Théâtrophile, je prends un malin plaisir à dénicher de petites merveilles dans les salles parisiennes. J'aime aussi la politique et les chats, mais ça, c'est une autre histoire...
Christophe Alévêque est de retour avec son spectacle Vieux Con ? dès le 04 octobre à Paris. Après le Théâtre du Rond-Point, nous pourrons le retrouver tous les mardis à...
Quel plaisir de retrouver les ruelles d’Avignon parsemées d’affiches, d’admirer le majestueux Palais des Papes et de se perdre dans les centaines de lieux...
Plus de 200 objets rythment l'exposition Les canons de l'élégance au dernier étage du Musée de l'Armée. Cadeaux diplomatiques, décorations militaires, symboles d'autorité ou...
Répétitions est un documentaire signé Lucie Créchet. Pendant des mois, elle a suivi la troupe d'Alexis Michalik dans la conception et la création d'Intra...
Après Blanche Neige et Roméo et Juliette, Angelin Preljocaj renoue avec le ballet narratif et son goût pour les histoires. Mêlant le chef-d’œuvre musical de Tchaïkovski à des arrangements plus contemporains comme il aime à le faire, il s’empare du mythe de la femme-cygne, et y ajoute des problématiques à la fois écologiques, psychologiques et politiques très actuelles. ransposition du conte donc dans le monde de l’industrie, du pouvoir et de la finance où les amours contrariées se vivent au milieu des gratte-ciels et de ses artifices entre moments de fêtes et d’hystérie collective. La première scène donne le ton : la danseuse qui incarne Odette, Théa Martin, est attrapée par plusieurs hommes en noir, et transformée, manu militari, en cygne. Cette métamorphose forcée, sur la musique inquiète de Tchaïkovski, annonce la radicalité du final qui verra les cygnes, en un moment suspendu, tomber ensemble au sol et dont la chute au regard de l’écosystème sacrifié, prend une dimension tragique.