Cette semaine, c’est le snowboard qui est à l’honneur avec ce premier défouloir de l’année qui nous fait voyager dans de magnifiques habitats naturels… A ne pas reproduire chez soi.
[youtube http://www.youtube.com/watch?v=TnGEEJUH1Us]
Cette semaine, c’est le snowboard qui est à l’honneur avec ce premier défouloir de l’année qui nous fait voyager dans de magnifiques habitats naturels… A ne pas reproduire chez soi.
[youtube http://www.youtube.com/watch?v=TnGEEJUH1Us]
Sortie : 1 janvier 2014
Durée : 1h50
Avec : Charlotte Gainsbourg, Stellan Skarsgard, Stacy Martin, Shia LaBeouf
La salle de cinéma en ce jour de sortie de Nymphomaniac est remplie, comme pour prouver que s’il n’y a bien qu’une chose qui dirige le monde et intéresse les gens c’est le sexe.
Synopsis :
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La folle et poétique histoire du parcours érotique d’une femme, de sa naissance jusqu’à l’âge de 50 ans, racontée par le personnage principal, Joe, qui s’est auto-diagnostiquée nymphomane. Par une froide soirée d’hiver, le vieux et charmant célibataire Seligman découvre Joe dans une ruelle, rouée de coups. Après l’avoir ramenée chez lui, il soigne ses blessures et l’interroge sur sa vie. Seligman écoute intensément Joe lui raconter en huit chapitres successifs le récit de sa vie aux multiples ramifications et facettes, riche en associations et en incidents de parcours.[/pull_quote_center]
Première séquence : dans une ruelle sombre, inquiétante et silencieuse qui rappellerait une toile de Chirico, un corps de femme jonche le sol. Et puis comme un électrochoc un morceau de musique métal allemande nous assourdit. Le surgissement, c’est là la clef des films de Lars Von Trier. Surgissement de musique, déclic psychologique, gros plan soudain sur un sexe de femme … Des décharges, grisantes souvent, bien plus que des chocs pervers. Ca commence donc comme un sombre conte, où les repères spatio-temporels sont brouillées. « Il était une fois on ne sait où », une femme tuméfiée, Joe (Charlotte Gainsbourg), est recueillie par un bienfaiteur, Seligman (Stellan Skarsgard). Dans ce conte, Joe sera la narratrice de sa propre histoire, une vie vouée à la sexualité (« Mea maxima vulva » comme hymne). Huit chapitres, entre allers-retours, de celle qui se dit « nymphomaniac ».
Dans cette vie sexuelle comparée à la pêche à la ligne, Joe est l’appât conscient de ses attributs. Ce n’est pourtant pas une simple croqueuse d’homme que nous dépeint Lars Von Trier, une femme fatale à la Bette Davis. Le corps filiforme de l’actrice, la jeune Joe campée par la jolie Stacy Martin, est plus proche de celui d’un garçon que d’une vraie femme. C’est là un choix judicieux, qui tranche avec la picturalité propre au corps de la femme généreuse.
Dans Nymphomaniac, ce fameux corps est purement anatomique, mécanique. La chair est triste, malade. Celle de Joe, celle de son père (trop oublié et pourtant génial Christian Slater), celle des hommes en général.
« J’ai commencé à voir de l’ordre dans le désordre », cette phrase prononcée par Joe éclaire la qualité de chef d’orchestre du réalisateur. Goût de l’illustration, de la mathématique, de l’hybride, Lars Von Trier joue avec ce qui fait le coeur même du cinéma : la pulsion scopique. On pense à une Une Sale Histoire où Jean Eustache déjouait aussi les attentes voyeuristes du spectateur. Un homme y raconte qu’il va dans les toilettes d’un café observer le sexe des femmes par un petit trou creusé dans la porte. Le même récit était raconté en deux temps, par deux personnes et deux tons différents. Jamais on ne voyait ces fameux sexes de femme. Chez Lars Von Trier, la crudité est visible en plus d’être audible. Mais pourtant l’effet est le même : par une habilité qui est propre au cinéaste, les attentes sont déjouées. Du sexe partout, mais aucune pornographie. Etre subtile alors même que l’on en montre beaucoup, ce n’était pas assuré.
Nymphomaniac est emprunt de paradoxe et joue sur les antipodes : empathique et cruel, misogyne et féministe… On ne sait sur quel pied danser. Après tout, peut-être que le récit de Joe n’est que mensonges. Il y a même une part d’humour (son pic en est la scène avec Uma Thurman en mère bigote et hystérique), et de romantisme. Joe cristallise sur Jérôme (Shia Labeouf qui pour une fois cabotine à bon escient), effectuant un puzzle mental dans le train pour assouvir son fantasme (un tel à sa coupe de cheveux, un autre ses mains etc).
On retiendra la force hypnotisante de ce récit chaotique, portée par la voix délicate de Charlotte Gainsbourg qui tranche avec la crudité de ses mots. On pense à ce que lui faisait chanter son père à une époque (« l’amour que nous ne ferons jamais ensemble … »).
La fin de la première partie laisse une triste ouverture, comme la béance que Joe ne peut s’empêcher d’ouvrir aux hommes, la vulve que dessine les deux parenthèses du titre du film.
[youtube http://www.youtube.com/watch?v=lCLndpwQDWA]
A l’occasion de la sortie du film Paranormal Activity : The Marked Ones, le 1er janvier 2014, Publik’Art, en collaboration avec Way To Blue, vous a offert la chance de gagner plusieurs lots.
Vous avez été très nombreux à participer : 3 920 joueurs. Bravo à tous et merci de votre excellente participation.
Les trois heureux gagnants d’une Coque Iphone sont :
Cindy Plagne, Céline Mollet et Catherine Leconte.
Les deux heureux gagnants d’une télécommande pour appareil photo sont :
Michel lubiszewski et Alain Brandstaedt.
Les deux heureux gagnants d’une boule sont :
Sébastien Zannin et Geneviève Dupebe.
Notre partenaire vous enverra votre lot très prochainement. D’avance nous les en remercions vivement.
C’est une excellente nouvelle pour tous les fans du groupe, dont nous faisons assurément partie. Petit teaser sorti le 31 décembre pour patienter :
[youtube http://www.youtube.com/watch?v=ZafWKo03eL0]
Drixxxé, le DJ du groupe de hip hop Triptik a sorti Sextape 2, un mix de trois quarts d’heure qui propose une sélection vintage de sons extraits de films érotiques et pornographiques. Le résultat est plutôt très sympa ! A écouter !
Vous avez été 4.257 participants au concours Supprime qui doit, lle dernier album BD d’Antoine Ozan qui sortira le 8 janvier prochain. Les heureux gagnants d’un exemplaire de la BD sont : Pierre Delauney, Stéphanie Rousseau, Jean-Louis Maitre, Thierry Collet et Pascal Cormier.
Bravo à tous !
Vous avez été 5.221 participants au concours Aime et Fais ce que tu veux de Malgoska Szumowska. Les 20 gagnants remportant deux places de ciné chacun sont :
Florence Fauconnier, Céline Lormet Jacob, Hélène Garreau, Aurélia Ballu, Jordan Blanzy, Evelyne Regeffe, Anne-Marie Confolant, Henriet Panigot, Marie Durox, Jean-Paul Kernec, Nathalie Le Run, Muriel Miesch, Frédéric Duban, Solange Magliaraschi, Fabrice Kas, Frédéric Lego, Christian Boniface, Cindy Roger, Sandrine Monier, Jean-François Louyot.
Bravo à tous !
Toute l’équipe de PublikArt vous souhaite une excellente année 2014 et vous remercie de nous lire chaque jour ! Que cette année soit folle d’épopées culturelles et de découvertes inattendues !
Vous avez été 3.531 participants à tenter de gagner l’un des deux albums numériques de Senbeï mis en jeu. C’est René Dansault et Christophe Coté qui ont finalement gagné ! Bravo à tous !
Vous avez été 4.109 participants au concours organisé à l’occasion de la sortie de la compilation Kenzo Parfums Songs. Ont remporté un album : Yvon Nicole, Jonathan Chauvel, Adrien Daubigney, Frédérique Lumeau et Amélia Piccirillo.
Bravo à tous !
Vous avez été 4.431 participants au concours d’Histoires Obliques d’Edika aux éditions Fluide Glacial. Les 10 gagnants remportant une BD chacun sont : Jean-Michel Faivre, Julie Ogier, Virginie Clichet, Sabine Vlietinck, Olivier Morland, Thérèse Fauvarque, Jean-Paul Wilhelm, Jean Poteloin, Myriam Loutrage et Delphine Goddet.
Bravo à tous !
Vous avez été près de 5.700 participants à notre concours Lasso, vous premettant de gagner des chaussons du futur. ça tombe bien, le futur, c’est maintenant. Voici donc les gagnants : Sylvain Chadal, Sandrine Voltolini et Brigitte Gorse.
Bravo à tous !
Publié en septembre 2013
Aux Editions P.O.L
320 pages – 18 €
Ce livre remporte un succès immense et vient de recevoir le Prix Médicis 2013.
C’est à la fois une histoire d’amour et une histoire sur le racisme. Solange, actrice de cinéma, française habitant aux USA, aime un grand acteur canadien, d’origine camerounaise, Kouhouesso. Cet acteur, très beau, très noir, va tourner un film au Congo. Elle le rejoint sur le tournage et nous décrit ses attentes, ses espoirs et ses rêves.
Et tout son livre dévoile cet amour pour cet homme. Cette attente interminable. Un coup de foudre du côté de Solange et beaucoup de non-dit du côté de Kouhouesso qui court après son ombre… Il l’aime, certes, mais pas que…
On ne sait rien au début du livre sur cet homme si ce n’est qu’il est noir. Et on n’en sait guère plus à la fin du livre… L’important n’est pas là. L’essentiel est justement dans le vide que laisse un coup de foudre si on n’est pas avec la personne aimée. Un vide, un non-sens, un anéantissement. En attente d’un signe, d’un moindre signe… Au bout de trois mois, un sms, même insignifiant, ou incompréhensible, remplira le cœur de Solange… Et donnera tout son sens à sa quête éperdue. Et lui permettra de repartir à zéro et d’attendre à nouveau !
Le style est haché. De multiples paragraphes s’enchainent les uns à la suite des autres, pour dévoiler cette attente insupportable si on n’aime pas beaucoup, beaucoup les hommes !
[pull_quote_center]Elle se tint immobile. Et les heures jusqu’au matin, crucifiantes, furent comme un condensé de ce qu’elle vivait avec lui, à attendre encore un autre jour, à attendre insoutenablement. (P.274)[/pull_quote_center]
Attente, espoir, amour, monde du cinéma américain, tournage au Congo… Vie de toute l’équipe du tournage… Autre continent, autre pays, autre culture… Où Solange est exclue, complètement exclue.
Le style de Marie Darrieussecq m’a dérangée, ainsi que ces nombreux paragraphes qui s’enchainent les uns à la suite des autres, sans de réels liens… Mais j’ose à peine le dire, vu les excellentes critiques de ce livre.
A lire pour se faire sa propre opinion !
@AgenceRiseUp
A l’occasion de la sortie de l’album Vivre d’Amour, disponible en édition collector, de Thérèse, Publik’Art vous a offert la chance de gagner :
5 albums Vivre d’Amour
Vous avez été 2 186 joueurs. Bravo à tous et merci de votre excellente participation.
Les cinq heureux gagnants sont :
Karine Bernardo, Frédéric Ducrocq, Céline Gramain, Fabrice Lombardelli et Aurore Carbonnier.
Notre partenaire vous enverra votre album très prochainement. D’avance nous les en remercions vivement.
Très bonne écoute à tous !
Théâtre de la Ville jusqu’au 3 janvier 2014
« Giselle » c’est d’abord le grand ballet classique, chorégraphié en 1841 par Jean Coralli sur une musique d’Adolphe Adam et considéré comme une référence d’interprétation pour les danseurs du monde entier.
Mais c’est aussi, la relecture contemporaine, majeure, en 1982 de Mats Ek, le chorégraphe suédois bien connu de toutes les compagnies internationales, et dont s’emparent avec force et brio les 16 danseurs du ballet de l’Opéra de Lyon.
De la trame ultra romantique initiale (une jeune paysanne, Giselle, tombe raide dingue – dans tous les sens du terme – d’un prince déguisé en villageois, Albrecht, venu la courtiser : elle en mourra) le chorégraphe en dissèque la dimension transgressive et sociale empreinte d’une lutte intérieure où l’héroïne est en proie à ses pulsions, et de classes.
Ainsi, tout en gardant la structure en 2 actes et la musique originelle, Mats Ek transpose l’action de la première partie dans un décor de style naïf de Marie-Louise Ekman, évocateur d’une rêverie mentale : une île tropicale dont les formes montagneuses suggèrent la sensualité du corps de la femme, ses formes généreuses et voluptueuses, où Giselle s’abandonne à ses émois.
L’occasion pour le suédois d’affirmer sa singularité dès l’ouverture avec cette scène qui voit Gisèlle attachée par une corde car son fiancé, Hilarion, qui l’aime, sans pouvoir la comprendre, l’attache dès que son amour ne parvient plus, seul, à la retenir. Un lien dont elle se défait énergiquement sous l’impulsion de ses envies dévastatrices.
[…] le chorégraphe en dissèque la dimension transgressive et sociale empreinte d’une lutte intérieure où l’héroïne est en proie à ses pulsions […]
Et d’exacerber une liberté de l’héroïne par une affirmation du corps contre la bienséance ainsi que le jeu des appartenances sociales à l’œuvre dans la pièce avec une gestuelle vive, des mouvements parfois brusques, des sauts nerveux, comme des pas de deux aux allures de duel. Car le romantisme n’est ici pas de mise où la fable se charge d’une tension et d’un affrontement entre les faibles et les puissants, par le combat des forces de la vie et de la mort, qui prennent des allures de tragédie moderne.
Le sens inné du théâtre de Mats Ek lui permet de caractériser chaque personnage, Giselle tout d’abord dont il fait la marginale, trompée et abusée par un séducteur venu passer un bon moment avec ses copains. Ebranlée, elle en perdra ici la raison. Mais également Hilarion, son amoureux transi, trahit, ou Albrecht le séducteur falsificateur.
Et à la mort de l’héroïne, Mats Ek substitue au second acte la plongée dans la folie, prenant pour paysage mental, un asile psychiatrique. Sur les murs, des morceaux de corps humains sont disposés ça et là : un nez, un doigt, un sein… une humanité disloquée, fractionnée, enfermée dans un lieu vide et glacial Où les voiles et les tutus longs des Wilis, fantômes de jeunes femmes trahies avant leur mariage dans la version originale, font place aux blouses d’infirmière et aux camisoles de force.
La reine des Wilis, Myrtha, s’est métamorphosée – dans cette partition – en une sœur infirmière, aussi débordante de bonté glacée que d’amour castrateur. Dans ce monde clos, coupé de l’extérieur, Myrtha fait office de rempart inébranlable contre les attirances et la menace de la sexualité. Les « malades » sont condamnés à la frustration. Hilarion rend visite à Giselle, espérant la ramener à la raison. Mais Giselle, désormais, appartient à un autre monde.
Et toute sa fragilité mentale éclate alors dans l’écriture tiraillée de Mats Ek qui sait traduire comme nul autre le déséquilibre et la rédemption du corps.
On assiste ici comme dans la version traditionnelle au douloureux parcours initiatique de la vie d’Albrecht où l’amour de Giselle lui aura fait découvrir la vanité des choses et la vérité des sentiments.
Les trois rôles principaux Dorothée Delable (Gisèle), Randy Castillo (Albrecht), Franck Laizet (Hilarion) sont saisissants d’expressivité et collent parfaitement à la tonalité intense de Mats Ek.
Là où le réalisme chorégraphique de Mats Ek parvient à saisir toutes les nuances de la détresse de Giselle, que l’amour impossible a brisé et dont chaque mouvement est l’incarnation la plus juste et la plus absolue…
« Mon corps, on ne l’a jamais retrouvé. Jeté dans la mer ? Brûlé sur la plage ? Mangé par des fourmis ? Dévoré par les loups ? Ravi par les aigles ? (…) Volé et emporté par quelque âme pieuse ? Enseveli en cachette puis oublié comme un chien ? Les voyous que j’ai si souvent pour les peindre déguisés en anges sont-ils venus me chercher pour m’enlever au ciel ? Un autre, à ma place, se lamenterait » (Dominique Fernandez)
Sortie le : 4 décembre 2013
Durée : 1h47
Avec : Miss Ming, Pipo Delbono, Jackie Berroyer…
Yolande Moreau réalise un film poignant, en mettant en scène une actrice pas comme les autres, une actrice que nous aimons beaucoup, Candy Ming, ou plus simplement Miss Ming. La réalisatrice y joue également un petit rôle, Tante Michèle.
Synopsis :
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Henri, la cinquantaine, d’origine italienne, tient avec sa femme Rita un petit restaurant près de Charleroi, « La Cantina ». Une fois les clients partis, Henri retrouve ses copains, Bibi et René, des piliers de comptoirs ; ensemble ils tuent le temps devant quelques bières en partageant leur passion commune, les pigeons voyageurs. Rita meurt subitement, laissant Henri désemparé. Leur fille Laetitia propose alors à Henri de se faire aider au restaurant par un « papillon blanc », comme on appelle les résidents d’un foyer d’handicapés mentaux proche de « La Cantina ». Rosette est de ceux-là. Elle est joyeuse, bienveillante et ne voit pas le mal. Son handicap est léger, elle est simplement un peu « décalée ». Elle rêve d’amour, de sexualité et de normalité. Avec l’arrivée de Rosette, une nouvelle vie s’organise.[/pull_quote_center]
Miss Ming interprète à merveille Rosette, un papillon blanc. Rosette va aider Henri, Pipo Delbono, dans son restaurant, après la mort de sa femme, Rita, interprétée par Lio. Henri est comme tout le monde. Rosette n’est pas comme tout le monde. Mais on pourrait peut-être dire le contraire. Rosette console Henri, à sa façon et son épaule semble plus réconfortante qu’aucune autre. Une simplicité, et surtout une pureté émanent de Rosette. Yolande Moreau la filme à merveille, au milieu des pigeons qui s’envolent, scène magique, et aussi à l’hôtel où elle s’enroule, avec la grâce d’une danseuse étoile, avec les rideaux blancs. Elle se fait sur mesure sa robe de mariée… Elle rêve tout éveillée.
Pas beaucoup de dialogues, beaucoup de regards qui en disent long…
Dans ce beau film, le rêve a sa part et on voudrait tous qu’il colle au plus près avec la réalité. Miss Ming aussi a droit à sa part de bonheur, tout son corps le réclame avec élégance. Bonheur simple, liberté, sexualité, normalité… Des thèmes chers à Yolande Moreau qui dévoile la vie ordinaire de gens ordinaires sous son vrai jour.
Publik’Art avait adoré Camille redouble, on a beaucoup aimé Henri qui délivre un message de tolérance et d’amour pour son prochain. Et surtout qui pose la question cruciale de la normalité. Infime barrière…
Très beau film, réalisé avec beaucoup de cœur et de façon très poétique, avec des acteurs remarquables.
Henri a été sélectionné au festival de Cannes 2013, dans la catégorie de la Quinzaine des Réalisateurs.
[youtube http://youtu.be/Icpq2SAGxqo]
Sortie au cinéma le 16 avril 2014
un film de Patrice Leconte
avec Rebecca Hall, Richard Madden, Alan Rickman…
Le synopsis :
Sortie au cinéma le 17 décembre 2014.
Avec : Karin Viard, François Damiens, Eric Elmosnino, Louane Emera
Synopsis :
Dans la famille Bélier, tout le monde est sourd sauf Paula, 16 ans. Elle est une interprète indispensable à ses parents au quotidien, notamment pour l’exploitation de la ferme familiale. Un jour, poussée par son professeur de musique qui lui a découvert un don pour le chant, elle décide de préparer le concours de Radio France. Un choix de vie qui signifierait pour elle l’éloignement de sa famille et un passage inévitable à l’âge adulte.
Sortie le 25 décembre 2013
A l’occasion de la sortie du film Albator Corsaire de l’espace, le 25 décembre 2013, Publik’Art, en partenariat avec Océan Film, vous a offert la chance de gagner :
5×2 places pour le film Albator Corsaire de l’espace
Publié aux Editions Le Seuil Jeunesse, Hors collection Jeunesse
Le 24 octobre 2013
44 pages
Prix : 17 €
A l’occasion de la sortie du livre Maxibébé, Publik’Art, en collaboration avec les Editions Le Seuil Jeunesse, vous a offert la chance de gagner :
5 albums Maxibébé
Vous avez été très nombreux à participer : 3575 joueurs !
Bravo à tous et merci de cette excellente participation.
Les cinq heureux gagnants sont :
Sabine Nemitz, Michel Cliquennois, Chantal Vautherot, Christophe Senechal et Christine Leoni.
Notre partenaire vous enverra votre lot très prochainement et d’avance nous les en remercions vivement !
La comédienne Valentine Feau revient avec un nouvel épisode hilarant de sa web-série !
Cette série met en scène une trentenaire aux prises avec ses complexes et l’absurde du quotidien. A travers les thèmes abordés, elle explore les névroses et ridicules de la vie adulte.
« La Normalitude du Noël »
Valentine Féau est également chroniqueuse au côté de Stéphane Bern dans l’émission « Comment ça va bien » sur France 2.
Biographie de Valentine Feau :
L’idée lui est venue dans sa salle de bains, un jour de printemps 2012. Remuée par la quête présidentielle de « normalité », Valentine Feau, d’humeur « Royal », réalisait _ sous sa douche _ à quel point les p’tits défauts étaient le dénominateur commun des gens normaux.
Dans la mine d’or de nos travers, la comédienne trouvait ainsi le filon d’un rire, parfait antidote au stress du perfectionnisme. Le temps de se sécher, de passer un coup de fil à son complice de frère, La Normalitude était née. Tourné 4 jours après, monté en moins de 2 semaines, un premier épisode _ La normalitude du réveil _ lançait le 1er juin 2012, une web-série mettant en scène une trentenaire au prise avec ses complexes et l’absurde du quotidien.
On sait depuis Norman, Cyprien et autre Max Boulbil, comment Internet permet à de nouveaux talents d’autogérer la production et la diffusion de leur univers comique. Auteur-interprète-metteur en scène-productrice, Valentine Feau fait sortir le genre des chambres d’ados pour explorer les névroses et ridicules de la vie adulte. Normalitude du baiser, de la féminité, de la conduite, de la solitude, du régime, du sport, voire du pipi… L’éclat burlesque se niche dans tous nos petits riens.
Chroniqueuse et experte farfelue des reproductions chorégraphiques, au côté de Stéphane Bern, dans l’émission Comment ça va bien (France 2), la demoiselle fait fructifier sur le Net une verve depuis toujours inspirée par la comédie. Gamine déjà, la rigolote de la classe rode sa repartie avec ses frangins, se passionne pour la danse, les sketches et les spectacles de fin d’année. Un copain de son frère lui glisse entre deux fou-rires : « Toi, si tu ne fais pas du théâtre un jour, tu auras raté ta vie ».
Si Valentine essaie de donner le change en fac de lettres pour rassurer ses parents, elle se consacre vite à la scène et à la vie de troupe. Même les boulots alimentaires _ un job de serveuse pendant 4 ans _ deviennent des postes d’observation pour enrichir sa palette d’actrice et de futurs dialogues.
Car ses envies de jeu vont de paire avec le besoin d’écriture. Un spectacle conçu et joué en duo avec Sandrine Jouanin, Quand je serai grande, j’aurai des chaussures rouges, fera connaître cette double casquette en triomphant, pendant deux ans, au Théâtre des Blancs-Manteaux.
Se révèle alors sa prédilection pour l’étude de la personnalité féminine, la démystification de la superwoman ou de la douce idéale, les ressorts de la banalité… Mais aussi un penchant jubilatoire pour l’autodérision décalant jusqu’au trash ses allures de fille de bonne famille. Parmi ses sources d’inspiration, des femmes bien sûr : Muriel Robin, Valérie Lemercier, l’Américaine Kristen Wiig…, mais également ses souvenirs de la troupe du Splendid ou des Nuls (en particulier Alain Chabat, son goût de l’absurde et de la cruauté bordée d’amour).
Grâce à l’autonomie des moyens de production et des tournages à l’ambiance familiale et participative, La Normalitude est devenu un labo où se testent non stop jeux de situations, de gestes, de mots et de thématiques. Au programme des prochains épisodes : l’alcool, la séduction, l’entretien d’embauche, l’attente, la visite médicale… Tous ces moments qui font que, contrairement à ce qu’on pense, il est tout à fait normal d’être anormal…
© Casterman 2014
Sortie : le 8 janvier 2014
Prix : 16 €
Pour fêter dignement Noël, Publik’Art s’associe aux éditions Casterman pour vous offir la chance de gagner 5 albums de Succombe qui doit, le dernier album de d’Antoine Ozanam, l’un des scénaristes les plus prolifiques de la jeune génération, cette fois épaulé par le dessinateur belge Fabien Hrykak.
Succombe qui doit est un polar avec une trame classique, un récit noir et brutal, d’une intensité exceptionnelle. Âmes sensibles s’abstenir.
Pour jouer, il vous suffit de répondre directement au quizz, avant le 1er janvier 2014 au soir. Aidez vous du résumé ci-dessous. Pour patienter, admirez également la très belle planche qu’on vous livre.
Aucune réponse mise en commentaire ne sera validée.
Résumé de l’éditeur :
Sale temps sur la casse auto Marchado. Quatre jeunes malfrats en fuite après un braquage qui a dégénéré, dont l’un grièvement blessé, s’y sont réfugiés lors d’une nuit de déluge. Depuis, ils y séquestrent José, le patron des lieux, un costaud taciturne, misanthrope et revenu de tout. Comment échapper aux recherches policières ? Sauver le blessé ? Et, surtout, livrer le butin du braquage à son commanditaire, le sinistre La Villette ? En l’espace de quelques heures grinçantes se noue un huis clos d’une intensité exceptionnelle, ponctué de flash-back qui font tomber les masques et dévoilent les ressorts secrets de cette histoire poisseuse et tragique à souhait : sous le nom de Laser Jo, José Marchado fut autrefois un boxeur fameux et doit au même La Villette le naufrage de sa vie dévastée. L’heure est venue de solder les comptes… Dans un registre expressionniste d’une violence et d’une âpreté peu communes, Succombe qui doit revisite avec panache les motifs éternels du roman noir. Irrésistible.
© Casterman 2014
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Règlement du concours :
Ce concours est organisé sur le site Publikart.net uniquement.
Pour jouer à ce concours sur le site de Publikart.net, après avoir coché vos réponses, cliquez sur le bouton « Envoyer vos réponses » en bas du formulaire (le bouton apparaît en utilisant le curseur bleu situé à droite des questions, le cas échéant) en nous précisant vos coordonnées complètes ( nom+adresse). Un mail de confirmation de votre participation vous sera envoyé par les services de Cinefriends.com, partenaire mettant à notre disposition le système de quizz utilisé.
Une seule participation par personne, par E-mail et par foyer est autorisée. En cas contraire, flagrant ou douteux, (participations multiples, bulletins à coordonnées identiques, erronées ou incomplètes), il ne sera tenu compte d’aucune réclamation et aucun lot ne pourra être attribué à l’émetteur du bulletin.
Le concours prendra fin le 1er janvier 2014 à 20h00. Les réponses reçues après cette date limite ne seront pas valides et ne seront pas comptées dans le nombre total de participations. L’attribution du(des) lot(s) se fera par tirage(s) au sort parmi les bonnes réponses. Un article publiant le nom du(des) gagnant(s) paraîtra le jour du tirageau sort.
La participation à ce jeu implique que vous autorisiez Publik’Art à utiliser les informations vous concernant dans ce concours. Publik’Art s’engage à ne pas les transmettre à d’autres personnes ou sociétés que le ou les partenaires cités dans le present règlement.
Vous disposez d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent (art.34 de la loi « Informatique et Libertés »). Pour l’exercer,contactez-nous en cliquant sur l’onglet en bas de votre page.
A l’occasion de la sortie du film Belle et Sébastien, le 18 décembre 2013, Publik’Art vous a offert la chance de gagner :
5 albums de la Bande Originale du film Belle et Sébastien
Vous avez été très nombreux à participer : 3 085 joueurs ! Bravo à tous et merci de votre excellente participation.
Les cinq heureux gagnants sont :
H1987 est un faiseur de son mystérieux venu d’on ne sait où. Un beau jour, il nous a fait signe avec cet album. Go Away est une jolie pépite qui rassemble titres inédits et remixes de grands noms de ce monde. Gorillaz, Daft Punk, les Fugees, Nas, JAY-Z, Ami Winehouse sont ainsi passés à la moulinette de l’artiste. Du grand. Et du généreux avec ça. Car l’album est offert en téléchargement ici.
Ne reste plus qu’à conclure : Joyeux Noël ! Très bonne semaine à tous sur Publik’Art !
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