Théâtrophile, je prends un malin plaisir à dénicher de petites merveilles dans les salles parisiennes. J'aime aussi la politique et les chats, mais ça, c'est une autre histoire...
Chatons violents
Comédie des Boulevards, 39 rue du sentier
Tous les mardi et mercredi à 20h
www.comediedesboulevards.com
Océanerosemarie est une « lesbienne à chats ». Dans son spectacle « chatons violent »,...
Sans valentin
Du mardi au samedi à 19h30
www.comediedeparis.com
« Sans Valentin », une pièce écrite par Jocelyn Flipo et mise en scène par Léon Vitale (qu’on connait pour...
Théâtre Mogador
Du mardi au samedi à 20h
Les samedi et dimanche à 15h
www.lebaldesvampires.fr
Roman Polanski ne manquait pas d’ambition lorsqu’il signait, à la fin des années...
Voca People
Jusqu’au 22 février à l’Espace Pierre Cardin
http://www.voca-people.fr/
"La musique est la vie, et la vie est musique" Voca People Sur la planète Voca,...
« Sous les jupes »
Une comédie de Philippe Elno, mise en scène par Marlène Noel
Mélo d’Amélie, 4 rue Marie Stuart (Paris)
du mardi au samedi à 20h et dimanche...
Les Portugais Jonas & Lander font revivre la danse fado dans un concert percussif et hautement expressif, flirtant avec le flamenco, les claquettes et les danses urbaines transgressives.
Avec "Bate Fado", ils ressuscitent le fado batido, version dansée du chant lusitanien inscrit au patrimoine culturel immatériel de l'humanité en 2011. Sensuelle en diable, cette danse altière, insolente et indomptable, avait été jugée indécente par la morale du début du XXe siècle, la condamnant à une disparition silencieuse.
Avec "L’Amante anglaise", Marguerite Duras revisite un meurtre qui a eu lieu à la fin des années 1940. Par le biais d’un double interrogatoire, d’un double dialogue, elle creuse l’idée du mystère, de l’incompréhension, de la perdition d’une âme, au regard de l’acte criminel.
Et elle nous place face à une énigme que l’on essaie de comprendre. Elle use d’une forme de suspens, tout en déployant les grandes thématiques de son écriture, comme la folie et l’amour, qui sont les deux pierres angulaires de "L’Amante anglaise".