Les éditions Flammarion jeunesse nous proposent un Cahier d’écriture, Je suis en CP, pédagogie Montessori. Ce cahier a été conçu par Isabelle Malet, Professeur des Ecoles, également diplômée en neurosciences. Tout est très bien expliqué de façon à ce que le jeune enfant apprenne les bons gestes pour écrire. Il est fondamental qu’il prenne des bonnes habitudes dès le début de son apprentissage de l’écriture. Les illustrations sont bien faites et la présentation des lignes d’écriture est très bien claire. Avec même des propositions de « bilan »… Ce cahier s’adresse aux enfants qui sont déjà en CP. Pas avant ! Il s’agit ici d’écriture cursive ! Je suis en CP : Cahier d’écritureest un super cahier qui va aider les enfants à progresser dans leur apprentissage. Il est très important de bien savoir écrire et aujourd’hui, hélas, à l’école, ils ne prennent plus assez de temps pour cet apprentissage, pourtant fondamental !
La pièce présente 2 personnages dans une relation complexe qui va s’auto entretenir pendant une heure de spectacle. Helen propose à Simon de la liquider, mais sans souffrance et sans la prévenir. Il est surpris mais accepte car le contrat est bien payé et cela lui permettrait de continuer à voyager comme il aime à le faire. L’intrigue commence sur des bases plutôt dramatiques, les 2 personnages ne se connaissent pas et doivent s’apprivoiser, ce qu’il apprennent à faire petit à petit. Entre numéros de danse et soirées arrosées, les personnages commencent à se détendre, l’humour devient plus présent, les frontières entre drame et comédie se brouillent, avec toujours le risque que le contrat se clôture, l’épée de Damoclès est omniprésente. Mais Helen négocie des rallonges et la relation professionnelle devient beaucoup plus intime, Simon s’attache et oublie ses envies de pérégrination, il trouve un port d’attache et s’enfonce dans une relation de vieux couple qui va devenir la norme entre eux. La pièce joue tout du long sur ces 2 tableaux, naviguant entre drame et comédie dans un tourbillon continu de sous-entendus bien compris (le contrat) et d’espoirs de rédemption. Car cee ce sont surtout 2 solitudes qui se sont trouvées, comme un nouveau départ pout chacun, sur des bases un peu étranges, mais qui ont finalement beaucoup de points communs avec toutes les histoires réelles.
Synopsis: Comment être aimée ? Et si c’était en engageant un tueur ?
Marché conclu. Helen s’est retirée à la campagne où elle se morfond. Elle engage Simon, voyageur au long cours, pour s’offrir une mort de luxe, avec un tueur. Sans souffrir. Lui n’a qu’à rester à ses côtés, la laisser vivre quelques temps puis la tuer, sans prévenir, un jour, avant l’automne. La vie, la mort sont simples comme une parole donnée. Mais elle flanche. Comment négocier un petit sursis ?
Détails:
Du vendredi 31 janvier au dimanche 6 avril 2025 Vendredi, samedi et dimanche à 20h00
Publik’Art a découvert Camille Laurens avec son livre extraordinaire, Fille(sorti en 2020). Un livre qui devrait être lu par nous tous, filles et garçons, hommes et femmes. Une référence littéraire autant que psychologique. Camille Laurens y aborde toutes les relations, tous les secrets, toutes les joies mais aussi toutes les douleurs, autour de ce mot unique, Fille. Une vraie pépite !
Avec son dernier livre, Ta promesse, Camille Laurens aborde un tout autre thème. Mais toujours avec la même plume, magique, et une analyse très fine et psychologique de chaque personnage de son roman.
On pourrait croire qu’il s’agit d’une banale grande histoire d’amour. Entre Claire, écrivaine, et Gilles, marionnettiste. Oh comme on l’envie, Claire ! Quelle chance, elle a eue ! Il est beau, charmant, aux petits soins avec elle et la couvre de cadeaux. Elle est aux anges, de plus en plus amoureuse. En plus, c’est un excellent amant ! Et pour Claire, ça compte ! Elle en parle à ses deux meilleures amies. Elles sont plus réservées quant aux multiples qualités que lui confère Claire. Mais Claire est sourde ! Claire est amoureuse, follement amoureuse ! Claire devient aveugle. Et pourtant au fil des jours, des petits détails vont la tracasser. Des regards « fous » de Gilles vont lui faire peur. Mais elle ne veut que se souvenir des moments merveilleux avec lui. Elle est tellement heureuse avec lui ! Sans lui, elle n’est plus rien ! Loin de lui, elle souffre…
L’auteure nous embarque dans une histoire qui va nous tenir en haleine. On suit Claire, on comprend Claire, on envie Claire et puis, on a peur pour elle. Le scénario est tellement bien ficelé qu’on ne peut pas imaginer un instant le drame qui va se produire. Même si dès la page 60, on comprend qu’il y a eu un drame. Le meilleur ami de Gilles s’explique auprès de la juge… Mais de quel drame parle-t-il ?
Tout est écrit, tout est raconté dans les moindres détails. La descente aux enfers de Claire est spectaculaire. Et bien sûr, elle est la seule responsable… Il lui fait croire que tout est entièrement de sa faute. Promesse, mensonges, trahisons, manipulations…
L’auteure démontre avec une finesse extrême la perversité de cet homme. Un pervers narcissique qui a cherché dès le premier jour à posséder Claire, à la manipuler, à la détruire, comme il l’avait fait de ces précédentes femmes…. Tout est dit. Tout est subtilement écrit.
Ta promesseest un roman qui va sûrement ébranler beaucoup de lecteurs, homme, comme femme. Une histoire d’amour ? Non, une histoire d’emprise, une histoire de pervers narcissique incapable d’aimer… Mais capable du pire. Encore et encore… A la fin du roman, on craint pour l’auteure ! N’a-t-elle pas vécu la même situation que Claire, pour arriver à l’écrire avec autant de détails qui sonnent tellement vrais. Comme une sorte de témoignage. On espère bien que non !
Les yeux de feu est un film d’épouvante à l’ancienne, avec des effets un peu kitchs mais également un charme fou. L’action se déroule en 1750 avec un groupe de colons qui doit partir à la conquête des forêts américaines à la recherche d’un endroit pour vivre. La première demi-heure navigue dans une ambiance plus historique d’horrifique, le récit montre surtout les avanies vécues par certains personnages exclus de la communauté et qui doivent survivre dans la nature hostile. Les premiers événements surnaturels surviennent ensuite sur fond de sorcellerie. Des scènes vraiment perturbantes se succèdent avec une bonne dose de mystères et de faits inexplicables aux effets parfois assez terrifiants. Le réalisateur tente des effets de mis en scène qui sont quelque peu amoindris par des effets spéciaux un peu amateurs. Le film est sans nul doute une référence explicite au film d’horreur The Witch de Robert Eggers. Le réalisateur Avery Crounse n’a pas été à l’origine de beaucoup de films mais ces Yeux de feu ont quelque chose de marquant malgré les maladresses et le budget limité. L’horreur est graphique avec les visages des esprits incrustés dans l’écorce d’un grand arbre, les âmes errantes couvertes de boue, les danses païennes rougeoyantes, et les combats chamaniques. Le film est parfait pour les fans de film d’horreur grandiloquent et un peu kitch, de quoi passer un bon moment entre potes.
Synopsis: 1750. Un groupe de pionniers, dirigés par un révérend idéaliste, sont chassés de leur village, et partent s’installer dans une autre région inexplorée de l’Amérique du Nord. Ils s’y établissent, inconscients des épouvantables secrets qu’abritent les bois environnants. Une mystérieuse petite fille connait les menaces de la forêt et le destin horrible qui attend ceux qui se risqueront dans les bois…
« L’Intruse et les Aveugles » : les deux diamants noirs de Tommy Milliot
Tommy Milliot relève le défi de mettre en scène deux pièces emblématiques de Maurice Maeterlinck : « L’Intruse » et « Les Aveugles ». Il s’empare à l’abri d’un geste fort de la langue de Maeterlinck (1862-1949), dont les personnages semblent toujours en proie à une force invisible et mystérieuse.
En faisant le choix d’un minimalisme tranchant et d’une épure qui confine au vertige, Tommy Milliot, le nouveau directeur du Centre dramatique de Besançon, nous plonge au cœur d’une exploration humaine, si propre au symboliste belge, et aux prises avec les forces incontrôlables et sans appel du destin.
Les ombres omniprésentes, les corps statiques, les silences oppressants : tout concourt à créer un univers inquiétant et envoûtant, entre l’ici et l’ailleurs, la présence et l’inconnu.
La mort est toujours présente dans ces deux courts drames dit « statiques ». Dans la première, elle survient au sein d’une famille rassemblée pour veiller une femme dont l’accouchement récent fut difficile. Les membres de la famille échangent sur ce silence assourdissant qu’il faut pourtant préserver, pendant que l’aïeul parle d’une présence inquiétante et tandis que l’on continue à le contredire, l’Intruse approche.
Dans la seconde, la mort est là d’emblée bien que seul le spectateur le sache : le guide de douze aveugles a en effet péri, laissant ces derniers seuls dans une forêt septentrionale. Et submergés par la perte de leurs repères, ils et elles s’interrogent. L’attente fait naître l’inquiétude, et développe leur attention sur le moindre son perçu dans les arbres ou plus loin dans le ciel, sur le moindre frôlement d’une main.
Le défi est de taille car comment rendre justice à ces textes symbolistes, tout en les inscrivant dans une résonance qui ne les trahisse pas ? Milliot, avec une radicalité certaine, parvient à nous offrir une lecture à la fois fidèle et marquante de ces œuvres.
Il les aborde comme un thriller, où les personnages s’interrogent sur ce qui se passe, sans avoir de réponse, dans une tension graduée et puissante. Nous sommes témoins de leur confrontation à ce qu’ils pressentent, jusqu’à la révélation de la crise – la mort de la mère, la découverte de celle du prêtre. La notion de rythme est ici capitale et d’une construction chirurgicale.
Un procédé dramaturgique qui donne toute sa part à la dimension concrète mais aussi allusive et allégorique de l’œuvre, rappelant que Maeterlinck a toujours cherché à voir le monde par-delà les apparences.
« L’Intruse » : Une tension palpable
Dès les premières minutes, la mise en scène de « L’Intruse » nous plonge dans une atmosphère oppressante. Le décor, épuré à l’extrême, se compose de quelques meubles disposés de manière à accentuer l’isolement des personnages. La lumière, tantôt crue, tantôt tamisée, installe d’entrée une ambiance crépusculaire et mortifère, propice à un environnement et un monde intérieur au bord du gouffre.
Les comédiens, dirigés d’une main de maître sont d’une justesse impressionnante. Leur jeu, tout en retenue et puissance intérieure, laisse transparaître une angoisse sourde, une peur diffuse qui imprègne chaque réplique. La présence de l’intruse, bien que jamais visible, est omniprésente, telle une ombre menaçante planante au-dessus des protagonistes.
« Les Aveugles » : Une plongée dans le néant
Avec « Les Aveugles », le metteur en scène pousse encore plus loin l’exploration des ténèbres intérieures. La scène, plongée dans une semi-obscurité, et d’une abstraction renforcée dans le pur esprit symboliste et la perte des repères naturalistes, devient le théâtre d’une quête désespérée de sens.
L’action prend place dans une forêt, sur une île, un lieu clos et inconnu des protagonistes. Tout se joue donc dans cet espace extérieur, où ils sont enfermés comme à l’intérieur d’eux-mêmes. Où la cécité est une métaphore de l’ignorance humaine face à sa propre finitude.
Les comédiens, privés de la vue, doivent alors se fier à leurs autres sens pour naviguer dans cet espace hostile. Leur performance, d’une intensité rare, nous fait ressentir leur désarroi, leur peur, mais aussi leur résilience. D’une rigueur impressionnante, les acteurs portent à l’unisson cette troublante humanité en proie à l’attente et à l’inquiétude.
Dates : du 29 janvier au 2 mars 2025 – Lieu : Comédie-Française Vieux-Colombier (Paris) Mise en scène et scénographie : Tommy Milliot
Le guitariste et chanteur blues lyonnais Léo Benmass livre un super album en compagnie d’une formation resserrée autour d’Arnaud Liatard à la batterie et Martin « blues » Cortel à la basse. Les sons sont électriques et psychédéliques pour propose une musique remplie d’énergie et d’authenticité.
De la musique survitaminée
L’album a été enregistré totalement live en studio en formation trio avec 6 compositions originales et 2 covers tirées de titres mythiques, jugez plutôt. Riders On The Storm de The Doors et Voodoo Child du grand Jimi Hendrix, le challenge est de taille. Cette dernière influence est patente dans les riffs qui rappellent des titres du divin gaucher. Autour de Léo, la formation rythmique est super carrée, entre puissance et rigueur, avec une touche de funk quand même. Ce qui frappe en premier, c’est la guitare, totalement addictive, le guitariste a une technique parfaite et il reproduit à la perfection les riffs, notamment du grand Jimi. Sa voix est légèrement éraillée, un peu crade, très rock’n’roll. Et si les reprises sont de qualité et parlent à la mémoire auditive de l’auditeur, les titres originaux ne sont pas en reste. Le boogie de Let me love you Baby est juste jouissif et va à 100 à l’heure. Riders on the storm se conduit à la basse à la place de l’organ de RayManzarek, la voix est susurrée et hyper sensuelle. See my troubles repart dans la galaxie Hendrix avec un rythme dur comme de l’acier du meilleur effet. La guitare est omniprésente et les 2 compères de Léo participent à l’orgie sonore ambiante. In the deep of my soul s’aventure dans une rythmique plus latino er chaloupée, plus lover style, moins rock hard. Si Excuse Me est plus accessible, le titre n’en est pas moins addictif car plus immédiat, le titre se chantonne aussi plus facilement.
L’album est un des moments forts de ce début d’année 2025, c’est réjouissant, c’est électrique, c’est du bel ouvrage. Ne reste plus qu’à écouter la formation en live pour partager une belle ivresse sonore avec eux.
Dates de concert: 04/04/2025 : Festival Les Grosses Guitares, Messimy (69) 05/04/2025 ; Nasty Festival, Bron (69) première partie de Ganafoul 11/04/2025 : Le Hall Blues Club, Pelussin (42) 07/06/2025 : Blues Festival (avec Pacome Rotonde et Joharpoà, Sathonay (69) 14/06/2025 : St. Alban du Rock, St. Alban du Rhône (69) 02/07/2025 : Grésiblues, Bernin (38)
Lettres à mes sœurs, La voix des Afghanes, de Fawzia Koofi (Michel Lafon)
Fawzia Koofi est une grande personnalité politique afghane. Elle a été vice-présidente de l’Assemblée afghane durant 14 ans ! Elle est aujourd’hui à la tête du parti politique Mouvement pour le changement en Afghanistan. Elle est avant tout une militante extraordinaire, féministe, défendant les droits des femmes et surtout le droit à l’éducation pour toutes les filles de son pays. Elle aurait pu devenir présidente de l’Afghanistan !
Actuellement, exilée au Royaume-Uni, depuis que les talibans ont pris le pouvoir, et après deux tentatives d’assassinat, Fawzia Koofi ne se tait toujours pas, bien au contraire ! Son dernier livre, Lettres à mes sœurs, La voix des Afghanes, est là pour prouver que la voix de l’auteure, revendiquant la liberté, porte au-delà de toutes les frontières ! A travers ce livre, l’objectif de l’auteure est de transmettre suffisamment de force à toutes les jeunes filles et femmes du monde entier pour aller vers le changement, le respect de la femme et de ses libertés. Continuer le combat !
Lettres à mes sœurs, La voix des Afghanesest un livre bouleversant qui nous montre, encore une fois, le désastre engendré par les talibans.
Les Orfèvres du Vin proposent leur emblématique Mâcon Charnay Blanc« Clos de l’Église » version 2022. Issu d’une parcelle rare et unique, le vin représente le savoir-faire minutieux et la vision d’excellence portée par Jérôme Chevalier, président des Orfèvres du Vin. Le millésime 2022 arbore une belle robe doréeet exhale des arômes d’abricots bien mûrs pour une véritable invitation au plaisir.
Un vin blanc pour fêter le printemps
A l’oeil, le vin millésime 2022 100% Chardonnay arbore une robe d’or brillante avec des reflets dorés. Il se caractérise par sa belle palette aromatique. Il évoque des arômes d’abricots bien mûrs. La bouche est d’abord fraîche, elle est ensuite ronde et soyeuse. On note un bel équilibre avec beaucoup de gras. La fin de bouche reste souple. Le vin se déguste idéalement avec du Jambon braisé accompagné de pommes de terre sautées, des poivrons farcis et des fromages de chèvre secs. Le vin peut se garder 3 à 4 ans et se conserver à une température de 12° – 13°.
Publireportage:
La Cave de Charnay dispose de nombreux terroirs géographiquement très diversifiés. Parmi ceux-ci, cette appellation se distingue de longue date. En spécialiste des appellations du sud de la Bourgogne et plus particulièrement du Mâconnais, la Cave avait à cœur de proposer à ses clients un produit d’un secteur distinct, voisin d’une autre appellation renommée, venant enrichir sa gamme Tradition.Un élevage dans la tradition de notre Maître de Chais Amélie THOMAS parachève l’intérêt remarquable de ce nouveau produit. Spécialistes des vins du Mâconnais et du Beaujolais, Les Orfèvres du Vin, anciennement dénommées “Cave de Charnay-lès-Mâcon” et créée en 1929, regroupent 70 sociétaires et produisent 4.000 hl sur une surface de 66 hectares.
Cette cave se veut comme un grand domaine, élevant de plus en plus de cuvées parcellaires et en respectant ainsi l’authenticité du travail de chaque vigneron. Les Orfèvres du Vin se distinguent régulièrement au concours des Chardonnay du Monde, aux salons de Paris et Mâcon et multiplient médailles d’Or, d’Argent et de Bronze pour ses différents fleurons : Pouilly-Fuissé, Saint-Véran, Viré-Clessé, Mâcon Charnay, Crémant de Bourgogne.
Autant de belles récompenses pour ces professionnels qui, au cœur du Mâconnais, font rimer authenticité et qualité.
Aliénor d’Aquitaine, La reine aux deux couronnes (Glénat Jeunesse)
Les éditions Glénat jeunesse nous proposent un cahier d’activités très original, autour de la vie d’une reine hors du commun : Aliénor d’Aquitaine, La reine aux deux couronnes. Aliénor d’Aquitaine fut l’une des reines la plus iconique du Moyen-Âge ! Découvrez son histoire, hors norme, à travers ce cahier qui vous proposera des activités très médiévales : dessiner des armoiries, imaginer le sceau d’Aliénor, retrouver les mots du langage médiéval, élaborer un menu royal, réaliser un herbier… Que de bons moments à réaliser en famille ou seul… Aliénor d’Aquitaine, La reine aux deux couronnesva permettre à votre enfant de découvrir l’Histoire de France tout en s’amusant !
Les éditions Casterman nous proposent de découvrir une très grande artiste Mexicaine : Je m’appelle Frida Kahlo. L’auteure, Sophie Faucher, a décidé d’écrire cet album à la 1ère personne du singulier. C’est Frida qui s’adresse directement au lecteur. Frida va nous raconter, son histoire, sa vie. Dès sa toute petite enfance, Frida est passionnée par les couleurs. C’est une petite fille très gaie. Et puis, un jour, elle tombe gravement malade. Et de cette maladie, elle gardera des séquelles à une jambe. Mais ça ne l’empêche pas de continuer à s’amuser, à faire du vélo…
Un jour, elle fait la rencontre d’un très grand peintre, Diego Rivera alors qu’elle est encore très jeune. Hélas, elle subit un très grave accident de bus. Elle restera immobilisée sur un lit durant des mois et des mois et c’est à ce moment-là, qu’elle se mettra à peindre… Ce joli album, Je m’appelle Frida Kahlo, relate l’essentiel de la vie de cette grande artiste ! Les illustrations de Cara Carmina ressemblent à Frida, très colorées et simples. Cara Carmina est la créatrice d’un univers à l’effigie de Frida Kahlo, composé d’illustrations et de papeterie destinées aux enfants.
Au cœur de la rue Mazarine se cache un restaurant italien authentique, garanti sans pizzas ni pâtes bolognaises mais avec une cuisine italienne originale et inspirée, Il Vicolo. Le restaurant était plein d’une foule enthousiaste lors de la dégustation des huiles d’olives des Pouilles le lundi 11 février. Le chef expert Maurizio Carlucci a préparé un repas unique pour garantir l’accord mets, vins et huiles d’olive. Sensations garanties sur les papilles et dans le cœur.
Une soirée magique
4 huiles d’olive des Pouilles ont été présentées pour dégustation, toutes fabriquées à base d’olives Coratines, avec une huile augmentée d’autres types d’olives. L’huile Pantaleo, l’Olio Guglielmi et l’huile Le 4 Contrade sont plus qualitatives les unes que les autres. Des sensations amères durables et persistantes se font sentir à chaque tasting pour des belles amertumes, pleines de piquant, avec toujours un bel équilibre et une longueur en bouche certaine. L’huile De Carlo se compose d’olive Coratina, mais également de Ogliarola Barese, Leccino et Perenzana. Avec du bon pain et dans une ambiance studieuse, journalistes et rédacteurs ont découvert des gouts assez uniques. Après une introduction forte en détails vint le moment du repas, et quel éblouissement, jugez plutôt. Tous les plats ont été composés avec une huile d’olive spécifique, mentionnée entre parenthèses. Haricots blancs œil noir à l’essence de coquillage (IGP Olio Guglielmi), Taglioni de seiche, bouillon d’amande et topinambour fermenté avec citron (IGP Le 4 Contrade), Orecchiette à l’huile vierge extra avec piment et cymette de navets rôtis (IGP De Carlo), Sériole confite à l’huile et origan frais avec espuma de câpres et artichauts rôtis et sauce à la livèche (IGP Nicolas Pantalco), Panna Cotta parfumée à la cardamome fumée avec orange sanguine, noisettes caramélisées (IGP Le 4 Contrade). Le moment fut savoureux, de quoi vous donner envie d’aller tester par vous mêmes les qualités gastronomiques de ce merveilleux restaurant italien niché dans le 6e arrondissement parisien.
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Le repas a été accompagné de vins blancs et rosés italiens parfaits pour accompagner les délicieux mets préparés par le chef. De quoi profiter des 4 différentes huiles d’olive mises en situation de la plus belle des manières. L’évènement organisé par Gambero Rosso et Olio de Puglia IGP a fait forte impression.
Les éditions Casterman ont l’excellente idée de rééditer, Emilie avec un très bel album regroupant cinq histoires.
Emilie, avec 5 titres incontournables, pour fêter ses 50 ans : Emilie et les cousins Emilie ne veut pas se laver Emilie est invitée Emilie fait du camping Le petit monde d’Emilie.
Pas besoin de vous présenter Emilie. C’est une petite fille qui a réjouit plusieurs générations et qui continue à parler à nos petits ! Des histoires simples du quotidien des petits…
Les illustrations de Domitille de Pressensé sont très épurées et colorées !
On est fan ! Et les textes simples sont facilement compréhensibles et peuvent être lus par les tout jeunes lecteurs.
Emilieest un très bel album, de très belle qualité, avec la couverture cartonnée. Un beau cadeau à faire à vos petits !
Les éditions du Père Castor nous proposent un sublime album jeunesse : Nos petits avions de papier.
C’est l’histoire d’un petit garçon qui est gardé par sa grand-mère. Avec elle, il passe son temps à jouer. Elle lui a appris à confectionner des petits avions de papier qui volent ! Il adore jouer avec sa grand-mère. Et puis un jour, il a fallu qu’il aille à l’école. Sa grand-mère lui manquait beaucoup. Mais à l’école, il a fait connaissance avec une petite fille qui devint très vite sa meilleure amie.
Hélas, à la fin de l’année, elle a dû déménager.
Mais promis, ils vont s’envoyer des petits avions de papier pour se donner des nouvelles ! Ils resteront toujours amis !
Les illustrations sont juste sublimes ! Et le texte est aussi joli que les illustrations ! Avec tellement de poésie !
Nos petits avions de papierest un album à offrir et à lire et relire !
Je suis en CP : Mes coloriages magiques (Flammarion Jeunesse)
Les éditions Glénat jeunesse nous proposent un cahier d’activités génial, pour tous les enfants qui sont en CP : Mes coloriages magiques.
Ce cahier proposent des jeux qui vont permettre à l’enfant de progresser et d’améliorer à la fois sa lecture, son vocabulaire et son calcul. Et comme tout est fait pour plaire au jeune lecteur, il ne se rendra pas compte qu’il « travaille » !
Ce cahier d’activités a été conçu par une enseignante de CP.
30 coloriages magiques sont proposés. Certains sont à compléter en suivant des consignes simples, ou en faisant de petits calculs, ou en lisant les codes couleurs…
Je suis en CP : Mes coloriages magiquesest un outil qui va plaire autant aux parents qu’aux enfants !
« La vie est une fête » of course !!! avec Les Chiens de Navarre, à Corbeil-Essonnes
Depuis quinze ans, l’insolente compagnie Les Chiens de Navarre use habilement du rire pour explorer les travers de notre société. Le metteur en scène Jean-Christophe Meurisse n’a pas son pareil pour transformer des faits qui l’indignent en satires expiatoires. Le collectif n’épargne personne et n’a cure du politiquement correct.
Après avoir ausculté le thème de l’identité nationale dans ”Jusque dans vos bras”, après avoir assisté à un Noël en famille qui tourne au cauchemar dans ”Tout le monde ne peut pas être orphelin”, Les Chiens de Navarre se demandent désormais comment les « micro folies » de notre siècle ne nous rendent pas fous.
Car tout va trop vite et plutôt mal. Pris dans la marche très inquiétante du monde, chacun d’entre nous est au bord du gouffre. C’est l’hypothèse de La vie est une fête : l’hôpital psychiatrique donc comme passage obligé, là où explose sans vergogne la réalité du monde et son humanité pour mieux en révéler ses turpitudes et son esprit de résistance. Un pur régal !
À travers des situations universellement évocatrices, mettant en œuvre la technique désormais éprouvée d’une écriture guidée par des improvisations au plateau, les Chiens de Navarre partent d’un constat qu’ils étirent et transforment en séquences burlesques.
Tout commence déjà avant le début de la représentation. En prenant place sur les gradins, les spectateurs (députés anonymes) sont d’emblée immergés dans la cacophonie d’une séance de l’Assemblée Nationale. Sous les incessants rappels à l’ordre d’un Président juché sur son perchoir, se succèdent les discours sur le bienfondé ou non de la proposition du jour : la retraite à 72 ans ! Où mascarade, pugiltat, postures et effets de manche sont à l’œuvre.
Et de la folie, il y en a, dans ce théâtre indiscipliné, indomptable, irrévérencieux. De la caricature aussi, nourrie d’une observation incisive qui fait mouche sans sous-estimer le pouvoir de dénonciation qu’elle charrie. Nous voici donc face à un instantané d’humanité où se croisent et se percutent toutes les ambiguïtés, toutes les absurdités, toutes les dérives politiques, intimes, et sociales, propices à l’explosion.
Société malade mais vivante
On observe un politicien revenu sur la scène qui profère des propos de plus en plus extrémistes et qui était déjà intervenu au début en séance parlementaire. Il est amené manu militari au service des urgence psychiatrique où un médecin stoïque l’écoute avant de le stopper net, dans un geste aussi radical que libérateur.
Nous sommes alors ensuite propulsés au cœur d’une salle commune de soignants qui s’occupent davantage des cagnottes entre collègues et du distributeur en panne que des patients sous leur responsabilité.
Aux détours de ces couloirs, on pourra croiser une quadragénaire complexée, traumatisée par sa gynéco et son chirurgien esthétique, une fan obsessionnelle de Christophe en dépression depuis la mort du chanteur, le fondateur d’une entreprise de tech évincé de sa propre boîte par deux jeunes startuppeurs en hoverboard à travers un discours managérial bourré d’anglicismes et aussi cynique que fumeux.
Un sas d’humanité
Autant de symptômes d’une société malade d’elle-même et qui fait alors basculer la représentation dans un univers surréaliste et explosif avec une galerie de personnages prêts à en découdre. On croise alors un monstre sanguinaire en slip, un flic et un manifestant tout aussi enragés ou encore le Joker de Joaquin Phoenix dont le charisme n’est plus à démontrer !
Une embardée donc aussi cathartique que corrosive sur la folie de notre époque en pleine perdition que le collectif de haut vol constitué de Delphine Baril, Lula Hugot, Charlotte Laemmel, Anthony Paliotti, Gaëtan Peau, Ivandros Serodios, Fred Tousch porte à son paroxysme. On assiste aussi à une humanité traquée mais révélée dans toute sa vulnérabilité et sa quête de sens.
La mise en scène cadrée et rythmée de Jean-Christophe Meurisse accompagne de concert cette embardée à l’énergie jusqu’auboutiste et galvanisante. Le tout illustré d’une bande-son aux petits oignons dans le pur esprit de la satire et de son œuvre salutaire.
Dates : Les 11 et 12 février 2025 – Lieu : Théâtre de Corbeil-Essonnes Mise en scène : Jean-Christophe Meurisse
Les éditions Yam Yam Milan lancent une nouvelle série : celle des webtoons. Un webtoon, en coréen est un manhwa publié en ligne. Un manhwa est le nom donné à la bande dessinée en Corée qui connaît un énorme succès en France.
Publik’art vous a déjà fait découvrir, dans la même collection, This must be love. Aujourd’hui, il s’agit d’une nouvelle série, dans cette collection de webtoons : Moon et Iro. A travers cette superbe BD, le lecteur va découvrir l’art de vivre à la coréenne… Et aussi un milieu assez fantastique.
Sur l’île de Sanga, Moon va découvrir une drôle de créature à la fois humaine et à la fois sirène. Un triton ! Moon va tout faire pour lui venir en aide et protéger Iro des chasseurs qui cherchent à le capturer. Elle va le soigner et le nourrir… Et tout faire pour qu’il retrouve sa liberté. Y arrivera-t-elle ?
Découvrez sans plus tarder le 1er tome de cette nouvelle série : Moon et Iro !
Quand un groupe de supposés truands sont réunis pour un casse, les choses partent en live dans un festival de situations plus hasardeuses les unes que les autres. Les auteurs livrent un thriller qui surprend par son ton décalé, les héros copinent avec des truands, les bons sentiments sont flous et les mauvaises habitudes sont tournées en dérision. La lecture est surprenante avec un beau noir et blanc qui souligne l’ambiance première de la BD, braquages, violence et mystères. Les magouilles sont au rendez vous, avec son lot d’imprévus et de mauvaises surprises, de quoi mettre les esprits en ébullition. La BD éditée initialement en 2010 ressort pour redécouvrir une histoire pleine d’humour désabusé et d’imprévus cocasses. Le moment de tenter la redécouverte d’une BD différente des thrillers habituels avec sa bonne dose de second degré et son scénario truffé de surprises.
Synopsis: Eddy, flic en fin de carrière, avait minutieusement mis au point un vol d’objets d’art religieux. Le plan parfait.
Malheureusement, le hasard de la vie et des rencontres va compliquer les choses… Manu est un malfrat qui rêve de devenir l’ennemi public numéro 1. Sa vie va basculer le jour où sa route croise celle d’Eddy.
Gaz et Dante sont deux glandeurs vivant aux crochets de papa, garagiste magouilleur et alcoolique. Une nuit, ce dernier se fait agresser dans le garage familial : c’est le début des complications…
Ces personnages, sortes de Pieds Nickelés wallons, vont se retrouver pris dans un engrenage de situations inattendues, parfois loufoques, parfois violentes, où ils ne vont cesser de se croiser, de se poursuivre, de se confronter. Un album en noir et blanc palpitant qui plonge le lecteur dans une atmosphère sombre et réaliste mais néanmoins cocasse.
Les 2 auteurs LF Bollée et Georges Van Linthout imaginent une histoire d’invention du cinéma en plein coeur du Far West dans une ambiance sauvage et violente. Le pari est tenu, la BD se dévore au rythme des péripéties d’une folle aventure où 2 magnats s’affrontent pour un pari osé, prouver qu’un cheval garde toujours ou non un sabot au contact du sol, vieille rengaine vieille comme le monde qui a agité tous les artistes, peintres ou sculpteurs, depuis la nuit des temps. A la mitant du XIXe siècle alors que la photographie est pparue, Muybridge et Stanford tentent de prouver cette vieille marotte en essayant de lier les photos entre elles, ce qui équivaut à l’invention du cinéma… Les dessins très réalistes vont bien avec cette histoire de rivalité virile racontée dans une belle ambiance de western, alors que le chemin de fer se met à traverse les immenses espaces américains. .
Synopsis: Le nouveau thriller historique de LF Bollée et Georges Van Linthout : le pari fou du magnat et de l’inventeur qui, par vanité, poseront les bases du cinéma.
Afin de découvrir si un cheval au galop garde, ou non, toujours un sabot en contact avec le sol, Muybridge et Stanford vont révolutionner la photographie…
Au milieu des années 1860, la construction de la première ligne de chemin de fer transcontinentale arrive à son terme. Derrière ce projet colossal, côté Ouest, le magnat et ancien gouverneur de Californie, Leland Stanford, un homme connu pour sa voracité et qui ne vit que par et pour ses chevaux – qu’il garde près de lui dans son manoir de California Hill.
Ainsi, le jour où son partenaire et rival, Mr Durant, lui fait part de la question qui agite les milieux hippiques de l’époque, ils se lancent un pari : celui qui parviendra à prouver si un cheval au galop garde, ou non, toujours un sabot en contact avec le sol gagnera 10 % de l’entreprise de l’autre.
Pour battre son rival, Stanford offre des moyens quasi illimités à Eadweard Muybridge, un photographe talentueux mais psychologiquement instable. Muybridge entreprend donc de photographier, un à un, les mouvements d’un cheval au galop, qu’importe que la technologie ne le permette pas encore…
Débute ainsi une collaboration funeste où se rencontrent avidité et démesure, mais qui révolutionnera la photographie et posera les bases du cinéma.
L’emploi des photographes devrait augmenter de 4 % dans les années à venir. En moyenne, environ 13 700 offres d’emploi pour des photographes devraient être disponibles chaque année pendant la prochaine décennie. Bien que la profession soit en demande, le nombre de personnes désireuses de poursuivre une carrière en photographie soit encore plus élevé. Qu’est-ce qu’il faut pour devenir un maître éminent de l’art visuel et un lauréat de nombreux concours prestigieux de photographie ? Natalya Kulesh, une photographe exceptionnelle, participante du Salon de la Photographie des Membres de la GPU, et membre de l’Union Artistique Eurasienne depuis 2022, qui a obtenu des résultats remarquables et a confirmé son succès international durable en 2024 en remportant la 1ère place dans plusieurs concours et en obtenant la médaille d’or PSA, la mettant en lumière comme une figure de proue dans la photographie contemporaine, connaît la réponse.
Natalya Kulesh a commencé son parcours professionnel en photographie en 2015, transformant une simple passion en une carrière extraordinaire. Son expertise en photographie de portrait et sa capacité à travailler avec des éclairages complexes lui ont valu de nombreuses distinctions et les premières places dans des concours internationaux. Natalya est désormais prête à partager ses conseils professionnels, offrant des perspectives et des orientations aux photographes en herbe souhaitant faire avancer leur carrière.
Développer un style unique
Cultiver un style unique en photographie est crucial pour se distinguer et établir une identité artistique reconnaissable qui touche les spectateurs. Le style artistique de Natalya Kulesh se définit par sa vision aiguë et son professionnalisme, ce qui la distingue dans la photographie. Son travail allie précision technique et sensibilité, créant des images à la fois visuellement impressionnantes et émotionnellement percutantes. Natalya recommande : « Expérimentez diverses techniques et perspectives pour découvrir ce qui résonne en vous, permettant à votre individualité de briller à travers votre travail. La constance dans votre style crée une signature reconnaissable qui vous distingue des autres photographes. Bien qu’il soit précieux de s’inspirer des autres, veillez toujours à infuser votre touche personnelle dans chaque image. » Natalya excelle dans des conditions d’éclairage difficiles et se concentre sur des images naturelles, créant ainsi des photographies authentiques et profondes. Sa photographie aborde souvent des thèmes sociaux, traitant des problèmes environnementaux et des luttes des enfants défavorisés. Sareprésentation sensible de ces sujets souligne son engagement à utiliser l’art comme outil de changement social, enrichissant les discussions culturelles et inspirant les autres à voir la photographie comme un moyen de défense et de sensibilisation.
S’engager avec la communauté photographique
Le réseautage avec d’autres photographes peut fournir des perspectives précieuses et ouvrir des opportunités de collaboration et de développement. Natalya Kulesh est membre de l’Union Artistique Eurasienne depuis 2022, s’associant ainsi à l’une des associations photographiques les plus influentes au monde. Son affiliation avec la Global Photographic Union (GPU) souligne encore son engagement envers l’excellence et la reconnaissance dans la communauté internationale de la photographie. Ces adhésions reflètent sa position estimée et sa participation active sur la scène artistique mondiale. Avec son expérience étendue en réseautage, Natalya déclare : « Rejoignez des groupes et forums de photographie pour échanger des idées et recevoir des retours constructifs d’autres photographes, ce qui peut considérablement améliorer vos compétences et votre créativité. Accueillez l’innovation et restez ouvert à des points de vue divers pour développer constamment votre vision artistique. »
Partager votre travail
Exposer votre travail est essentiel pour accroître votre visibilité, obtenir des retours et établir des connexions avec un public plus large, ce qui peut ouvrir de nouvelles opportunités et favoriser la croissance de votre parcours créatif. Natalya recommande : « Utilisez des espaces d’exposition – déclarez-vous haut et fort, c’est uniquement en passant par le chemin de la reconnaissance que vous pouvez obtenir des résultats exceptionnels. » Elle comprend véritablement l’importance de partager son travail en ligne, ce qui est démontré par sa participation active et ses victoires dans de nombreuses expositions en ligne prestigieuses à travers le monde, notamment en Europe, en Asie et en Inde. Son travail reconnu et célébré dans ces paysages culturels divers met en avant sa polyvalence et son excellence artistique. Cette reconnaissance internationale souligne sa capacité à toucher un large public grâce à ses récits photographiques captivants.
Construire un portfolio solide
Un portfolio convaincant est essentiel pour mettre en valeur votre meilleur travail et démontrer vos capacités. « Concentrez-vous sur la mise en valeur de votre meilleur travail qui met en avant votre style unique et vos compétences. Incluez une gamme diversifiée de projets pour montrer votre polyvalence, mais assurez-vous que chaque pièce s’aligne sur votre thème ou expertise global », conseille Natalya. Depuis ses débuts dans les expositions à Moscou jusqu’à sa reconnaissance mondiale à travers des associations et publications prestigieuses. Sa participation précoce à des expositions telles que « Water World 2021 » à Moscou a attiré une attention significative et l’a établie comme une photographe prometteuse.
Le portfolio de Natalya est largement exposé sur LensCulture, l’une des ressources les plus complètes et les plus étendues pour découvrir les talents contemporains de la photographie à travers le monde, reflétant sa position estimée dans le monde de la photographie contemporaine. Cette plateforme connecte des photographes comme Natalya avec un public international avide d’art innovant et stimulant.
De plus, les photographies de Natalya Kulesh ont été publiées dans des revues prestigieuses telles que Vous, Artego et GMARO, un magazine de l’industrie de la mode mettant en avant la mode, la beauté, le design et la photographie. Son travail apparaît également dans You All Models, INFRAME Magazine et Vigour Magazine, consolidant davantage son statut et son influence.
Visez le succès
Le succès en photographie se manifeste souvent par la reconnaissance importante, la victoire dans des concours et la participation à des expositions de haut niveau mettant en valeur les talents artistiques et commerciaux d’un photographe. Natalya Kulesh a reçu une reconnaissance significative dans le monde de l’art, marquée par son travail impressionnant et ses nombreuses distinctions. Sa participation et sa victoire (1ère place) en 2024 à l’exposition au site du patrimoine mondial de l’UNESCO, l’Exconvento Desierto de los Leones au Mexique, a constitué une étape importante, mettant en valeur l’attrait commercial et esthétique de son travail. Les réalisations de Natalya incluent la médaille de bronze au DIGIFOCUS CIRCUIT 2024 et l’or PSA au Passion Sanman 2024 pour « Préserver la féminité : Le seul », soulignant sa capacité à capturer des thèmes profonds avec créativité. En 2022, elle a remporté la 1ère place à l’exposition « Emotions » à Moscou et est devenue la lauréate de la 1ère place des Russian Photo Awards 2022.
Les collaborations avec des institutions et publications prestigieuses ont encore renforcé sa position, lui permettant d’atteindre un public mondial et d’influencer la photographie contemporaine. L’influence et l’expertise de Natalya sont largement reconnues en tant que jurée pour le projet scientifique INTERCLOVER et pour le prix annuel international des photographes d’enfants et de famille (BICFP). Avec sa vaste expérience, Natalya recommande : « Visez à obtenir une reconnaissance significative en produisant un travail exceptionnel qui résonne tant auprès des publics artistiques que commerciaux. Efforcez-vous de remporter des prix et de participer à des expositions prestigieuses, car ces réalisations mettent en valeur vos talents et renforcent votre réputation. »
Avoir une vision pour demain
Avec une vision pour l’avenir, un photographe avance dans son domaine, se prépare pour des expositions internationales et explore de nouveaux thèmes et techniques pour élargir son influence artistique et inspirer les générations futures. Natalya Kulesh fait des progrès significatifs en photographie, avec des projets passionnants et des aspirations à venir. Elle se prépare pour des expositions au Royaume-Uni, en Serbie et en Russie, y compris une exposition solo à Moscou ce décembre. Son travail a été sélectionné pour la prestigieuse 50e Exposition Internationale du Jubilé à Smethwick, au Royaume-Uni, en janvier 2025. Cet événement, organisé par l’une des plus anciennes associations de photographie au monde, souligne le statut estimé de Natalya dans la communauté artistique mondiale.
Natalya Kulesh suggère : « Pour avoir une vision pour demain, les photographes devraient se concentrer sur l’établissement d’objectifs clairs et l’élargissement de leur portée artistique. Embrassez les opportunités d’exposition internationale, comme la participation à des expositions à l’étranger, ce qui peut améliorer votre réputation et votre influence. Expérimentez de nouveaux thèmes et techniques pour garder votre travail frais et inspirant, tant pour vous-même que pour les générations futures. » L’héritage de Natalya commence déjà à se former, inspirant les photographes de demain avec son engagement envers l’authenticité et le commentaire social. Au-delà de ses photographies, elle mentore les artistes émergents et participe aux jurys internationaux. Natalya Kulesh a l’intention de laisser un impact durable sur la photographie en contribuant au monde de l’art.
Les éditions Bayard jeunesse nous proposent le tome 18 d’Anatole Latuile, Un Max de surprises ! Le meilleur ami d’Anatole apprend que sa maman va avoir un bébé. Il va donc devenir grand frère ! Il est vrai qu’il trouve sa mère vraiment bizarre, ces derniers temps… Comme d’habitude, les illustrations de Clément Devaux, sont géniales ! Et le scénario est toujours empli d’humour ! Les jeunes lecteurs peuvent facilement s’identifier à l’un ou l’autre des petits héros ! Plus de 2 millions de lecteurs suivent les aventures d’Anatole Latuile, chaque mois, dans J’aime lire ! Autant dire qu’il est bien connu notre Anatole ! Anatole Latuile vous réserve un max de surprises dans ce dernier tome qui vient de paraître !
Comme souvent aux éditions La Boite à Bulles, c’est par le biais d’un parcours personnel authentique qu’une grande histoire est racontée. Les exemples d’association humanitaires médicales venues de France sont nombreux. Par exemple, créée en 1971, l’association médicale humanitaire internationale Médecins sans frontières intervient dans plus de 70 pays de par le monde, sur tous les continents, en temps de paix ou en temps de guerre, comme La Croix Rouge et Aide médicale Internationale. C’est ici l’exemple authentique de Joëlle qui illustre l’implication de tous les instants du personnel médical et paramédical. La jeune infirmière s’est engagée pendant 40 ans pour porter secours à tous ceux qui en avaient besoin. Les récit est richement illustré et le scénario suit les voyages multiples réalisés par Joëlle, avec quelques commentaires bien sentis sur les conditions de travail parfois limites des équipes détachées, car les humanitaires voient, entendent, partagent et témoignent, bref, ils gênent un peu les belligérants… La BD d’aventure et de souvenirs est un beau témoignage à retrouver aux éditions La Boite à Bulles à partir du 5 février.
Synopsis: De la guerre du Liban à nos jours, des premiers French doctors bénévoles aux professionnels d’aujourd’hui, Joëlle a vécu intensément 50 ans de dévouement à la cause humanitaire…
Jeune infirmière à Cherbourg au milieu des années 70, Joëlle découvre par hasard les coordonnées de Médecins sans Frontières dans un magazine au salon de coiffure. Trois semaines plus tard, la voilà sous le feu de Beyrouth en guerre. C’est l’électrochoc, il lui est désormais impossible de reprendre une vie « normale ».
En quarante ans, Joëlle a connu toutes les grandes crises de la fin du XXe siècle : Congo, Haïti, Afghanistan et bien d’autres… Une vie de tarmacs et de grandes organisations internationales d’aide comme la Croix-Rouge ou Aide Médicale Internationale. Au fil de ses voyages, elle voit son activité bénévole se structurer, et naître des carrières d’humanitaire, comme la sienne, qu’elle regarde rétrospectivement avec émotion mais sans ménagement.
Les éditions Milan nous proposent un album très original : Un froid de manchot ! C’est l’histoire d’un manchot qui souffre de ce froid polaire et de voir tous les jours la même banquise, les mêmes manchots… et toujours ce froid polaire ! Il rêve de tout autre chose ! Et soudain, il va découvrir un objet qui va lui changer la vie… les illustrations sont très belles et parlent d’elles-mêmes ! Un froid de manchot est un album plein d’humour qui va se lire et se relire … sans fin !
La Manufacture des Abbesses offre une belle scène à une jeune troupe de théâtre pour une première pièce très surréaliste, la troupe Calamart. 2 comédiennes et 2 comédiens se retrouvent réunis pour une mystérieuse réunion au sein d’une entreprise très révélatrice des mœurs professionnelles de notre temps. L’ambiance froide et désincarnée figure la déshumanisation à l’ouvrage dans de grands groupes qui exigent une adhésion complète à des valeurs de compétitivité qui ne laissent aucune place à la fantaisie. Aucun indice sur les prénoms des participants, les personnages préfèrent s’affubler de surnoms ironique plutôt que de révéler leurs identités. Leurs échanges soulignent la solitude et le désenchantement en alternance avec des irruptions informatiques, leur supérieur souhaite leur parler mais l’attente devient de plus en plus irrespirable comme si cette réunion était avant tout un test pour éprouver leur fidélité. La pièce multiplie les échanges lunaires et les personnages commencent à douter de leur implication dans une ambiance très 1984. Les armures revêtues par chacun et chacun au début de la pièce se fendent au fur et à mesure pour laisser libre cours à leurs psychés dans une joyeuse débandade, mettant en exergue les conflits entre les personnalités, les rivalités et les déceptions. Le concept est réjouissant pour ce premier essai d’une troupe au potentiel certain.
Synopsis:
Une salle. Une table. Un bonsaï mort. Quatre collaborateurs.
Dans cette salle de réunion, ils attendent leur N+1 pour que la Réunion commence. Ils ont oublié depuis longtemps l’objet de cette réunion, et s’il y en avait bien un au départ. Mais comme il est pour nous vital de manger, respirer, dormir, il leur est absolument vital de se réunir.
La salle de réunion est leur nouvel habitat. Elle est une réalité parallèle aux règles précises mais insaisissables, et où, dans une éternelle attente, s’épanouit un nouvel embranchement des hominidés : l’Homo Congregatio.
Que faire en attendant que tout commence ?
‘La Réunion’ offre une cérémonie théâtrale cathartique pour haïr, pleurer et enfin rire à souhait des absurdités que nous avons enfantées.
Détails:
Du 26 Janvier au 19 Février 2025 – Les Mardis & Mercredis à 21H et les Dimanches à 20H
L’amour ne tient qu’à un fil, de Françoise Dorner (Albin Michel)
Françoise Dorner nous régale avec son dernier roman : L’amour ne tient qu’à un fil.
Lucie a connu le grand amour, à vingt-huit ans. Il a duré en réalité quinze jours. Son grand amour, Charles, a laissé chez elle son violon avant de disparaître sans plus jamais donner de nouvelles.
Croyez-vous que Lucie se soit effondrée ? Eh bien non ! Lucie a une capacité incroyable de se créer une vie imaginaire qui lui rend la vie réelle supportable ! Et même plus que supportable !
De cet amour est né neuf mois plus tard un garçon. François. Un cadeau du ciel pour Lucie. Pour lui, elle va inventer un père presque parfait ! Elle va faire fabriquer, à partir d’une photo de Charles, un mannequin en latex, qui sera son double et restera toujours présent avec eux, dans le salon.
C’est tout simplement incroyable cette histoire ! Tellement drôle et complètement décalé !
Publik’Art est archi fan !
L’amour ne tient qu’à un filest un super moment de lecture qui nous emmène tellement loin de notre quotidien ! Un vrai bonheur ! Un vrai coup de cœur !
Le Lucernaire propose un nouveau spectacle pour les enfants et leurs parents les mercredi, samedi et dimanche avec L’Apprenti Sorcier d’après le célèbre Goethe. Un narrateur (TomBouchardon) raconte l’histoire d’un jeune garçon devenu apprenti sorcier. Autour de lui, plusieurs personnages marionnettes sont animés par Eveline Houssin et le metteur en scène Philippe Calmon pour faire vivre apprenti, sorcier, fée et lutin, tout ce petit monde avive un univers magique qui manque tant à notre société actuelle froide et robotique. Les plus érudits reconnaitront la fameuse scène du film Fantasia où Mickey manque de se noyer en commandant à un balai de remplir une cuve d’eau sans que ce dernier ne parvienne plus à jamais s’arrêter. Cette scène est le sommet d’un moment de théâtre tour à tour drôle, émouvant ou plein de sagesse. Le jeune Léonard veut aller plus vite que la musique et devenir sorcier avant que de tout connaitre de ce rôle puissant mais dangereux. Merlin le tanne, le prévient mais le fait grandir à force de leçons de vie. Les 55 minutes de spectacle sont denses et surtout font plaisir, la salle est ravie de ce moment d’enthousiasme et de convivialité. C’est le prélude d’un long moment d’applaudissement final pour remercier la petite troupe de leur générosité.
Synopsis:
UN CONCERT MARIONNETTIQUE
À partir de 5 ans
Léonard, jeune garçon intrépide, ne rêve que d’une chose, devenir magicien. Il s’aventure dans la forêt et rencontre Puck le lutin, Ariel la fée, et Merlin l’enchanteur. Ce dernier l’accepte comme apprenti. Au son de la musique d’un quatuor baroque, Léonard va découvrir le monde merveilleux de la magie. Mais, emporté par son enthousiasme et son impétuosité, il va jouer à l’apprenti sorcier et perturber l’équilibre fragile de la nature. Il sera sauvé in extremis de la noyade par Merlin. Il va ainsi apprendre combien il peut être dangereux de se servir de la magie sans en maitriser tous les principes.
Un opéra baroque marionnettique inspiré du poème de Goethe et de la musique de Dukas (Fantasia).