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Gaël

Gaël a créé Publik'Art en 2009. Notaire de formation, il est responsable de la rubrique BD et gère l'administration du site (webmaster). Il vit dans le sud de la France d'où il anime le webzine avec les membres de la rédaction, présente sur la majeure partie de l'hexagone : Paris, Bayonne, Montpellier, Lille, Lyon.

[TEST] Les Hub USB Aukey

Besoin de prises connectiques pour vos appareils ? Les Hub USB proposés par Aukey sont là pour vous aider ! Nous avons testé trois différents.

[TEST] Lampes LED Aukey

C'est au tour de la gamme de lampes à LED Aukey d'envahir nos bureaux ! Les jours raccourcissent sérieusement en ce mois de septembre tempétueux alors on s'est dit qu'il fallait nous équiper en éclairage...

[TEST] La Box Cook Angels et ses recettes originales

Cook Angels propose des idées recettes originales et différentes chaque semaine avec des produits frais de très grande qualité.

[TEST] Écouteurs Bluetooth AUKEY

Le fabriquant de produits électroniques AUKEY nous l'a déjà démontré avec ses enceintes bluetooth, il sait proposer des produits de qualité lorsqu'il s'agit de...

[TEST] Les Diffuseurs d’Huiles Essentielles AUKEY

Tandis que la brume de rentrée vient envahir nos petits cerveaux ramollis par l'été, on vous propose ce petit test de diffuseurs d'Huiles Essentielles qui va vous permettre de faire de la brume intérieure votre alliée !

La Vallée du Diable, BD d’Anthony Pastor (Casterman)

Après Le Sentier des reines, Anthony Pastor propose un nouveau récit d'aventure en nous emmenant cette fois dans La Vallée du diable, en Nouvelle-Calédonie.

Alien : La sortie des profondeurs, révélation audio signée Audible

Retour sur notre expérience de la série audio Alien : La sortie des profondeurs proposée par Audible.fr, le géant du livre audio. Horreur et coups de chaud !

Concours Miss Sloane : gagnez 10 places de ciné

A l’occasion de la sortie du film Miss Sloane, le 8 mars 2017, Publik’Art, en partenariat avec EuropaCorp Distribution, vous offre la possibilité de gagner 5x2 places de...

Notre Sélection

Le Lac des cygnes revu et corrigé par Angelin Preljocaj : saisissant

Après Blanche Neige et Roméo et Juliette, Angelin Preljocaj renoue avec le ballet narratif et son goût pour les histoires. Mêlant le chef-d’œuvre musical de Tchaïkovski à des arrangements plus contemporains comme il aime à le faire, il s’empare du mythe de la femme-cygne, et y ajoute des problématiques à la fois écologiques, psychologiques et politiques très actuelles. ransposition du conte donc dans le monde de l’industrie, du pouvoir et de la finance où les amours contrariées se vivent au milieu des gratte-ciels et de ses artifices entre moments de fêtes et d’hystérie collective. La première scène donne le ton : la danseuse qui incarne Odette, Théa Martin, est attrapée par plusieurs hommes en noir, et transformée, manu militari, en cygne. Cette métamorphose forcée, sur la musique inquiète de Tchaïkovski, annonce la radicalité du final qui verra les cygnes, en un moment suspendu, tomber ensemble au sol et dont la chute au regard de l’écosystème sacrifié, prend une dimension tragique.

« Madame Ose Bashung » et plus rien ne s’oppose à son cabaret drag-queen

C'est sur la scène du célèbre cabaret de Pigalle "Madame Arthur" qu'est né ce spectacle. Sébastien Vion, alias Corinne, et ses copines Brenda Mour et Patachtouille s'emparent du répertoire d'Alain Bashung. Une relecture à l’aune de leur univers fantasmagorique et drag-queen qui ne dénature jamais l’œuvre et sa flamboyance lunaire, bien au contraire, elle s’y colle.

Au Rond-Point, la masculinité à l’épreuve

On entre dans "Débandade" comme on débarque dans une fête où l’on ne sait ni qui a lancé l’invitation ni quel sera le premier toast porté à la masculinité. Et c’est peut-être cela la vraie ambition de la pièce : ne pas traiter la masculinité comme un concept, mais la laisser surgir en désordre, en fragments, en éclats contradictoires, avec la même imprévisibilité que ces conversations qu’on a lorsqu’on ouvre un micro à des hommes interrogés sur le sujet.

Laurent Lafitte dans « La Cage aux folles » : la consécration d’un artiste total

l fallait que La Cage aux folles retrouve un jour le Théâtre du Châtelet. La salle aime les éclats, et Olivier Py les défis. Cette nouvelle production, portée par un Laurent Lafitte en état de grâce, assume parfaitement ce double héritage : celui d’un spectacle festif, et celui d’une œuvre dont la légèreté n’a jamais masqué l’aspiration à la liberté.