paul Kircher et Marlène Saldana), donne à la pièce une énergie vitale et communicative, qui porte en elle toute la singularité et la fougue de ces artistes trop tôt disparus.

Dates : du 18 janvier au 6 avril 2025 – Lieu : Théâtre de la Porte-Saint-Martin (Paris)
Mise en scène : Christophe Honoré

The Lapins crétins, tome 17, Magic (Glénat Jeunesse)

The Lapins crétins, tome 17, Magic (Glénat Jeunesse)

Les éditions Glénat jeunesse nous proposent le 17ème tome de The Lapins crétins : Magic !
Pas besoin de savoir lire pour « lire » cette bande dessinée des lapins crétins ! Les images sont suffisamment explicites et de plus, le scénario est quasi inexistant !
Dans ce 17ème tome, Les Lapins crétins s’essaient à la magie ! C’est rigolo, pas toujours évident mais on rit quand même !
Même si le lecteur ne va pas toujours comprendre ce qui se passe, il va se régaler avec les illustrations de Thomas Priou ! Encore une fois, il va remporter tous les suffrages !
The Lapins crétins, tome 17, vont initier les jeunes lecteurs à la magie ! A coup sûr !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Janvier 2025
Auteur : Dab’s
Illustrateur : Thomas Priou
Editeur  : Glénat jeunesse
Prix : 11,50 €

This must be love (Yam Yam Milan)

This must be love (Yam Yam Milan)

Yam Yam est la nouvelle collection de webtoons créée par les éditions Milan. Un webtoon, en coréen est un manhwa publié en ligne. Un manhwa est le nom donné à la bande dessinée en Corée. Donc c’est bande dessinée coréenne qui a un succès fou en France !

This must be love est écrit par Lee Eum-Sae et merveilleusement illustré par Dodo.

C’est l’histoire de Ban Hana. Elle est chanteuse et animatrice de radio. Par un concours de circonstances, elle va appuyer sur un bouton d’un walkman qu’un fan vient de lui offrir et va se trouver propulsée en 1987 ! Elle vient d’avoir un accident de voiture. Elle est en 2019… Elle ne comprend pas du tout ce qui se passe !

En plus, elle va voir son walkman ! Il appartient à Woo Jae-ah. Un super musicien mais qui a disparu… Et elle va tomber sur lui et tout faire pour qu’il reprenne la musique ! Elle connaît son futur ! Il va devenir très célèbre mais lui, ne le sait pas… Plein d’aventures pour Ban hana qui hallucine de ce monde des années 80 !

This must be love est un super webtoon ! On attend le tome 2 avec impatience !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Janvier 2025
Auteur : Lee Eum-Sae
Illustrateur : Dodo
Editeur  : Milan
Prix : 14,95 €

Le jazz band Blue Jitters dévoile son nouvel album éponyme le 31 janvier 2025

Le groupe de jazz parisien Blue Jitters joue la carte du jazz band avec des inspirations puisées dans le jazz des années 20, 30 et 40. Le groupe s’approprie un répertoire swing depuis sa création en 2013 avec plus de 200 concerts tenus dans le cadre de bals swing, clubs ou festivals de jazz en France et à l’étranger. La notoriété de Blue Jitters n’est plus à démontrer et danseurs comme amoureux du swing dans la capitale en redemandent, la relecture du répertoire swing arrangé est portée par une section cuivre, un accordéon et un violon. Après un premier EP sorti en 2013 et un mini album Live en 2019, Blue Jitters (anciennement nommés Swinguez Moustaches) a sorti fin 2021 un premier album studio intitulé En Vogue, enregistré à Midi Live et joué plus de 50 fois depuis sa sortie au Pan Piper à Paris. La bonne humeur est de mise, les rythmes sont endiablés, les inspirations remontent à un temps ancien et sont retranscrites avec talent.

Release Party le 16 février au Pan Piper (Paris)

Caloé – chant, violon                       

Clément Barkatz – Trompette

Henri Peyrous – Saxophones          

Nicolas Almosni – Accordéon

Paul de Robillard – Guitare          

Ahmed Ghanem – Contrebasse

Martin Cazals – Batterie

Dates de concert à venir:

16 février 2025

RELEASE PARTY – PAN PIPER – Paris (75)

17 mai 2025

Festival Hop’n Spring – Besançon (25)

Publireportage:

Blue Jitters est un jazz band parisien qui puise son inspiration dans le jazz des années 20, 30 et 40. Le groupe réarrange un répertoire swing et cumule depuis sa création en 2013 plus de 200 concerts dans le cadre de bals swing, clubs ou festivals de jazz en France et à l’étranger.

Blue Jitters a acquis une rapide notoriété auprès des danseurs et des amoureux du swing dans la capitale, de part notamment leur relecture personnelle du répertoire swing arrangé pour une formation atypique intégrant à la section cuivre, un accordéon et un violon.

Le silence des pères, un roman de Rachid Benzine (Points)

Le silence des pères, un roman de Rachid Benzine (Points)

Rachid Benzine est enseignant et chercheur associé au Fonds Ricœur. Il est aussi écrivain ! Et son dernier roman est totalement bouleversant : Le silence des pères.

Ce roman devrait être lu par nous tous ! On comprendrait bien mieux ce qui se cache sous le mot « émigré ». Surtout en ce moment avec tout ce que l’on entend à la télévision, à la radio, sur le thème de l’immigration !
« Il a fallu qu’il meure pour que je revienne » … p17

Un fils raconte les liens qu’il a eus toute sa vie avec son père. Et ce que ce dernier lui a transmis. Un jour, le fils est parti, vivre sa vie loin de Trappes, la ville de son enfance.

En 1938, son père, à peine 18 ans, est parti en France, pour croit-il, une vie meilleure qu’au pays, le Maroc ! La France avait besoin de main d’œuvre pas chère, pour reconstruire le pays. On découvre alors la vie qu’il a subie, les conditions de travail inhumaines, que tous les émigrés ont alors connues. Il donne des nouvelles à son père, en enregistrant des cassettes audio et en racontant sa vie française. Bien sûr, sans jamais de détails négatifs ne voulant pas inquiéter ses parents…

Le narrateur pensait connaître son père, qui ne parlait jamais… Il le découvre à travers ses cassettes… Un homme au grand cœur, au cœur lourd…
« Son exil avait représenté la plus lourde des malédictions » p33

Le silence des pères est un roman qui nous touche profondément, tous, et qui nous concerne tous ! Une vraie pépite !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Août 2024
Auteur : Rachid Benzine
Editeur : Les Editions Points
Prix : 6,95 €

Génération anxieuse, de Jonathan Haidt (Les Arènes Essai)

Génération anxieuse, de Jonathan Haidt (Les Arènes Essai)

Jonathan Haidt est Professeur de leadership à la prestigieuse New York University Stern School of Business. En écrivant cet essai : Génération anxieuse. Comment les réseaux sociaux menacent la santé mentale des jeunes, l’auteur met les points là où ça fait mal !
Si Jonathan Haidt fait un constat alarmant sur la génération Z, il propose aussi de nombreuses solutions.

D’après lui, la situation s’est détériorée depuis déjà plusieurs années. Dès les années 1980. Les parents, car tout vient de l’éducation, ont commencé à surprotéger leurs enfants, à les surveiller de façon quasi permanente. Du coup, les enfants se sont en quelque sorte enfermés sur eux-mêmes. Les jeux vidéos ont pris de plus en plus d’ampleur.
Puis vers les années 2000, ce fut au tour des smartphones. Et au fil des années, les enfants ont perdu leur âme d’enfant, n’ont plus joué, trop absorbé par leur téléphone et les réseaux sociaux. La communication avec l’autre est devenue virtuelle. Leur monde n’est plus que virtuel. Les ados se sont de plus en plus isolés.

Connectés des heures durant, manquant de sommeil, n’étant plus assez concentrés au collège comme au lycée, ils ont vu leurs résultats scolaires dégringolés… Sans parler de la baisse de l’estime de soi, si importante à cet âge-là !

Si les jeunes sont hyper surveillés à l’extérieur de la maison, par des parents très présents et un manque d’autonomie de l’ado, par contre, les parents se relâchent quand leur enfant est à la maison. Mais c’est justement à la maison, que le risque augmente ! A cause de leurs fichus réseaux sociaux ! Et de toutes les relations qu’ils peuvent avoir avec des personnes dangereuses qui vont profiter de leur innocence !

Aujourd’hui, nos enfants et ados souffrent et subissent une grave crise de santé mentale. Beaucoup de dépressions, de troubles de l’anxiété, de troubles du sommeil, d’automutilations, de suicides sont diagnostiqués chez les jeunes.

Et pourtant il y a des solutions ! Jonathan Haidt en expose de nombreuses dans son livre et elles sont parfois tellement simples à mettre en place ! Il faudrait déjà que les parents arrêtent d’acheter des smartphones à leur enfant, à son entrée en sixième ! Acheter un simple téléphone qui ne sert qu’à téléphoner, serait une des solutions !

Il faudrait que non seulement le téléphone soit interdit au Collège, comme au Lycée, mais que l’élève n’ait pas le droit de le garder sur lui. Et qu’en récréation, les jeunes jouent à des jeux collectifs ! Remettre le jeu au centre de leur vie !
Il faut rendre la liberté à ces jeunes et leur enlever le boulet que leurs parents ont mis à leurs pieds avec ces fichus smartphones !

La puberté a toujours été un moment délicat dans la vie et la présence de ces écrans virtuels n’aident pas à la vivre sereinement. Bien au contraire.
Génération anxieuse est un livre qui va aider de nombreux parents démunis face à cette vague qui engloutit nos ados ! Jonathan Haidt a réalisé un travail remarquable et nous oriente vers une éducation plus ouverte, où l’enfant devient un ado responsable et autonome.

Stoppons ce massacre tous ensemble, le gouvernement et les parents !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Janvier 2025
Auteur : Jonathan Haidt
Editeur  : Les Arènes Essai
Prix : 24,90 €

Avoir un chien, un bel album jeunesse (Les Albums Casterman)

Avoir un chien, un bel album jeunesse (Les Albums Casterman)

Avoir un chien est un bel album jeunesse, très joliment illustré, centré sur le chien. L’autrice, Marie Gosset, comme l’illustratrice, Anna Wanda Gogusey, sont des amoureuses des chiens. Et à travers leur album, elles expriment très bien tout l’amour que l’humain porte au chien et tout l’amour du chien pour son maître.
Avoir un chien décrit parfaitement le chien, ce n’est qu’un chien, et en même temps, l’album met l’accent sur toutes les contraintes que cela implique.
Le jeune lecteur prend alors conscience qu’un chien n’est nullement un jouet et encore moins un cadeau. C’est une histoire d’amour. Une adoption réciproque avec beaucoup de respect l’un pour l’autre !
Avoir un chien est un album à offrir à tous les amoureux des chiens !

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Infos de l’éditeur :

Date de parution : Janvier 2025
Auteur : Marie Gosset
Illustrateur : Anna Wanda Gogusey
Editeur  : Les Albums Casterman
Prix : 13,95 €

Franck Sadock expose ses oeuvres au salon international d’art contemporain 3F à Paris du 24 au 26 janvier 2025

Artistes émergents et professionnels établis se sont retrouvés Porte de Versailles pour le salon international d’art contemporain 3F pour rencontrer un public nombreux et bénéficier de nouvelles opportunités professionnelles et susciter l’intérêt de nombreux collectionneurs, amateurs d’arts et galiéristes. Parmi eux, Franck Sadock était présent, déjà rencontré dans son atelier en 2021 et un article avait été publié, de quoi en profiter pour faire un point sur ses projets.

Un artiste toujours sur la brèche

Franck Sadock est connu pour ses sculptures en plâtre réalisées à partir de scènes observées lors des Questions au gouvernement à l’Assemblée nationale et au Sénat. Il représente ainsi artistiquement l’image politique et l’énergie déployée lors des échanges souvent à bâtons rompus entre députés et sénateurs. Il utilise pour cela des carreaux de plâtre manufacturés qu’il compose en corps avec des reliefs dans des couches successives de plâtres pour apparaitre en creux sur la surface du carreau le dessin gravé des visages et des mains. Les sculptures pensées poncées permettent de déchiffrer les codes du langage politique dans des scènes contemporaines affranchies de faux-semblants. L’artiste évolue toujours après plus de 20 ans à mettre en lumière la plasticité du débat politique. En plus de son temps partagé entre l’animation de cours d’Arts Plastiques donnés à Paris, il a commencé une série intitulée Le modèle noir avec des dessins sur Canson à l’encre, aquarelle et crayon, et des sculptures en plâtre et acrylique. Il s’est notamment inspiré du public de ses cours, de leur énergie et de leur plastique pour composer des oeuvres tout en nuances et en N/B.

L’artiste est accessible et heureux de partager ses visions artistiques, détaillant son travail avec une aisance perceptible. Après son travail à la Villa Médicis, il bénéficie désormais d’une accréditation pour accéder à l’Assemblée nationale et au Sénat, de quoi lui faciliter le travail et lui faire creuser ses sillons artistiques.

Un concert stupéfiant de réalisme avec Brel le spectacle à la Salle Pleyel samedi 25 janvier 2025

La salle Pleyel accueille un artiste doué pour les imitations, Olivier Laurent est véritablement Jacques Brel presque 2 heures durant. Il interprète ses plus grands succès et la salle en redemande. Ne me quitte pas, Jeff, Amsterdam, Les vieux, l’artiste enchaine les performances engoncé dans un costume semblable à celui que portait le grand Jacques sur scène. A ses côtés, 4 musiciens avec une contrebasse, un piano, une batterie et l’éternel accordéon. Des intermèdes parlés rythment la performance, l’artiste s’épanche et gagne une belle unanimité dans le public. Il y a de quoi s’extasier devant une performance marquée par un Quand on a que l’amour Olivier Laurent est tour à tour Charles Aznavour, Gilbert Bécaud, Yves Montand, Johnny Hallyday et Jacques Brel, très émouvant et surtout impressionnant. Le public est ravi, et malgré quelques difficultés de compréhension à certains moments (la faute au micro?), le spectacle est un vrai succès. Jacques Brel semble se tenir droit sur la scène, de quoi se rappeler à quel point l’artiste était un homme exceptionnel. Olivier Laurent a un vrai talent de showman, il multiplie les cabotinages et ne se ménage pas, et il sera sur la scène de l’Olympia en décembre 2026, une date à marquer sur les agendas pour le réécouter à nouveau!

Synopsis:

Concert présenté par Richard Walter Productions

BREL ! LE SPECTACLE

Produit par le Concert Extraordinaire, conçu et dirigé par Gil Marsalla, « Brel ! » est le spectacle de la rentrée à ne pas rater.

Olivier Laurent est Brel, faisant revivre les textes de ses plus grandes chansons comme si sa vie en dépendait.

Ce spectacle-hommage au grand Jacques a déjà conquis les publics du monde entier
et nombreux sont ceux qui parlent déjà d’Olivier Laurent comme d’une réincarnation époustouflante de Jacques Brel.
À travers ce spectacle unique, déjà joué une centaine de fois devant des foules subjuguées, à Paris, Montréal, New-York, Stockholm, Beyrouth, Londres ou Dubaï, L’artiste par sa voix, sa rage, son ironie et sa tendresse rend un hommage magistral à l’un des artistes les plus importants du XXème siècle.

Accompagné de 4 musiciens d’exception, il se donne à corps perdu pour épouser le rythme effréné de La Valse À Mille Temps, il incarne avec fougue et élégance Ces Gens-Là, Les Vieux ou Les Bigotes. Et nous fait même (re)découvrir Voir Un Ami Pleurer issu de l’album Les Marquises, que Jacques Brel, emporté par la maladie, n’aura pas eu le temps de chanter sur scène. Une grande bouffée de poésie et une véritable performance. Frissons garantis !

OLIVIER LAURENT N’INCARNE PAS BREL, IL EST BREL !

A LIRE