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Vidéo : Wacom présente Cintiq Compagnion la nouvelle tabellette-studio (#ad)

Wacom sort Cintiq Compagnion, une tablette tactile comprenant le système d’exploitation Windows 8 et bénéficiant de toutes les fonctionnalités d’une tablette graphique. Sortez vos stylets, vous allez pouvoir créer en toutes circonstances !

Vidéo Sponsorisée

Album de la semaine : IAM l’album éponyme en libre écoute

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Date de sortie : le 18 novembre 2013

Sept mois après la sortie du très bon Arts Martiens, le sixième album d’IAM qui avait été attendu durant six ans (vendu à 100.000 exemplaires), le groupe sort IAM un album qui fête comme il se doit la fin de leur contrat chez Universal (Def Jam). Après IAM donc, le groupe se retrouve sans contrat mais promet de continuer à exister à travers l’auto-production si nécessaire.

Cet album confirme leur démonstration faite dans Arts Martiens : le retour aux fondamentaux du groupe que l’on reconnaît bien à travers des sons Imhotep/Kheops qui font plaisir. A découvrir tout de suite :

Todo el cielo sobre la tierra (el síndrome de Wendy) d’Angélica Liddell, à Paris

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Odéon – Théâtre de l’Europe jusqu’au 1 décembre 2013
Festival d’Automne à Paris

Tout le ciel au-dessus de la terre (Le syndrome de Wendy) est un conte noir, perverti par la perte de la jeunesse, le sentiment d’abandon et le rejet de la maternité.

Une oeuvre puissante, ravageuse où jusqu’à l’épuisement de l’être et de la parole s’éprouvent la douleur intime et la douleur du monde en trois espaces temps intimement liées – une île, une ville lointaine, une mise à nu, couvertes de chants, de danses, de transe où l’acte théâtral dans sa transgression et son magnétisme, foudroie littéralement.

A mi-chemin entre la performance et le théâtre, Angélica Liddell a l’art de mettre le corps à l’épreuve – de le confronter à son chaos intérieur et à son rapport au monde irréconciliables où s’y explorent la solitude, la perdition, le désespoir, l’irréductible – d’orchestrer la musique et l’énergie, le tout dans un geste assuré parfaitement structuré qui fait sens à la souffrance exprimée.

Au centre de la scène, un monticule de terre comme la délimitation d’une île où la figure de Wendy (Angelica Liddell) s’est transposée.  Utoya, l’île de Norvège où soixante neuf jeunes militants, sont tombés sous les balles d’Anders Breivik en 2011, et dont le destin funèbre fait écho à l’enfance éternelle de Peter Pan refusant l’univers des adultes.

Puis on retrouve Wendy à Shangaï sur fond de valses lentes et mélancoliques de Cho Young-Wu, compositeur sud-coréen de musiques des films de Park Chan-Wook, dansées par un couple de danseurs chinois qui n’en finissent plus de s’étourdir sur « La valse des choses que je serais capable de faire pour toi », « celle de l’origine de la tristesse humaine » où encore  » la valse des bicyclettes forever ».

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Enfin, seule en scène, après avoir échangé la robe de Wendy contre un juste au corps, l’artiste catalane en performeuse fustige l’obscénité de la nature humaine, dans un abdondon aussi total que purificateur. Un monologue ponctué par le titre « The House of the rising sun » du groupe The Animal qu’elle transcende d’une vérité extrême et d’écorchée vive.

[pull_quote_left] Angélica Liddell a l’art de mettre le corps à l’épreuve – de le confronter à son chaos intérieur et à son rapport au monde irréconciliables [/pull_quote_left]

Dans une langue référencée et poétique propice à des images hypnotiques,  la guerre est déclarée face à une humanité abhorrée.

Amour, Athlétic Club, nouvel album du groupe De Calm

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Sortie le 12 novembre 2013

Le groupe De Calm préfère parler d’un club plutôt qu’un groupe. Ils sont deux à faire partie du club : Mickaël Serrano et Guillaume Carayol. Le premier compose et joue, le second écrit et chante et réalise les clips.

Quand on commence à les écouter, on en veut encore et encore.

Amour Athlétic Club est le second album du groupe De Calm, avec onze chansons qui tournent autour du sport et bien sûr aussi de l’amour !

A la fois poétiques et réelles, leurs chansons nous touchent et ensoleillent nos journées d’hiver…

Cet album a été enregistré en compagnie du batteur Philippe Entressangle et du bassiste Marcello Giuliani, qui font partie, tous les deux, des musiciens d’Etienne Daho.

Le mieux est de les découvrir au plus vite :

Pour en savoir plus, cliquez ici

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Permis de galérer, un livre de Nina Belile, aux Editions La Boîte à Pandore

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Publié le 13 octobre 2013 

aux Editions La Boîte à Pandore 

Prix : 9,90€

Nina Belile, l’auteure de ce livre, nous raconte sa propre expérience quant au passage du permis de conduire. En fait, cela s’apparente plus à un véritable chemin de croix, semé d’embûches, d’épines, de pièges et surtout un chemin ruineux !

On pourrait penser que Nina n’a pas eu de chance. Hélas, tout le monde le sait : personne n’a de chance en passant son permis de conduire.

Avec beaucoup d’humour, mais aussi, plein de sagesse, ce livre va, sans aucun doute permettre aux futurs candidats au permis de moins galérer et surtout de moins se faire « avoir » sur les différentes prestations demandées, je dirai même exigées, par les  auto-écoles.

Nina nous raconte son parcours, sans rien omettre. Au début, on rit, puis peu à peu, on se dit que ce n’est quand même pas possible. Tout ça pour ça ?

Les différents portraits des moniteurs nous laissent pantois. Effectivement, qui n’a pas connu les différentes « pauses » ou « arrêts » du moniteur en plein milieu d’une leçon, soit pour aller faire ses propres courses, soit pour rejoindre des potes ou autre… Vingt minutes perdues… Vingt minutes payées, bien sûr ! Qui n’a pas changé, sans raison, de multiples fois de moniteur ? Qui n’a pas été « draguée » par un moniteur peu scrupuleux ?

Bref, Nina dévoile au grand jour ce que chaque candidat, chaque candidate surtout, vit durant cette interminable formation qui ne ressemble en rien à une formation, mais plutôt à un calvaire.

Il est temps de crier au scandale et on espère bien que ce livre lèvera un tabou, et permettra au candidat de mieux se préparer, avec ou sans auto-école !

Car, le saviez-vous, vous pouvez éviter la case auto-école ?

Futurs candidats ou candidats en formation, ce livre est fait pour vous ! Vous éviterez les nombreux pièges qui ne sont là que pour vider votre portefeuille… Ca vous redonnera confiance, sûr ! Nina, elle, n’a pas eu cette chance-là et son permis lui a couté plus de cent heures de conduite, donc plus de 6000€ !

Bravo Nina et merci de ce carnet de bord très édifiant, avec de nombreuses « leçons » à retenir, dites avec beaucoup d’humour.

A lire absolument avant de se lancer dans l’aventure du permis de conduire !

Pour en savoir plus sur Nina, cliquez : ICI

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Clip : l’hommage de Marco Polo, DJ Premier et Talib Kweli à Guru

Il y a trois ans déjà disparaissait Guru, véritable monument du hip hop us (Gang Starr). Récemment, Marco Polo, DJ Premier et Talib Kweli ont rendu un bel hommage au MC. A voir :

[youtube http://www.youtube.com/watch?v=puRtPa3_A6Y#t=268]

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« PARTICIPA(C)TION » / Colloque – événement au MAC/VAL, les 6, 7 et 8 décembre 2013, à Vitry-sur- Seine

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COLLOQUE – ÉVÉNEMENT
« PARTICIPA(C)TION »
Vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 décembre 2013, entrée libre.

Trois jours d’échange autour de la participation dans la création contemporaine : conférences, performances, débats et projections.

La participation des « publics » au processus de création.
La participation des artistes à la construction de l’espace public.

La participation place le public dans une situation d’expertise nouvelle, temporaire et éphémère.
La participation place l’artiste dans un rôle de gestionnaire à l’autorité négociée.
Enfin, elle place l’institution dans une situation délicate où se bousculent les valeurs attribuées au rôle de chaque acteur dans le système de la création.
Le MAC/VAL propose, pendant ces trois journées, de penser la question des publics à travers leur participation au processus artistique et culturel, envisagés comme amateurs, participants, volontaires, co-auteurs, collaborateurs, co-producteurs.
Elles se tournent volontiers vers Michel de Certeau, auteur de L’Invention du quotidien en 1990, pour envisager l’œuvre d’art non plus seulement comme un lieu de représentation, mais de manière pragmatique, comme lieu du commun, comme dispositif ouvert aux usages individuels ou collectifs, comme point de départ d’une interrogation sur le partage des responsabilités entre l’artiste, le public et l’institution.
Une large place est donnée aux artistes, aux professionnels de la culture, aux historiens et philosophes qui développent des formes de production et des outils critiques au croisement de l’activisme, de la théorie de l’art, de la sociologie, de l’anthropologie, ou de la communication afin de regarder l’art participatif et collaboratif d’un point de vue esthétique et politique, et non pas seulement moral ou sociétal.

Entrée libre, renseignements : Stéphanie Airaud, chargée des publics au MAC/VAL : stephanie.airaud@macval.fr

Inscription recommandée pour le samedi 7 décembre : reservation@macval.fr

Programme détaillé, liste complète des artistes, intervenants et débatteurs à découvrir sur : ici

MAC/VAL – Musée d’art contemporain du Val-de-Marne
Place de la Libération
94400 Vitry-sur-Seine
Tél : 01 43 91 64 20 / Fax : 01 79 86 16 57

Les garçons et Guillaume, à table ! un film de Guillaume Gallienne

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Date de sortie : 20 novembre 2013

Durée : 1h25

Avec :  Guillaume Gallienne, Françoise Fabian, André Marcon…

Guillaume Gallienne a adapté sa propre pièce de théâtre, de 2010, au cinéma. Il réalise là, avec brio, son premier long métrage. De plus, il est également acteur et joue même deux rôles en même temps : celui de Guillaume, et celui de sa mère. Car en fait, ce film est une autobiographie…

Synopsis :

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Le premier souvenir que j’ai de ma mère c’est quand j’avais quatre ou cinq ans. Elle nous appelle, mes deux frères et moi, pour le dîner en disant : « Les garçons et Guillaume, à table ! » et la dernière fois que je lui ai parlé au téléphone, elle raccroche en me disant : « Je t’embrasse ma chérie » ; eh bien disons qu’entre ces deux phrases, il y a quelques malentendus.[/pull_quote_center]

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Il semblerait que la mère de Guillaume, après deux fils, désirait une fille. Et pour plaire à sa mère, Guillaume fait tout ce qu’il peut pour être une fille. Pour cela, il a imité sa mère dès son plus jeune âge. Imiter ses gestes, imiter sa voix, de façon très troublante. Bien sûr, il adore cette mère, qui n’est pas vraiment tendre avec lui, mais c’est sa mère ! Et il l’adore.[pull_quote_right]un cri d’amour lancé par Guillaume aux femmes[/pull_quote_right]

A travers ce film, beaucoup de messages importants sont transmis. On rit, on se moque de Guillaume, mais dans le fond, on sent le malaise de ce garçon, chahuté par tous. Guillaume est à part… Il n’est pas sportif, pas viril, et son pôle féminin écrase son côté masculin. Du coup, avec quelle facilité, on lui colle une étiquette d’homosexuel… Guillaume ne sait pas lui-même qui il est vraiment…

Ce film est un cri d’amour lancé par Guillaume aux femmes, et surtout à sa mère. C’est à la fois très drôle, très vrai et très émouvant. Une très belle analyse psy des femmes !

Avec un jeu absolument remarquable de Guillaume !

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Pour une fois, ce n’est pas l’histoire banale d’un homosexuel, mais l’histoire d’un jeune homme à qui on a mis une étiquette dès son plus jeune âge… Et qui raconte son cheminement jusqu’à sa rencontre avec lui-même, au plus profond de lui-même.

A voir absolument !

[youtube http://www.youtube.com/watch?v=2rb1ByEN3k8]

Défouloir du Vendredi : Contre temps, une vidéo qui mouille

C’est la fin de la semaine, et comme tous les vendredis, on admire une vidéo du web. Aujourd’hui c’est celle qu’a réalisée une équipe de l’école Supinfocom d’Arles qui remporte les suffrages.

[vimeo http://vimeo.com/71695621]

Directed by:
Jérémi Boutelet: jeremi-boutelet.com
Thibaud Clergue: thy-works.blogspot.fr
Tristan Ménard: tristanmenard.com
Camille Perrin: camilleperrin.fr
Gaël Megherbi: gael-megherbi.blogspot.fr
Lucas Veber: lucky3d.fr

Music by Nathan Blais & Sylvain Livenais:
spectral-approche.com
nathanblais.com
sylvainlivenais.com

Boardwalk Empire, saisons 1 à 3, une série produite par Martin Scorcese

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Boardwalk Empire est une série télé estampillée HBO qui a fait grand bruit lors de sa sortie, non seulement par ce qu’elle est en partie produite par Martin Scorcese (producteur délégué – on trouve aussi parmi les autres producteurs délégués l’acteur Mark Wahlberg) mais également parce que ce dernier est justement réalisateur du pilote, à l’occasion duquel plus du tiers de l’enveloppe allouée à la production de la saison 1 a été utilisé (18 millions de dollars rien que pour le premier épisode sur un total de 50 pour le tournage des douze premiers épisodes).

Boardwalk Empire est l’adaptation de Boardwalk Empire : The Birth, High Times and Corruption of Atlantic City, un livre de Nelson Johnson. Il raconte l’histoire d’Enoch L. Johnson (alias Nucky), figure du crime du New Jersey qui a réellement existé. A la tête d’une organisation criminelle qui contrôlait la ville d’Atlantic City voire plus encore, il s’était spécialisé dans le trafic d’alcool, le jeu et la prostitution.

Synopsis :
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La chronique sombre et violente du développement d’Atlantic City dans les années 20, lors de l’émergence des premiers casinos dans un climat de Prohibition, qui donnera naissance à la Pègre. Nucky Thompson, le trésorier du parti Républicain -qui dirige la ville- est en réalité celui qui tire toutes les ficelles et qui joue sur plus d’un tableau à la fois pour arriver à ses fins. Argent sale et corruption sont au rendez-vous, en passant par Chicago et New York…[/pull_quote_center]

Voici donc une série mafieuse qui a dès le départ annoncé la couleur. Après des séries cultissimes comme Les Soprano (à laquelle l’acteur Steve Buscemi et le scénariste Terrence Winter, créateur de Boardwalk Empire, avaient déjà participé), le pari n’était pourtant pas gagné d’avance. Mais le récit prend place à la Belle époque, au temps de la prohibition… Une différence exploitée jusque dans les moindres détails de la mise en scène. Le spectateur est totalement immergé dans cette atmosphère, jusque par la bande originale qui n’est composée que de titres enregistrés à l’époque. Ne manque plus que l’odeur des planches de la corniche dAtlantic City humidifiées par les entrées maritimes…

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Le travail des scénaristes est assez remarquable durant les deux premières saisons. Et si certaines longueurs lors de la troisième laissent à penser que ce travail s’étiole un peu, ce n’est que pure illusion. La fin justifie ici les moyens. Les premiers épisodes de cette dernière saison peuvent en effet paraître un peu décevant. Nucky semble fragilisé, plus sentimental que jamais, et le personnage de Jimmy Darmody manque au relief de l’intrigue. Jusqu’à une croisée de chemin où Nucky va être de plus en plus mis à l’épreuve, dévoilant une autre facette de sa personnalité. Complexe. Intéressant.[pull_quote_right]un scénario qui se magnifie épisode après épisode, des acteurs à couper le souffle, une mise en scène remarquable.[/pull_quote_right]

Le personnage principal – Nucky – est magistralement interprété par Steve Buscemi et chacun des seconds rôles a été soigneusement confié à des acteurs de haute volée. On a plaisir à retrouver des gangsters célèbres des années 20 : Al Capone, Johnny Torio, Lucky Luciano, Arnold Rothstein, Bugsy Siegel  ou encore Meyer Lansky. Tous sont méticuleusement mis en avant, et disséqués devant le spectateur qui observe les failles des uns interagir avec les faiblesses des autres.

Bref, un scénario qui se magnifie épisode après épisode, des acteurs à couper le souffle, une mise en scène remarquable. Ne passez pas à côté de Boardwalk Empire dont la cinquième saison a d’ores et déjà été commandée par HBO.

Ci-dessous une petite vidéo démonstrative des effets spéciaux employés dans la première saison :

[vimeo http://vimeo.com/18275127]

 

 

Jonathan Dassin sort son 1er album, album éponyme.

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Sortie le 12 novembre 2013

Jonathan Dassin a hérité des mêmes initiales que son père Joe Dassin. Et surtout des mêmes dons musicaux, de la même voix. Il a appris toutes sortes de musique et joue de la trompette. Il n’a que deux ans lorsque son père meurt subitement à 41 ans d’une crise cardiaque. Et Jonathan aura le malheur de perdre sa maman à 14 ans. Beaucoup de malheur qui peut expliquer les quelques idées noires du chanteur, qui se dit hanté par des démons… Mais qui va toujours de l’avant.

A travers son album éponyme, Jonathan Dassin se raconte. Il aime sa gueule et sa voisine et nous fait partager en chanson ses doutes, ses déprimes, ses moments de solitude mais aussi ses joies et l’amour des pays lointains qu’il connaît si bien.  Quand il sera grand, il récupèrera des caresses, et s’en ira plus loin, avec beaucoup d’amour à donner…

Jonathan nous fait découvrir son univers avec une voix très mélodieuse et agréable à écouter, encore et encore…

On se prend à chantonner ses airs toujours entrainants… Un vrai plaisir !

La route musicale sera longue pour Jonathan ! Et on l’espère aussi belle que celle de son père !

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Ma Voisine, Clip officiel :

Paris n’existe pas, un film de Robert Benayoun, en DVD le 6 novembre 2013

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Sortie : en dvd le 6 novembre 2013

Durée : 1h33

Avec : Richard Leduc, Danièle Gaubert, Serge Gainsbourg

Synopsis :

[pull_quote_center]En 1968, Simon, est un jeune artiste peintre en pleine crise d’inspiration. Lors d’une soirée il goûte une substance aux propriétés étranges et développe des capacités mentales qui lui permettent de voyager dans le futur et le passé. Il peut maintenant enjamber les époques en une fraction de seconde et s’amuser à observer la belle Félicienne qui occupait son appartement dans les années 30. Mais ses nouvelles facultés ne sont pas sans conséquence et perturbent l’équilibre du couple qu’il forme avec Angéla. Son ami Laurent tente de le rassurer et de l’arracher à ses « hallucinations. »

Après quarante quatre années de presque invisibilité, le film culte de Robert Benayoun est disponible pour la première fois et en copie neuve sur support dvd, l’occasion de revoir ou découvrir un objet étrange, symbole de la liberté et la créativité d’une époque où tout semblait autorisé sur le plan artistique et le reste. A revoir le film, il semble difficile à classer : Est-ce une œuvre fantastique ? Un trip poétique ? Une œuvre expérimentale sous influence de la nouvelle vague ? Un peu tout cela en fait, et c’est ce qui en constitue la singularité.

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Paris n’existe pas conserve le charme d’une époque, voir la naïveté de certains effets spéciaux qui apportent toute sa poésie étrange au film, couplé à la superbe partition musicale de Jean-Claude Vannier et Serge Gainsbourg qui interprète ici l’ami du héros, un mentor à l’apparence de dandy adepte d’aphorismes. Bizarrement aucune chanson du chanteur-compositeur ne vient agrémenter le long métrage, mais la composition instrumentale, magnifique, se suffit à elle-même. La réalisation est fortement influencée par le mouvement surréaliste, en particulier André Breton, avec cette histoire d’un peintre qui se découvre soudain la faculté (hallucinatoire ou réelle on ne le saura pas) de voir le pouvoir du temps sur les objets et les choses. Ainsi en déambulant dans les rues de Paris, le héros croise-t-il des soldats nazis en train de se livrer à une arrestation, l’image terrifiante d’un temps passé qui pourrait bien resurgir si l’homme n’y prend pas garde ; et voilà pourquoi le sous-texte du film parait encore moderne. C’est de cet aspect universel des choses et des êtres, du sentiment immuable de l’amour par exemple, dont il est question ici avec le personnage de Angéla (jouée par la charmante Danièle Gaubert), jeune femme douce et aimante dépassée par la crise que traverse  son artiste de compagnon. Le présent se nourrit du passé et inversement. Les êtres et le monde sont faits de tout ce qui a précédé, en bien ou en mal. Et le passage du temps agit inexorablement sur chacun d’entre nous. L’architecture du récit est constamment déconstruite, comme pour brouiller les repères temporels et spaciaux, perdant le pauvre héros comme dans un ouvrage de science-fiction de Philip K. Dick.

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Le film de Robert Benayoun, par ailleurs écrivain et illustre critique de cinéma, est également un chant d’amour à Paris, à ses rues, ses passants, des architectures, ses appartements ayant abrités de douloureux ou beaux souvenirs, et qui sont à présent déserté ou occupé par d’autres histoires. Le réalisateur utilise de vieilles images d’archives pour provoquer le choc des époques. Même si le ton général semble léger, le discours de fond est assez mélancolique et la solitude de Simon, le peintre en pleine crise d’inspiration, interprété par Richard Leduc, semble dire qu’il faut vivre l’instant présent avant que celui-ci ne devienne un souvenir qui se perdra dans l’éternité. L’importance de ce souvenir des choses belles ou graves est vitale et c’est ce que comprend Simon dans son errance, un voyageur immobile témoin du temps qui passe et qui lui échappe constamment.

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Paris n’existe pas est un film important dont se réclament certains réalisateurs contemporains comme le cinéaste belge de genre Fabrice du Welz (Calvaire, Vinyan, Colt 45), preuve de la modernité d’un film à la fois beau et singulier aux relents métaphysiques et philosophiques toujours vivaces, malgré il est vrai un aspect daté, mais qui fait tout son charme. Paris n’existe pas montre aussi que le cinéma français actuel a perdu beaucoup de la liberté artistique qui donnait au 7ème Art de tels moments de poésie fantastique. Bref une belle redécouverte nostalgique à ne pas manquer.


Paris n’existe pas – Bande annonce par TheDailyMovies

Keeper, nouveau clip du groupe No Education

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NO EDUCATION

Biographie

« (Imaginez vous) : Quelques nappes de synthé, la caresse d’une cymbale, une guitare au loin, et une voix : celle d’Aaron DeMoon. Une dimension lunaire s’installe alors… Une dimension qui rebondit en apesanteur, comme nos pas sur la Lune…

La rencontre musicale se fait durant l’été 2010. Premier chapitre pour les créations de ce jeune groupe en provenance de l’est Parisien. Moyenne d’âge : 22 ans.

On y trouve Alex, pianiste issu d’une large famille de musiciens et grand fan des Stones. Dès son plus jeune âge, il est guidé par les gimmicks blues joués par son père, et bercé par les rythmes endiablés de l’Espagne, dont il est originaire.

Il y a aussi Didou, le guitariste du groupe. Longtemps éparpillé entre le rap qu’il écoute avec ses potes et l’éducation musicale de son père, plutôt penchée rock seventies, il découvre l’album Ok Computer du groupe anglais Radiohead. De là, naît sa vraie passion pour le rock et les musiques alternatives.

Enfin Aaron. Il fait ses premiers pas sur scène en tant que rappeur et MC, au sein du collectif Carré d’Iks. Sa curiosité le conduit vers d’autres sphères musicales. Il pratique la batterie et commence à mettre en partition ses univers. L’envie de chanter ses mots, devient de plus en plus forte et s’incarne aujourd’hui par sa voix écorchée mais douce. Rock et soul à la fois.

Paul, le batteur du groupe, est percussionniste depuis son plus jeune âge. Il découvre la batterie grâce aux tourneries funk de Average White Band ou de Chad Smith, pour un style épuré en recherche d’efficacité. Propulser face au public, Aaron prend la place de bassiste au sein du groupe.

Aaron trouve une incroyable source d’inspiration auprès de ses pairs musicaux, tels le groove d’une basse soul à la Erykah Badu ou la précision d’un Roger Waters, membre d’un des plus grands groupe de l’histoire du rock : Pink Floyd !

Des évènements sociaux majeurs tels Woodstock, la chute du mur de Berlin ou encore la libération des moeurs sexuelles ont pour points communs l’éclatement des carcans sociaux et l’avènement d’une nouveaux courants musicaux. Soit la revendication collective d’un souffle de liberté.

No Education ! Cela ne vous rappelle rien d’ailleurs? Une brique … Un Mur … Stop : Vous y êtes !

« Un manque d’éducation », et pourtant une dose d’amour qui fait la différence.

No Education c’est surtout un mot d’ordre adressé à une génération.

Un son inspiré du passé, qui parle au présent et imagine son futur.

Peace. »

No Education #colddinner

Clip : Hypnolove, le sexplicite selon Winter In The Sun (Pilooski Edit)

Hypnolove
L’hiver s’installant doucement un peu partout, les Toulousains d’Hypnolove ont décidé de réchauffer nos coeurs en sortant le clip “sexplicite” et #NSFW de leur tube de l’été, “Winter In The Sun”, divinement remixé par Pilooski ! Une vidéo réalisée par Mathieu Tonetti et Bianca Benloukil, à découvrir dès maintenant !
[vimeo http://vimeo.com/79473063]

Présentation officielle :

Bric et broc électro-pop, ménagerie de cors français et de harpes pré-raphaélites, trio mâle de tête et voix de femelles échappées de la pièce, là-bas, au fond du couloir. C’est le Carnaval des Fantômes, un jour des Morts au Mexique, le Consul en mauvais guide. À l’ouvrage, les Hypnolove, un trio basé à Toulouse mais aux origines étalées : française, portugaise, allemande. Leur premier album « Eurolove » et le hit « Mademoiselle » en passeport continental c’était… Il y a… Sept ans déjà. Depuis ? La musique reste une passion. Des retrouvailles de potes. Un vrai groupe de musiciens qui font de la scène, par plaisir avant tout. Comme quand ils étaient ados, biberonnés à l’électro-pop, New Order ou Pet Shop Boys, ou, à l’âge adulte, à s’échanger groupes obscurs, étranges et étrangers, producteurs cryptiques et disques incertains…Sept ans de réflexion… Gants de velours, le producteur Mickey Moonlight, l’anglais d’Ed Banger, est aux commandes. Il fallait bien quelqu’un à l’esprit aussi foutraque pour mettre de l’ordre et canaliser le trio.

Un cor français ouvre la première piste, telle une voix de brume perdue sur une bande d’Arthur Russell. Arrive une rythmique phat, lourde, perchée du côté d’ESG sous influence Martin Hannett.
Le deuxième titre, le génial « Holiday Reverie » ouvre de nouveaux horizons, échappée Zouk pour les petits loulous.
Le troisième retrouve les amours électro-pop ado avec un petit goût du « Night » de Valérie Doré.
Quatrième piste, « Winter In The Sun », jeux des contraires toujours, et mélodie attrape-coeurs suavement interprétée par Findlay Brown.
« Come To My Empire » en 5ème position, les Hypno se font kinky, la tension monte, l’électro-pop se cape de noir.
Voix féminines sur « Beyond Paradise », celles des Puro Instinct, compagnes de label, et montée toute en arpège, pop toujours plus pop.
Le 7 est le titre de l’album : « Ghost Carnival » et la voix de Freya Parry, 9 ans et toutes ses dents.
Les claviers italo sont plus prononcés plage 8, « Sleepwalker », sur le fil, surtout ne pas réveiller le funambule.
« Goodnight Kiss », joli excipit, bonne nuit les amis.
Neuf titres au total et 99 émotions au compteur. La magie opère, danse des contraires, l’hiver au soleil. Odyssée pop, forcément pop, mélancolique et rigolarde.
La pochette est l’oeuvre de Yazbukey qui a créé et porté un bijou grandeur nature pour l’occasion. Prêt pour la parade !
“Ghost Carnival” est à découvrir sur http://hypnolove.bandcamp.com/

Résultats concours : Rencontres Cinématographiques de Seine-Saint-Denis, 20 places de ciné gagnées

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Du 13 au 24 novembre 2013

A l’occasion des Rencontres Cinématographiques de Seine-Saint-Denis 2013, Publik’Art, en collaboration avec Cinémas 93, vous a donné la possibilité de gagner :

 

10×2 places de ciné pour une séance aux

Rencontres Cinématographiques de Seine-Saint-Denis

Vous avez été très nombreux à participer : 2678 ! Bravo à tous et merci de votre fidélité !

Les dix heureux gagnants de deux places de ciné sont :

Hugo Crochart, Delphine Dussy, Christophe Loiseau, Sébastien Bassignani, Vincent Sylvere, Jérôme Mansard, Naira Rubia, Jeanne Tessier, Florence Ferret et Huajiiao XU.

Notre partenaire, Cinéma 93, vous a déjà envoyé vos places et nous les en remercions vivement !

Très bon festival à tous !

Vertical, un manga de Shinichi Ishizuka (t.1 & 2 / Glénat)

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Date de sortie : octobre 2013

Vertical est une sortie qui a enthousiasmé bon nombre de lecteurs de mangas qui apprécient toujours l’exploration d’univers rarement traités, à savoir l’alpinisme. Ce sujet nous remémore inévitablement l’œuvre culte de Jirô Taniguchi, Le Sommet des dieux. Si bien qu’il nous a été difficile de se garder de comparer le plaisir de lecture. Et force est de constater qu’il y a encore du chemin et de l’altitude entre Vertical et Le Sommet des dieux

Résumé de l’éditeur :

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La montagne… Un monde où beauté et danger coexistent en permanence. Sampo Shimazaki connaît ses aspects merveilleux et ses aspects les plus durs. Suivez les sauvetages qu’il réalise dans les Alpes japonaises, épisodes remplis de l’âpreté et de la douceur de la montagne…[/pull_quote_center]

L’aventure débute par une petite scènette que l’on pense d’abord introductive. Le personnage principal, sauveteur bénévole et alpiniste chevronné apparaît avec un fort potentiel. Un personnage qui intrigue par sa bonté et sa passion pour les montagnes en particulier pour celles des États-Unis et pour les Alpes Japonaises. Son passé nous est ensuite comté par bribes, interrompues par quelques interventions où se succèdent échecs et succès.

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La trame scénaristique est malheureusement très faible. Le lecteur ne sait pas vraiment où l’auteur veut l’emmener. Il manque en effet un vrai fil continu, en l’absence d’imbrication des évènements qui ne font que se succéder, sans permettre d’approfondir ni l’histoire ni les personnages (à noter que les personnages secondaires sont tous très insipides).
Malgré la passion évidente de l’auteur alpiniste pour l’altitude et l’adrénaline de la Montagne, le manga semble embourbé dans une ambiance anesthésiée.

Le dessin peut quant à lui paraître simple voire simplet par instants, mais il n’en demeure pas moins très agréable et doit pouvoir se bonifier avec le temps et quelques détails à revoir.

Cette série ambitieuse (terminée en 18 tomes au Japon) n’a pas su se mettre à la hauteur des sommets dans ces deux premiers tomes, mais pourrait bien s’y hisser au fil du temps en prenant un peu de hauteur.

Résultats concours : Victor Young Perez, 10 places de ciné gagnées.

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Sortie le 20 novembre 2013

Un film de Jacques Ouaniche avec Brahim Asloum, Steve Suissa

A l’occasion de la sortie du film Victor « Young » PerezPublik’Art, en collaboration aveccinefriends.com, vous a donné la possibilité de gagner :

5×2 places de ciné pour le film : Victor « Young » Perez

 
Vous avez été très nombreux à participer : 1976 joueurs ! Bravo à tous et merci de votre participation.
Les cinq heureux gagnants de deux places de ciné sont :
Joël Altewey, M.Antonacci, Evelyne Giraudet, J-Christophe Ansiaux et Christina Dias.
Notre partenaire vous enverra très prochainement vos places et d’avance nous les en remercions vivement.
Très bon film à tous !

Quelles forces vous habitent ? Premières réponses le 27 novembre prochain

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Voilà une campagne LucasFilm et X3 Productions originale sous forme d’énigme dont les premiers éléments de réponse vous seront dévoilés la semaine prochaine ! Patience !

PASOLINI ROMA : Exposition à La Cinémathèque française

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PASOLINI ROMA
Exposition à La Cinémathèque française
16 octobre 2013-26 janvier 2014

[pull_quote_center]Rome par l’artiste le plus scandaleux de l’Italie d’après-guerre.[/pull_quote_center]

Pier Paolo Pasolini fut tout à la fois cinéaste prolifique, poète, philosophe, linguiste, romancier, dramaturge, chroniqueur virulent, acteur occasionnel, peintre intimiste et homme engagé.
L’exposition de La Cinémathèque propose un parcours chronologique à partir de son arrivée à Rome en 1950, et explore les sites pasoliniens de la ville et de sa périphérie, en passant par les relations amicales du cinéaste avec les poètes et intellectuels de son époque (Elsa Morante, Alberto Moravia…), la poésie, la politique, le sexe, l’amitié, le cinéma.
Photographies, documents, extraits audiovisuels, peintures et dessins méconnus de Pasolini ainsi que des œuvres d’artistes faisant écho à ses créations et sa vision de Rome, jalonnent le parcours.

La Cinémathèque française – 51 rue de Bercy- 75012 PARIS
Lu, Me à Sa, 12h – 19h, nocturne le jeudi jusqu’à 22h, Di 10h–20h
Fermeture le mardi, le 25 décembre et le 1er janvier

Julien Estival : 1er album « La Vie Promise » (Polydor/Universal) + Tournée

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« Déposée comme une sombre gemme au cœur de La Vie Promise, premier album de Julien Estival, Notre Histoire exhale la passion et la fragilité des amours défuntes, magnifiées par la sensualité lumineuse de Morgane Imbeaud, l’ange diaphane de Cocoon. Julien et Morgane, deux voix entrelacées, nouées au cœur d’un enchevêtrement de cordes magique, quatuor dirigé par Jeff Chalaffre dans un réarrangement sublime. Une trompette au crépuscule, un battement sourd sous la peau, et l’amour éternel à contre-jour, comme la promesse d’une nouvelle histoire… »

> Julien Estival

Julien Estival chante franc, droit, profond, et la mélodie s’envole dans des contrées pop. Des chansons qui parlent de l’amour, de la mémoire, des vrais choix de la vie… C’est un nouvel artiste mais, d’emblée, il nous semble qu’on le connaissait depuis longtemps. Ou plutôt, qu’il met nos confidences en mots et en musique, comme s’il savait tout des couleurs douces-amères de nos amours, de nos inextinguibles mélancolies, de nos indécrottables espoirs. Il sait faire sourire le spleen, il sait mettre des phrases justes sur toutes les ambiguïtés du cœur. Une arrivée bienfaisante dans la chanson française.

> Morgane Imbeaud

Il était une fois Cocoon. Après deux albums et de nombreux singles (Chupee, On my way), un CD/DVD live, plusieurs Olympia et deux disques de platine, Morgane a décidé de ranger baleines et pandas dans les étagères fin 2011. Une envie de raconter autre chose. Et autre chose, c’est Peaks, un nouveau projet qui sortait un EP intitulé Love en février dernier – mais aussi et surtout Notre histoire, chanson interprétée en duo avec Julien Estival, prouvant que la langue française lui sied à merveille.

Julien Estival en concert

22 novembre – Issoire – La Fabrik
29 novembre – Ambert – Maison des jeunes
30 novembre – Brioude – Halle aux grains
17 décembre – Paris – Divan du monde
19 décembre – La Souterraine – Centre culturel Yves Furet (1ère partie de Jane Birkin).

 

Broken Bells : leur nouveau single, Holding on the life en libre écoute !

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L’un des plus talentueux groupes pop découvert par leur époustouflant premier album Broken Bells et composé de l’artiste-producteur de grande renommée Brian Burton (Danger Mouse) et James Mercer (The Shins) a récemment annoncé son retour avec un nouvel album en janvier 2014 ! Intitulé After the Disco, l’album comprendra 11 titres que l’on espère aussi inspirés que d’accoutumée. Le single Holding on the life est plein de belles promesses… Vivement l’année prochaine ! Voyez plutôt :

Playlist des sorties ciné de la semaine du 20 novembre 2013

Voici venu le moment de découvrir les sorties ciné du jour avec quelques films qui marqueront les prochaines semaines :

  • d’abord Capitaine Philipps le dernier film de Paul Greengrass (La mort dans la peau, La vengeance dans la peau, Green Zone…), avec Tom Hanks en vedette. Un film qui raconte l’histoire vraie de la prise d’otages du navire de marine marchande américain Maersk Alabama, menée en 2009 par des pirates somaliens.
  • c’est ensuite Les garçons et Guillaume, à table !, un film de et avec Guillaume Gallienne adaptation de sa pièce de théâtre éponyme dans laquelle il incarne son propre rôle ainsi que… celui de sa mère. Ce film s’annonce comme La comédie française du moment. A ne pas rater.
  • Dans un tout autre style, c’est le biopic Victor Young Perez qui est attendu. Et c’est le boxeur Brahim Asloum qui a été choisi pour interprété Victor Young Perez, 136 combats, 91 victoires dont 27 par KO, Champion du monde des poids mouches. En face de lui Kurtz, le soldat allemand ; 20 centimètres et 20 kilos de plus que lui.
  • On n’omettra pas de parler de L’Apprenti père Noël et le flocon magique pour les plus petits qui souhaitent ouvrir la saison à leur goût.
  • Enfin et en vrac, on notera les petits films suivants, jouissant d’une très modeste distribution (on vous renvoie donc aux teasers et bandes-annonces ci-dessous) : Borgman, La maison à la tourelle, Plot for peace)

Lor photographie – à partir du 9 janvier à l’Antidote, Bordeaux

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Lor fait partie de cette nouvelle génération d’artistes en devenir, les espoirs d’un art contemporain à la fois produit purement esthétique et fruit d’une réflexion sur le monde. Après un bac littéraire option arts plastique, une formation en histoire de l’art et une mise à niveau en arts appliqués, elle lance en 2011 sa première exposition de photographies. L’artiste habite et travaille aujourd’hui à Bordeaux. Dans un univers ultra-conceptuel, parfois glauquissime, inquiétant, elle questionne les frontières entre la peinture et la photographie, la place de l’homme et son rapport au monde.

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Imperceptibles. Les modèles de Lor hurlent parfois à la mort. Ils vomissent des couleurs et vous supplient du regard. Déroute, solitude, détresse humaine, ils semblent figés dans des espaces obsessionnels aux allures hallucinatoires. Les corps sont nus, simplement vêtus de la couche picturale qui les recouvre. Ils s’évanouissent et se perdent dans les bleus, les rouges, laissant à la couleur toute son autonomie et sa puissance.  Elle puise aussi bien dans une abstraction à la Jackson Pollock que dans les espaces trompe-l’œil de George Rousse. Dans une série intitulée Intégrations, elle place ses personnages dans l’espace urbain en les peignant de telle sorte qu’ils s’y intègrent parfaitement : corps et décors se confondent, les figures humaines disparaissent, imperceptibles.

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Immortels. L’utilisation de l’espace, Lor en parle d’ailleurs dans son travail : « l’espace est perçu comme une toile : choix des couleurs et disposition des éléments, réactions des matières, de la peinture ». Ce sont donc des instants saisis par la photographie, mais aussi des réflexions qui mettent le corps en étroite relation avec son univers. Car au-delà d’un travail plastique exemplaire, ces clichés sont aussi un questionnement sur les frontières entre l’art pictural et la photographie, longtemps laissée sur le banc des arts mineurs. Ce sont des êtres hybrides de body-painting et de performance que l’acte photographique rend immortels par l’image. Des êtres humains, transformés par la couleur, en œuvre d’art.

Dans des décors aux ambiances déroutantes, le modèle est plongé dans un océan pictural, peinturluré de toute part pour se fondre dans les éléments qui l’entourent. La chair et la couleur font corps dans ces univers.

Plus d’infos ici

Lor photographie
Exposition à partir du 9 janvier
Café l’Antidote
13, rue Elie Gintrac
33000 Bordeaux

 

 

Concours : La marche, gagnez 10 places de ciné !

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Sortie : le 27 novembre 2013

Avec : 

OLIVIER GOURMET, TEWFIK JALLAB, VINCENT ROTTIERS, M’BAREK BELKOUK, LUBNA AZABAL, NADER BOUSSANDEL, CHARLOTTE LE BON, HAFSIA HERZI, PHILIPPE NAHON et Jamel Debbouze

 

A l’occasion de la sortie du film La marche, Publik’Art vous offre la possibilité de gagner :

5×2 places de ciné pour le film La marche

Pour cela, il vous suffit de répondre directement au quizz avant le 27 novembre 2013. Le synopsis et la bande annonce vous seront utiles pour trouver les bonnes réponses.

Aucune réponse mise en commentaire ne sera validée.

Pour en savoir plus, cliquez ICI

Le synopsis :

 [pull_quote_center][/pull_quote_center]En 1983, dans une France en proie à l’intolérance et aux actes de violence raciale, trois jeunes adolescents et le curé des Minguettes lancent une grande Marche pacifique pour l’égalité et contre le racisme, de plus de 1000 km entre Marseille et Paris. Malgré les difficultés et les résistances rencontrées, leur mouvement va faire naître un véritable élan d’espoir à la manière de Gandhi et Martin

Luther King.Ils uniront à leur arrivée plus de 100 000 personnes venues de tous horizons et donneront à la France son nouveau visage

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Règlement du concours :

Ce concours est organisé sur le site Publikart.net uniquement.

Pour jouer à ce concours sur le site de Publikart.net, après avoir coché vos réponses, cliquez sur le bouton « Envoyer vos réponses » en bas du formulaire (le bouton apparaît en utilisant le curseur bleu situé à droite des questions, le cas échéant) en nous précisant vos coordonnées complètes ( nom+adresse). Un mail de confirmation de votre participation vous sera envoyé par les services de Cinefriends.com, partenaire mettant à notre disposition le système de quizz utilisé.

Une seule participation par personne, par E-mail et par foyer est autorisée. En cas contraire, flagrant ou douteux, (participations multiples, bulletins à coordonnées identiques, erronées ou incomplètes), il ne sera tenu compte d’aucune réclamation et aucun lot ne pourra être attribué à l’émetteur du bulletin.

Le concours prendra fin le 27 novembre 2013 à 20h00. Les réponses reçues après cette date limite ne seront pas valides et ne seront pas comptées dans le nombre total de participations. L’attribution du(des) lot(s) se fera par tirage(s) au sort parmi les bonnes réponses. Un article publiant le nom du(des) gagnant(s) paraîtra le jour du tirage au sort.
La participation à ce jeu implique que vous autorisiez Publik’Art à utiliser les informations vous concernant dans ce concours. Publik’Art s’engage à ne pas les transmettre à d’autres personnes ou sociétés que le ou les partenaires cités dans le present règlement.
Vous disposez d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent (art.34 de la loi « Informatique et Libertés »). Pour l’exercer,contactez-nous en cliquant sur l’onglet en bas de votre page.

Exposition collective à La Cave Show Room Gallery : International Dark Art Collective Show, à Paris, du 25 novembre au 9 décembre 2013

 

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 » La Cave Show Room Gallery  » présente :

Exposition collective du 25 Novembre au 9 Décembre 2013

Vernissage le 30 Novembre à partir de 18H

 

H.R. GIGER (Suisse) – www.hrgiger.com

JOHN SANTERINEROSS (USA) – www.santerineross.com

KARL PERSSON (Australie) – http://karlpersson.deviantart.com/

PAUL TOUPET (France) – http://paul.toupet.free.fr/

ERIC LACOMBE (France) – www.ericlacombe.com

MATT LOMBARD (USA) – www.mattlombard.com

KARINA MARANDJIAN (Russie) – http://daunhaus.deviantart.com/

NIHIL (France) – www.nihil.fr

DARIA ENDRESEN (Norvège) – www.dariaendresen.com

YOANN PENARD (France) – www.yoann-penard.com

AR GRAPHIKART (France) – www.autoreversegraphikart.com

TREZ ORB (France) – www.orbscurarium.com

JEAN-FRANCOIS B. (France) – http://jeanfrancoisb.tumblr.com/

DELPHYNE V. (France) – www.delphyne-v.com

ALAIN TREHARD (France) – http://ma7491.wix.com/trehardphoto

NICO FRACTURE//LAB (France) – www.fracture-lab.com

NICOLAS SENEGAS (France) – www.behance.net/nicolassenegas

CYAM + LES CABINOTIERS (France) – Cyam Creations & Les Cabinotiers

NUMA RODA-GIL (France) – T-REX galerie

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